Pari réussi pour la nation Arc-en-Ciel. Malgré quelques imperfections, le pays a su vaincre les doutes sur sa capacité à organiser une Coupe du monde de football.
Sa page Facebook n’a que dix jours, mais Goodluck Jonathan en fait déjà bon usage. Le président nigérian livre son mea culpa sur l’épisode des Super Eagles. Et, grâce à ses fans, dit « garder les pieds sur terre ».
Le PDG du holding Tall Company est en procès contre un fournisseur néerlandais. S’il gagne, l’image controversée de l’importateur sénégalais de riz pourrait s’en trouver redorée. Retour sur un parcours qui suscite l’admiration autant qu’il intrigue.
Les médias et leurs tares, l’écrivain et journaliste connaît. Créateur de « L’Événement du jeudi » (1984), puis de « Marianne » (1997), il s’est rapproché, en 2009, du centriste François Bayrou. Paroles d’un « mal-pensant » qui tient un blog sur jeanfrancoiskahn.com.
Gouverneur de la province depuis 2007, l’enfant de Kashobwe – à 300 km de Lubumbashi – s’est forgé une popularité qui fait saliver les barons de Kinshasa. À 45 ans, celui que tous appellent par son prénom, Moïse, est omniprésent. Sa recette ? Un mélange de populisme, de volontarisme et de billets verts. Décryptage.
La chaîne de télévision panafricaine a traversé une période de graves difficultés financières au début de 2010. Grâce à l’intervention de son actionnaire principal, elle connaît un répit depuis quelques semaines. Pour combien de temps ?
Décédé le 7 juin dernier, l’artiste gabonais Oliver N’Goma a été enterré après deux jours de cérémonies d’hommage et de deuil organisées dans la capitale.
Entre respect de la culture sud-africaine et défense des oreilles – et du bien-être -, la polémique gronde autour de l’usage des vuvuzelas dans les stades. Les organisateurs du Mondial se sont saisis de la question. L’interdiction de l’instrument a été évoquée… puis écartée.
La retransmission télévisée des 64 matchs de la compétition reine du sport mondial (avec les Jeux olympiques) nécessite des moyens techniques pharaoniques. Mais le jeu en vaut la chandelle. Audience cumulée attendue : entre 26 milliards et 29 milliards de téléspectateurs.
Tous les quatre ans, le monde entier adopte un étrange comportement dès le mois de juin. Les hommes et (certaines) femmes d’Europe, d’Afrique, d’Asie et des Amériques ne sont plus les mêmes : injoignables à certaines heures de la journée, fous de joie ou au contraire de fort mauvaise humeur quand, ô miracle, ils daignent répondre au téléphone, rassemblés autour d’un écran, petit ou grand, chez eux, dans la rue ou au café, parfois même sur leur lieu de travail, ils vibrent au rythme de la Coupe du monde de football, de ses exploits, de ses déceptions, des rires et des larmes qui inondent nos télés, nos radios et nos journaux.
Les sitcoms abidjanaises font un tabac à l’étranger. Un exploit, compte tenu de la difficulté qu’ont les producteurs à les financer et à se faire rémunérer pour leur diffusion. La réussite va-t-elle finir par payer ?
En poste depuis huit mois, le diplomate français s’est rapidement familiarisé avec les réalités contrastées du pays. Sa mission : donner une nouvelle visibilité à l’Hexagone dans le paysage économique et culturel tunisien.
Les quarante plus grandes entreprises africaines ont été passées au scanner par le cabinet international de conseil Boston Consulting Group (BCG). Conclusion de l’étude : le continent se positionne comme l’un des marchés mondiaux les plus prometteurs, à l’image de ceux des BRIC.
Depuis dix ans, le titre satirique livre sa bouffée hebdomadaire de blagues, caricatures et BD qui égratignent tout le monde sans jamais prendre parti. À chaque montée de mercure, ses ventes explosent.
Panne de l’ascenseur social français oblige, un nombre grandissant de jeunes diplômés issus de l’immigration maghrébine vont tenter leur chance au royaume chérifien. Le plus souvent avec succès.
Fin 2011, le satellite AB3 doit cesser de diffuser les chaînes de l’Hexagone qui passent à la télévision numérique terrestre (TNT). Un changement de technologie qui, couplé à l’essor des médias arabophones, risque de faire plonger l’audience de l’audiovisuel français au Maghreb.
Des personnalités de la société civile organisent des contre-pouvoirs. Objectif : pallier les insuffisances de l’opposition et favoriser une alternance au sommet de l’État. Avec le président Abdoulaye Wade en ligne de mire.
L’un, Alexandre Lebedev, a pris le contrôle d’un prestigieux quotidien britannique en perdition. L’autre, Alexandre Pougatchev, d’un ex-fleuron de la presse française. Il n’est pas interdit de se demander pourquoi.
Le canal en langue arabe de la chaîne d’information internationale France 24 devrait passer de dix heures de programme quotidiens à une diffusion en continu d’ici à la fin de l’année.
L’ONG Amnesty International a présenté son rapport annuel à Paris mercredi. Malgré quelques signes encourageants constatés en 2009, les dirigeants internationaux n’ont toujours pas fait du respect des droits de l’homme une priorité.