L’épidémie à virus Ebola qui sévit dans l’est de la République démocratique du Congo depuis août et qui a fait 271 morts « va encore durer quelques mois », a estimé jeudi 6 décembre le ministre congolais de la Santé.
Davantage attirés par des débouchés locaux en forte croissance que par les perspectives d’exportation, les géants du secteur pharmaceutique se sont trouvé un nouveau pôle industriel.
Après avoir cédé sa branche nutrition au français Lactalis, le groupe sud-africain Aspen entend se concentrer sur les médicaments. Rencontre avec son PDG, Stephen Saad.
Le spécialiste de la radiologie et de l’oncologie marocain, ODM, souhaite, pour se développer, maintenir une bonne relation entre ses médecins actionnaires et ses bailleurs de fonds.
Selon le rapport mondial du Programme commun des Nations unies sur le VIH/sida (Onusida), rendu public jeudi 22 novembre à Abidjan, le nombre de personnes vivant avec le VIH est passé de 36,3 millions en 2016 à 36,9 millions en 2017, tandis que le nombre de décès a été réduit de 990 000 à 940 000.
Sept nouveaux cas de fièvre hémorragique ont été enregistrés dans l’est de la République démocratique du Congo où l’épidémie de la maladie à virus Ebola a déjà fait 222 morts depuis le début de l’épidémie, selon le ministère congolais de la Santé dans un bulletin publié jeudi 22 novembre.
L’Organisation mondiale de la santé a publié son rapport annuel sur le paludisme le 19 novembre. Si le nombre de cas à l’échelle semble stagner par rapport à 2017 et même diminuer sur certains continent, l’Afrique reste en première ligne face au fléau.
Lors des débats sur le projet de loi de finances (PLF) 2019, les législateurs marocains ont adopté des mesures pour taxer davantage les boissons sucrées. Si les maladies cardiovasculaires causent d’importants dégâts sur la santé, elles pèsent également sur les finances publiques.
Au cinquième jour de la grève lancée par douze syndicats du secteur de la santé en Côte d’Ivoire, les autorités et les leaders de la contestation semblent ne pas parler le même langage. Dans les hôpitaux publics, la situation devient de plus en plus alarmante.
Dans ce texte cosigné avec Arlindo Carvalho, le président de la Croix-Rouge du Cap-Vert et du Groupe Sahel+, Abdoul Azize Diallo, président de la Croix-Rouge sénégalaise, s’insurge contre « une aide qui laisse les communautés incapables de se relever et de résister aux futurs chocs » et propose de travailler autrement.
Des moustiques génétiquement modifiés pour lutter contre le paludisme : le projet Target Malaria envisage d’effectuer dans les « prochains mois » un lâcher expérimental, mais le procédé est décrié par des organisations de la société civile qui craignent une « catastrophe ».
Le collectif Guinéenne du 21e siècle a lancé en ce mois d’octobre une campagne visuelle intitulée #NosFillesAvecLeurClito. Objectif : déconstruire les préjugés « positifs » autour de l’excision.
L’épidémie d’Ebola qui sévit dans l’est de la République démocratique du Congo a atteint le cap des 200 cas, dont 125 morts, a annoncé vendredi l’OMS, inquiète de la persistance de l’insécurité dans la région.
Le ministre malgache de la Santé a assuré jeudi que la situation était « sous contrôle » après l’annonce des premiers cas confirmés de peste de la saison, disant que les leçons avaient été tirées du lourd bilan de l’an dernier.
En jugeant « anticonstitutionnelle » la législation actuelle, la justice sud-africaine vient de décriminaliser la consommation du cannabis par des adultes à titre privé.
Qualifiée de « révolution dans l’histoire médicale » du Mali, la première opération à cœur ouvert sur une fillette, réalisée le lundi 10 septembre, n’a été possible que grâce à une donation privée, témoignant du retard pris par le secteur de la santé.
Le virus Ebola en RDC ou le choléra en Algérie sont autant d’épidémies évitables sur le continent africain, selon le professeur Ali Benmakhlouf, pour qui les grandes inégalités de santé sont d’abord des inégalités d’accès à la prévention.
Les autorités sanitaires algériennes veulent-elles cacher l’apparition d’un nouveau foyer de choléra à Oran ? Les informations contradictoires émanant d’un côté des médecins du service infectieux et d’un autre de la tutelle le laissent supposer.
Les autorités sanitaires ont estimé samedi à Kinshasa que l’évolution de la maladie à virus Ebola était maîtrisée dans « l’épicentre », cinq semaines après la déclaration de l’épidémie qui a déjà fait 89 décès dans l’est de la République démocratique du Congo.
Le bilan de l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola est monté à 88 morts dans l’est de la République démocratique du Congo, où deux décès ont été enregistrés pour la première fois à Butembo, grand carrefour commercial d’environ un million d’habitants.
La situation sanitaire s’améliore sur le continent, avec la réduction des décès liés à la pneumonie, au VIH et aux maladies diarrhéiques. C’est ce qui ressort du dernier rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publié le 29 août. Mais des investissements plus importants dans les structures de santé sont nécessaires.
Le risque de choléra a été écarté mercredi soir chez un enfant qui se trouvait à bord d’un avion en provenance d’Algérie, touché par une épidémie, a déclaré la préfecture de Perpignan, où l’appareil avait atterri en début d’après-midi.
Le wali de Blida, Mostefa Layadi, n’aura pas résisté longtemps à la polémique sur la mauvaise gestion de la crise du choléra. Il a été limogé le 3 septembre par Abdelaziz Bouteflika. Cette première sanction politique suscite l’espoir des habitants qui se plaignaient des conditions délétères dans plusieurs villes de la wilaya.
Au moins 150 passagers d’un avion en provenance d’Oran ont été pris en charge le 5 septembre à l’aéroport de Perpignan, dans le sud de la France, en raison d’une suspicion de choléra sur un enfant de 8 ans, de nationalité française.
L’épidémie de choléra, qui a tué deux personnes en Algérie depuis son apparition le 7 août, est « maîtrisée », a affirmé mardi Mokhtar Hasbellaoui, le ministre de la Santé. Les autorités politiques et sanitaires restent critiquées pour leur gestion de l’épidémie.
Le choléra, réapparu en Algérie début août pour la première fois depuis vingt-deux ans, touche désormais 59 personnes dans cinq régions du pays, dont 11 dans la capitale, a annoncé le 28 août le ministère de la Santé.
L’épidémie de choléra qui touche le pays depuis quelques jours a créé une vague de panique en Algérie. Pénuries, aliments boycottés, ruée vers les hôpitaux… Les Algériens semblent déconcertés depuis l’annonce de l’épidémie.
Le dernier bilan officiel de l’épidémie de choléra en Algérie fait état de 49 cas confirmés, dont deux décès. Les autorités du pays sont fortement critiquées par la population pour leur manque de réactivité.
L’Algérie a appris avec stupeur le 23 août le début d’une épidémie de choléra dans le pays. Face à la situation, les autorités appellent au calme mais la population, elle, dénonce un manque de réactivité.