Dissident du PDCI et candidat indépendant à la présidentielle du 31 octobre, KKB se désolidarise de l’appel à la « désobéissance civile », lancé par le reste de l’opposition. Et dément catégoriquement toute connivence avec Alassane Ouattara. Interview.
L’ex-Premier ministre ivoirien, candidat du FPI légalement reconnu pour la présidentielle du 31 octobre, a rejoint l’appel de l’opposition à la « désobéissance civile » contre la candidature d’Alassane Ouattara à un troisième mandat. Interview.
En l’absence quasi assurée de Laurent Gbagbo, Henri Konan Bédié sera le principal adversaire du président Alassane Ouattara à la présidentielle du 31 octobre.
Après le décès de son Premier ministre et dauphin désigné, Amadou Gon Coulibaly, le président ivoirien s’est finalement résolu à briguer un troisième mandat. Histoire secrète d’un revirement qui s’annonce lourd de conséquences.
Le comité des candidatures du PDCI a annoncé le rejet de celle de Kouadio Konan Bertin pour la prochaine élection présidentielle. Celle d’Henri Konan Bédié a, en revanche, été validée.
Déjà candidat indépendant à la présidentielle de 2015 contre l’avis d’Henri Konan Bédié, KKB va une nouvelle fois à l’encontre de son mentor en briguant, comme lui, l’investiture du PDCI-RDA pour la présidentielle.
Sans surprise, Henri Konan Bédié, 86 ans, a « accepté » d’être candidat à l’investiture du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) pour la présidentielle d’octobre. Une décision officialisée ce samedi à Abidjan.
Le bilan de ses deux mandats, la réforme du franc CFA, ses relations avec Bédié, Soro et Gbagbo… Dans sa première interview depuis qu’il a annoncé qu’il ne briguerait pas sa propre succession, le chef de l’État ivoirien revient sur sa carrière politique et explique les raisons qui l’ont poussé à choisir son dauphin.
Charles Blé Goudé, Guillaume Soro, Kouadio Konan Bertin et Mamadou Touré. Sur la scène politique ivoirienne, les quatre hommes symbolisent cette génération fatiguée de ronger son frein. Quelle est leur stratégie ? Comment voient-ils leur avenir ?
Une rencontre avec Laurent Gbagbo en juillet, une autre avec Guillaume Soro en septembre… À un an de l’élection, le Sphinx assume les jeux d’alliances et sa rupture consommée avec le RHDP.