Aujourd’hui animé par ses enfants et petits-enfants, le club fondé de son vivant par Fela accueille chaque année mi-octobre un festival où se pressent artistes nigérians et internationaux autour de la famille Kuti.
La star nigériane de l’afrobeats a été placée en garde à vue dans le cadre d’une enquête sur la disparition du chanteur MohBad, mort dans des circonstances toujours floues.
Après des années passées à produire les sons des plus grands, de Snoop Dog à Booba, le fils prodige de Manu Dibango dévoile le deuxième volet de « Wolves of Africa ». Un album à l’essence résolument hip-hop makossa.
Le rappeur, auteur, compositeur, cinéaste rend hommage dans son livre « Juliette » à la chanteuse française Juliette Gréco. Et prêche, avec une ferveur intacte, le dialogue et le vivre-ensemble.
Après le succès de « Hypertension », le chanteur nigérian publie « DND ». Un univers à la croisée de la musique fuji et de l’afrobeats qui se démarque dans un marché de l’afropop saturé.
Père du gangsta rap sénégalais depuis quinze ans et activiste acharné, le chanteur est détenu en prison depuis le 24 janvier pour « diffusion de fausse nouvelle et menace de mort ». De Louga à Paris, portrait d’une légende du hip-hop galsen, symbole de la liberté d’expression.
Après s’être produit au Festival international Nuits d’Afrique, au Canada, le chanteur évoque la politique ivoirienne et internationale, la mort d’Henri Konan Bédié, le football et, bien sûr, la musique.
À l’approche de ses 50 ans de carrière, Cheikh Lô, installé depuis plus de vingt ans à Keur Massar, une commune de la région de Dakar, prépare son sixième album. Musicien et chanteur, il poursuit sa quête : transmettre et partager la musique.
Ce genre musical tout droit venu d’Afrique du Sud fait bouger la jeunesse du monde entier. Un phénomène qui décloisonne les styles et les frontières dans un élan panafricain.
Depuis plusieurs semaines, l’humoriste Koffi de Brazza subit des pressions pour ne plus imiter le chanteur Koffi Olomidé. Et voici venu le volet judiciaire…
C’est une tradition héritée de captifs subsahariens, et longtemps discréditée, que le grand rendez-vous artistique de la cité des Alizés valorise depuis 1998. Jusqu’à en faire une véritable vitrine musicale du pays à l’international.
Dans son essai « À qui profite le sale », la philosophe Benjamine Weill dresse un état des lieux d’un secteur musical lucratif et régulièrement taxé de sexisme, tout en s’interrogeant sur ceux qui en tirent vraiment profit.
À l’occasion de la sortie de son nouvel album, « Being », le roi du yella livre son regard sur la place de la musique en Afrique, le rôle des réseaux sociaux et la situation dans son pays.
Ce 12 juin, sur la scène de la salle Gaveau (Paris), le musicien américain propose quelques rencontres inattendues entre compositeurs européens et africains.
Avec des têtes d’affiche comme le rappeur Booba – qui se produisent à Abidjan devant un public de plus de 30 000 personnes –, des animations sociales et sportives simultanées, les Magic System, emmenés par A’Salfo, assurent année après année la pérennité du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo, devenu un rendez-vous incontournable.
Avant son concert à Paris La Défense Arena en novembre prochain, la star congolaise s’est confiée sur la préparation du spectacle. Sans dévoiler grand-chose des festivités, mais en promettant une sécurité renforcée face aux militants de la diaspora congolaise.
Saisi par un collectif de féministes, l’organe burkinabè de régulation des médias a interdit la diffusion de la chanson « Safi », pourtant nominée, le lendemain, aux trophées nationaux de la musique.
Le 12 mai prochain, « Londonko », le nouvel album de la chanteuse malienne, produit par Damon Albarn, verra le jour. Elle s’est confiée sur la genèse de ce projet collaboratif.
Booba, Ferre Gola et Baaba Maal figurent parmi les invités phares de l’édition 2023 du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo, lancé en Côte d’Ivoire par le leader du groupe Magic System en 2008.
Il a officié loin des projecteurs en produisant les tubes des plus grands de la scène urbaine pendant plus de dix ans. À 35 ans, ce faiseur de hits signe chez Universal en son nom et dévoile ses premiers titres, à la croisée de la rumba et de l’électro.
Crise sécuritaire, situation des déplacés, rupture avec la France… Le rappeur burkinabè revient sur les difficultés qu’affronte le Pays des Hommes intègres.
Le Sénégalais Ismaïla Touré, cofondateur et membre du groupe Touré Kunda, pionnier des musiques africaines en France à la fin des années 1970, est décédé, a annoncé sa famille le lundi 27 février.