Cette Église prophétique d’origine béninoise a essaimé sur tout le continent et même au-delà. Un succès dû à sa proximité avec les traditions locales, la pratique de la divination et de la guérison. Reportage.
Le pape Benoît XVI a appelé à prier pour tous les otages à travers le monde et en particulier pour les deux religieuses italiennes enlevées le 10 novembre dans le nord du Kenya.
La Fête de la Nativité célébrée le 25 décembre, a été meurtrière au Cameroun, avec une demi douzaine de morts et une dizaine de blessés, rapportent des sources hospitalières et sécuritaires.
Le Conseil supérieur des oulémas (docteurs de loi islamique) du Maroc est sorti de son mutisme après la levée, le 10 décembre, des réserves sur la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard de la femme (CEDEF), en affirmant que l’attachement aux constantes religieuses du pays ne peut être remis en question.
La fête chrétienne de Noël, commémorant la naissance de Jésus Christ et considérée comme celle du don de cadeaux aux enfants, se prépare activement à Abidjan où magasins et grandes surfaces sont remplis de de jouets au grand bonheur des enfants.
La treizième édition de la fête des religions traditionnelles du Bénin, communément appelée « fête du Vaudou », sera célébrée, le 10 janvier 2009, sur toute l’étendue du territoire béninois, a-t-on appris de source officielle à Cotonou.
Cela lui semble encore incroyable. « Je n’en reviens pas. C’est moi, la première femme maire d’Egypte », lance Eva Habil, portée à la tête d’un gros village copte de la vallée du Nil.
Éducation, musique, mode, médias, religion… Tournée vers le monde arabe autant que vers l’Europe, plus ouverte et plus réceptive aux influences extérieures que les autres, la jeunesse tunisienne est vraiment une jeunesse à part dans la région.
Au temps du royaume de Kongo, la religion devint un moyen, plus ou moins efficace, de régler des questions d’ordre politique. Depuis, ici, elle n’a jamais quitté l’espace public.
A quelques jours de la grande fête musulmane de l’Aïd el-Kébir (ou Aïd al-Adha), la « fièvre du mouton » bat son plein au Maroc, où plusieurs millions de moutons et de chèvres seront sacrifiés mardi pour honorer la tradition.
A quelques jours de la grande fête musulmane de l’Aïd el-Kébir (ou Aïd al-Adha), la « fièvre du mouton » bat son plein au Maroc, où plusieurs millions de moutons et de chèvres seront sacrifiés mardi pour honorer la tradition.
Jos panse ses plaies et fait ses comptes. Théatre en fin de semaine dernière de deux jours de folie meurtrière, cette ville du centre du Nigeria, toujours quadrillée par un lourd dispositif militaire, s’efforce de faire disparaître les traces des affrontements qui ont fait au moins 200 morts.
À peine sorti de la décennie noire, le pays tente de renouer avec une pratique religieuse pacifiée. Pas simple, le terrorisme au nom d’Allah a durablement traumatisé la société.
Derrière un raidissement apparent de la pratique se cache surtout la volonté de vivre différemment. En rupture avec le passé pour se construire une identité propre.
Au moins 200 personnes sont mortes vendredi et samedi dans la ville de Jos, au centre du Nigeria, lors d’affrontements entre chrétiens et musulmans, a annoncé dimanche le commissaire (ministre) à l’information de l’Etat de Plateau, M. Nuhu Gagara.
L’armée nigériane renforçait sa présence lundi dans la ville de Jos, dans le centre du Nigeria, deux jours après des affrontements inter-religieux qui ont fait au moins 200 morts, a affirmé un porte-parole de l’état-major.
L’armée nigériane a renforcé sa présence à Jos et ses patrouilles quadrillaient cette ville du centre du Nigeria, deux jours après des affrontements entre chrétiens et musulmans qui ont fait au moins 200 morts – voire près du double selon certains témoins.
L’armée nigériane a renforcé sa présence à Jos et ses patrouilles quadrillent cette ville du centre du Nigeria, deux jours après des affrontements entre chrétiens et musulmans qui ont fait au moins 200 morts – voire près du double selon certains témoins.