Dans le contentieux qui l’oppose à l’État nigérian devant la Haute Cour de Londres, P&ID a décidé d’adopter une ligne de défense simple : tout est à imputer à l’impéritie du gouvernement d’Abuja.
Les patrons du géant italien des hydrocarbures Eni et de la Compagnie nationale de pétrole libyenne NOC ont signé ce 28 janvier à Tripoli un accord « historique » pour l’exploitation de deux gisements gaziers au large de la Libye.
Un procès historique s’ouvre ce 23 janvier devant la Haute Cour de Londres. Le gouvernement nigérian cherche à faire annuler la plus grande sanction financière jamais imposée par un tribunal d’arbitrage à un État africain.
Le Premier ministre algérien Aymen Benabderrahmane a accueilli la cheffe du gouvernement italien à l’aéroport d’Alger le 22 janvier. L’Algérie est le deuxième principal fournisseur de gaz de l’Italie.
Le gouvernement congolais a publié dans la soirée du 18 janvier les noms des sociétés sélectionnées pour exploiter trois blocs gaziers dans l’est du pays.
À la fin de juillet 2022, Félix Tshisekedi a lancé des appels d’offres pour 27 blocs pétroliers et 3 blocs gaziers. Objectif : porter à 40 % la part du secteur dans les recettes de l’État pour faire carburer l’économie aux énergies fossiles et se défaire de la dépendance aux mines.
L’importateur national d’hydrocarbures a enregistré en un an des manques à gagner estimés à près de 600 milliards de F CFA, alors qu’au contraire de la plupart des pays voisins, le Burkina Faso a maintenu sa politique de soutien. Décryptage.
En 2022, la guerre en Ukraine a redistribué les cartes de l’approvisionnement en hydrocarbures. Nigeria, Angola, RDC… De nombreux pays africains disposent des ressources cruciales pour l’Europe, assure le PDG d’Eni.
Lors de son discours de fin d’année, le président du Cameroun a abordé l’épineuse question des subventions sur le pétrole en laissant entendre qu’elles pourraient diminuer, voire disparaitre, en 2023. Une décision qui serait lourde de conséquences.
Premier exportateur gazier en Afrique, le pays dénonce le mécanisme temporaire mis en place par l’Union européenne pour plafonner les prix de gros du gaz.
Le conglomérat industriel a reconnu le versement de dessous-de-table au Brésil et en Algérie. Le volet algérien concerne un contrat de 48 millions d’euros pour une raffinerie à Arzew.
Chacun des deux pays compte profiter de l’explosion de la demande européenne en gaz pour faire avancer son propre projet de gazoduc entre le Nigeria et l’Europe. Quelles sont les forces et les faiblesses des deux tracés ? Décryptage en vidéo.
Hydrogène vert marocain, relance de la production pétrolière nigériane, développement de la filière en RDC et en Guinée équatoriale… Quels sont les principaux éléments à surveiller dans le secteur des hydrocarbures en 2023 ?
La Congolaise de raffinage, filiale de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC), a fêté lundi ses 40 ans en affichant de grandes ambitions, dans un pays pétrolier qui connaît souvent des pénuries de carburant à la pompe.
Portée par les espoirs liés à la future production pétrolière, la croissance nigérienne aura été la plus forte du continent en 2022. Mais l’édifice reste fragile, à moins de raviver les vieux rêves de richesse nucléaire.
Si, malgré sa volatilité, le prix du pétrole est en hausse depuis 2021, les économies de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale fortement dépendantes de l’or noir peinent à tirer profit de la conjoncture.
Alors que la COP27 de Charm el-Cheikh vient de s’achever, la ministre congolaise de l’Environnement revient sur les enjeux relatifs à l’exploration pétro-gazière dans le bassin du Congo, pour The Africa Report/Jeune Afrique.
Alors que l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a récemment décidé d’abaisser son niveau de production de brut, la mesure implique la dégringolade du Nigeria dans le classement des principaux pays producteurs du continent. L’Angola perd son éphémère statut de leader.
Le géant public Sonatrach annonce la signature de deux contrats pour une usine d’extraction de GPL et une unité de compression avec les sociétés italiennes Tecnimont et Arkad.
Avec le Sénégal et la Mauritanie qui ont confirmé leur volonté de participer au projet de gazoduc Maroc-Nigeria, le Royaume s’engage un peu plus dans celui du gazoduc transsaharien Nigeria-Algérie.
La très récente décision de l’Opep+, prise afin de contrecarrer la baisse tendancielle des cours, devrait tirer à la hausse le prix des carburants. Un positionnement non sans conséquence pour l’économie du continent.
Dans l’attente d’une découverte majeure sur son territoire, le royaume marocain, massivement importateur de produits pétroliers raffinés, rêve toujours d’or noir. Jeune Afrique fait le point sur la situation.
Un mémorandum signé entre Tripoli et Ankara prévoit de « développer des projets liés à l’exploration, la production et le transport de pétrole et de gaz ».
Fragilisée par des interruptions partielles de livraison de gaz russe, l’entreprise publique annonce avoir déjà révisé ses prix et ses volumes avec six de ses partenaires.
Depuis 2016, deux projets de gazoducs censés relier le Nigeria à l’Europe se font face : le Trans-Saharan Gas Pipeline (TSGP), lancé par l’Algérie, et le Nigeria-Morocco Gas Pipeline (NMGP), conçu par le Maroc. Leurs retombées économiques constituent, pour ces deux pays rivaux du Maghreb, un enjeu de domination régionale.
La direction générale des Douanes nigériennes a suspendu la délivrance des autorisations de transit de produits pétroliers, ainsi que les autorisations déjà en cours. Cette décision « n’a rien à voir » avec les accusations portées par Bamako à l’encontre de Mohamed Bazoum.