La nouvelle revue scientifique Frantice.net a pour vocation de publier des travaux de chercheurs concernant notamment l’utilisation pédagogique des TIC. Un média soutenu comme une vingtaine d’autres par la Francophonie.
Le panel des chefs d’État africains s’est donné un mois de plus pour clore ses travaux sur la crise en Côte d’Ivoire, alors que les tensions sont plus fortes que jamais entre les camps Ouattara et Gbagbo.
Les réactions au « discours » d’Abdelaziz Bouteflika – qu’il n’a pas prononcé lui-même – sont dans l’ensemble négatives. On reproche au président sa distance par rapport aux préoccupations sociales des Algériens, son manque d’engagement concret contre la corruption et l’absence de perspective démocratique.
Bien implantée à travers le pays, Radio Ndeke Luka fait figure d’exception pour son impartialité, dans un paysage médiatique où les commentaires partisans des journalistes sont fréquents.
Filatures, interrogatoires, emprisonnements, menaces: des journalistes tunisiens qui ont connu le pire du régime policier Ben Ali, cherchent à reconquérir un véritable pouvoir d’informer en Tunisie, une tâche titanesque dans un domaine où des cas de censure persistent.
Après l’attitude jugée méprisante du nouvel ambassadeur de France en Tunisie, Boris Boillon, devant des journalistes, les réactions négatives fusent. Comme d’habitude, internet est le fer de lance de la critique. Un appel à manifester sur Facebook a réuni plus de 500 protestataires devant l’ambassade de France.
L’information selon laquelle le président tunisien déchu Zine el-Abidine Ben Ali serait dans le coma est difficilement vérifiable. Encore un coup de la chasse au scoop à tout prix ?
Une vidéo circulant sur internet montre le nouvel ambassadeur de France en Tunisie, Boris Boillon, s’emportant de manière bien peu diplomatique contre des journalistes tunisiens. Un buzz qui ne rehausse pas l’image de la France, déjà passablement écornée par le scandale de l’affaire Michèle Alliot-Marie.
Après avoir été démasquée aux États-Unis, qui l’ont expulsée en juillet 2010, l’ancienne espionne russe Anna Chapman entame une carrière commerciale basée sur la valorisation de son image sulfureuse. Et va jusqu’à poser en petite tenue en couverture de magazines.
Depuis un mois, la polarisation médiatique et diplomatique sur les événements de Tunisie et d’Égypte a ouvert ce que l’on pourrait appeler une fenêtre d’opportunité pour quelques responsables subsahariens confrontés à des crises de légitimité et qui n’ignorent pas à quel point la fameuse communauté internationale est à la fois versatile et inconstante.
Fortement réclamée par la société civile et l’opposition algériennes, la levée de l’état d’urgence, en vigueur depuis bientôt vingt ans en Algérie, fait l’objet d’un projet de loi et semble être approuvée par Abdelaziz Bouteflika. Le président algérien a aussi annoncé une série de mesures pour répondre aux revendications des Algériens.
La radio panafricaine fait face à des difficultés financières récurrentes et peine à redresser la barre. Elle s’apprête à investir 8,5 millions d’euros et à lancer de nouveaux programmes pour reconquérir les auditeurs du continent.
Rabat a convoqué l’ambassadeur d’Espagne pour protester contre la diffusion de « fausses nouvelles » sur des mouvements de troupes marocaines qui auraient eu pour but de prévenir d’éventuelles émeutes sociales. Un nouvel épisode des rapports conflictuels entretenus par les deux voisins méditerranéens.
Les raisons de l’arrestation du fondateur de Hannibal TV Larbi Nasra, pour soupçons de « haute trahison », et sa libération quasi-immédiate demeurent largement mystérieuses. Les explications de l’intéressé laissent en tout cas sceptiques.
À l’image du pays, la radio et la télévision se sont totalement affranchies de la tutelle du pouvoir. Fini la langue de bois, exit l’autocensure, place aux débats contradictoires et à la transparence de l’information.
Au lendemain de la chute du chef de l’État, le pays traverse une période délicate. Il faut à présent dépasser l’euphorie révolutionnaire pour assurer la transition vers la démocratie.
Le propriétaire de Hannibal TV, Larbi Nasra, et son fils ont été arrêtés. Ils sont soupçonnés d’avoir participé à une manœuvre de déstabilisation de la Tunisie après la fuite de l’ancien président Ben Ali.
Les interview des présidents Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara diffusées les 12 et 13 janvier dans Le Grand Journal de Canal Plus n’ont pas été simples à organiser. Surtout, elles continuent de faire jaser à Abidjan.
La résistance s’organise dans les médias tunisiens pour déjouer les manipulations des milices pro-Ben Ali. Et pour aider l’armée à maintenir l’ordre alors que des bandes de pillards sévissent dans le pays.
L’interview du président sortant Laurent Gbagbo, qui a été diffusée mercredi soir sur Canal +, suscite un vent de polémique à Abidjan. Pour couper court aux suspicions de parti pris, la chaîne française a décidé d’enregistrer également un entretien avec Alassane Ouattara.
Excédée par le suicide de deux jeunes diplômés au chômage à Sidi Bouzid, la jeunesse se déploie sur les réseaux sociaux pour faire entendre son mécontentement. Au grand dam des autorités tunisiennes.
Née (très) pauvre au temps de la ségrégation raciale, elle est aujourd’hui milliardaire, anime depuis vingt-cinq ans un célèbre talk-show sur CBS et possède depuis peu sa propre chaîne de télévision câblée. Oprah Winfrey est une vraie machine à gagner. Et à faire rêver.