Le Fonds monétaire international (FMI) a approuvé vendredi une enveloppe supplémentaire de 130 millions de dollars en faveur des trois pays les plus frappés par Ebola (Guinée, Liberia, Sierra Leone) qui bénéficient déjà de plans d’aide de l’institution.
Margaret Chan, la directrice générale de l’OMS, a appellé jeudi les dirigeants de la planète à agir avec plus de détermination pour enrayer l’épidémie d’Ebola qui frappe l’Afrique de l’Ouest.
Les dirigeants africains ont-ils pris suffisamment tôt la mesure du danger que représentait le virus Ebola ? Pour tenter de répondre à cette question, nous avons répertorié les principales déclarations des chefs d’État d’Afrique de l’Ouest ou des représentants d’institutions régionales depuis le début de l’épidémie, en les rapprochant du nombre de morts recensés au moment où ils s’exprimaient.
Nouvelle quarantaine en Sierra Leone. Le président Ernest Bai Koroma a annoncé mercredi soir que trois régions et douze chefferies étaient confinées avec effet immédiat, afin d’enrayer la progression de l’épidémie d’Ebola.
Une semaine après le meurtre de membres d’une équipe en campagne de sensibilisation sur Ebola dans le sud de la Guinée, 27 personnes ont été arrêtées, a annoncé mercredi le ministre guinéen de la Justice.
Avec une relance en panne, la Tunisie multiplie les appels aux investisseurs étrangers. Mais le gouvernement ne donne pas toujours une suite positive aux projets, sans pour autant motiver son refus de manière convaincante, comme le montre l’affaire ECC. Explications.
Tandis que le virus se propage, les États du monde entier se mobilisent pour enrayer l’épidémie. À chacun sa méthode : l’imagination aussi, c’est contagieux !
Alors que les autorités congolaises affirment que l’épidémie est « en bonne voie d’être maîtrisée », l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a estimé mardi qu’il était prématuré de faire des prédictions sur l’évolution d’Ebola en RDC.
Le chef des troupes américaines en Afrique (Africom) va diriger en personne depuis Monrovia le déploiement de 3 000 soldats pour lutter contre l’épidémie d’Ebola. Les raisons d’une intervention spectaculaire.
À l’ouverture du sommet de l’ONU sur le climat à New York, Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations unies, a appelé mardi les dirigeants du monde à « changer de cap » et à « faire preuve de leadership » en s’engageant à conclure un « accord universel » sur le climat fin 2015 à Paris.
Dans une étude publiée par le « New England Journal of Medicine », l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a averti le 23 septembre que plus de 20 000 personnes seront infectées par le virus Ebola à début novembre si les mesures de contrôle de l’épidémie ne sont pas renforcées en Afrique de l’Ouest.
Selon un dernier bilan daté du 18 septembre et publié lundi par de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’épidémie d’Ebola a déjà fait 2 793 morts en Afrique de l’Ouest, sur 5 762 cas détectés.
Le confinement général de trois jours ordonné pour lutter contre l’épidémie d’Ebola a permis aux autorité de Sierra Leone de visiter 80 % des habitations sur l’ensemble du pays, a déclaré lundi le ministre de la Santé.
Un missionnaire catholique espagnol contaminé par le virus Ebola en Sierra Leone a été rapatrié dans la nuit de dimanche à lundi à Madrid. Selon les services médicaux, il est hospitalisé « dans un état grave ».
Des dizaines de corps de victimes d’Ebola ont été retrouvés en Sierra Leone, après trois jours de confinement de la population. De l’autre côté de la frontière, au Liberia, les autorités ont quadruplé le nombre de lits destinés aux malades.
Plus de 60 corps de malades d’Ebola ont été découverts et 22 nouveaux cas identifiés depuis le début du confinement total de la population en Sierra Leone pour trois jours, ont annoncé dimanche les services de santé.
L’épidémie d’Ebola a fait 40 morts dans une zone reculée du nord-ouest de la République démocratique du Congo où la maladie est en voie d’être « maîtrisée », ont indiqué samedi soir les autorités congolaises.
La Sierra Leone entre dimanche dans son troisième et dernier jour de confinement général qui doit permettre de contenir l’expansion du virus Ebola, alors que des critiques s’élèvent sur une opération qualifiée par certains de « coup de pub » mal organisé.
La population du Sierra Leone vivait samedi son deuxième jour de confinement général, après une première journée « difficile » pour les équipes chargées d’informer les habitants sur l’épidémie d’Ebola, qui suscite une mobilisation internationale croissante.
La France et l’Allemagne ont annoncé vendredi la mise en place d’un pont aérien depuis Dakar afin d’acheminer l’aide vers les pays frappés par l’épidémie d’Ebola, qui a conduit la Sierra Leone à décréter trois jours de confinement de sa population.
Pour éviter la pénétration du virus Ebola sur leur territoire, les pays encore épargnés renforcent la surveillance au niveau de leurs frontières. Est-ce suffisant pour empêcher la maladie de traverser les frontières en Afrique de l’Ouest où il existe de nombreux points de passage illégaux ? Enquête aux frontière du Togo avec le Ghana et le Bénin.
Les corps de huit personnes ont été retrouvés jeudi dans la région de N’Zérékoré (sud de la Guinée). Ils étaient tous membres d’une mission de sensibilisation au virus Ebola attaquée par les villageois.
À l’occasion du sommet sur le climat organisé le 23 septembre à New York par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, « Jeune Afrique » publie sa carte des 15 lieux les plus menacés par le réchauffement global. Vivez-vous dans l’un d’entre eux ?
Dans la lutte contre le virus Ebola, qui a déjà fait 2 630 morts, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la recherche d’un sérum a provoqué des effets pervers. L’OMS a ainsi dénoncé un nouveau commerce : celui du sang de personnes ayant survécu au virus. Explications.
Le Sierra Leone s’apprête à lancer une opération géante de porte-à-porte à destination de ses six millions d’habitants. La population est invitée, à partir de jeudi soir, à rester confinée pendant trois jours afin de recevoir la visite d’un des 30 000 agents mobilisés par l’État contre le virus Ebola.
Les pays ouest-africains les plus touchés par Ebola espèrent un tournant grâce à l’aide militaire promise mardi par les États-Unis. Autre motif d’espoir : l’examen, ce jeudi, par le Conseil de sécurité de l’ONU, d’un projet de résolution visant à juguler l’épidémie.
Barack Obama a annoncé mardi soir le déploiement de 3 000 militaires américains en Afrique de l’Ouest pour lutter contre la propagation d’Ebola. Point par point, voici ce que prévoit Washington pour stopper le virus tueur.
À l’issue d’une réunion à huis-clos à Genève, mardi, le Dr David Nabarro, coordonnateur de l’ONU contre l’épidémie d’Ebola, a indiqué que les Nations unies avaient besoin d’un milliard de dollars pour lutter contre la fièvre hémorragique en Afrique de l’Ouest.
Le président américain, Barack Obama, va annoncer, mardi, le déploiement de quelque 3 000 militaires en Afrique de l’Ouest pour « faire reculer » l’épidémie d’Ebola.