De passage à Paris, fin décembre, pour la promotion de son dix-neuvième album, le Gabonais appelle à l’unité du continent et à davantage de bonne gouvernance. Un engagement qui a marqué la carrière de l’un des grands de la musique africaine. Entretien.
À l’occasion de son anniversaire, le 6 janvier, retour sur ce label de jazz unique. Une maison mythique qui s’ouvre de plus en plus aux artistes africains.
Le célèbre musicien se dit afro-européen et très attaché à sa terre natale. Il s’y rend souvent, n’hésite jamais à s’engager pour elle, ni à dire ce qu’il en pense. Esquisse de ses coups de gueule, de ses coups de cœur et de ses projets.
S’il fallait repenser le drapeau national de façon ludique, deux armoiries y figureraient en bonne place : le football et la basse électrique. Depuis les années 1960, le pays produit en effet les meilleurs bassistes du monde.
L’année 2008 a été marquée par une grande percée de la musique africaine en Amérique, avec l’afrobeat nigérian qui continue d’en être le porte drapeau, c’est ce qui ressort d’un classement fait par le réseau public de radiodiffusion américaine.
Retracer et pointer par la voix et par les instruments les véritables maux d’un continent à la marche boiteuse, l’album « Alaa Inde », « sans nom » est une oeuvre conçue par un groupe de musiciens sénégalais, à travers la pluralité des styles.
La musicienne kenyane Wahu Kagwi a crée la sensation en remportant le Prix MAMAZ des MTV, à Abuja, au Nigeria, redonnant ainsi une nouvelle dimension à la musique dans son pays.
David Mathenge, connu sous le nom de « Nameless », est l’une des étoiles montantes de la musique kenyane qu’il aspire aujourd’hui à représenter sur la scène mondiale.
Alors qu’il vient de fêter ses 75 ans, le saxophoniste franco-camerounais enchaîne albums, concerts et nouveaux projets. Il revient, pour Jeune Afrique, sur ses succès, ses procès pour plagiat, la Côte d’Ivoire… dans une humeur toujours aussi joyeuse. Interview.
Alors que Seun, son talentueux jeune frère, brille sur la scène internationale, Femi Kuti revient en première ligne avec un album original et une colère qui ne faiblit pas.
Le rappeur sort son troisième album, Dante. Il revient pour Jeune Afrique sur sa conversion au soufisme, ses origines congolaises et son engagement… assez mesuré.
Juste après avoir donné un concert contre la mafia et le racisme, « Mama Africa » est décédée dans la nuit du 9 au 10 novembre. Retour sur une grande voix de la chanson africaine.