Nouha Aissat, responsable management stratégique et gouvernance d’entreprise d’El Kendi, revient sur la stratégie du numéro deux du marché pharmaceutique algérien. Après le Maroc, le laboratoire veut ouvrir dans les deux ans une filiale en Tunisie.
Après une année 2011 morose, le laboratoire pharmaceutique Adwya retrouve des couleurs. Le succès du Viatek, une formule reprenant le principe actif du Viagra, valide son choix de miser sur les médicaments génériques.
Le laboratoire pharmaceutique congolaise Promed a reçu un financement de plusieurs centaines de milliers de dollars de la part du fonds Central Africa SME, géré par XSML, une société de capital risque hollandaise.
Après les déclarations du chef du gouvernement en faveur de la préférence nationale, le laboratoire chérifien Sothema compte sur la parution d’un décret pour en bénéficier. Tout en poursuivant son expansion internationale.
Le groupe français Tridem Pharma, spécialisé dans la commercialisation de produits pharmaceutiques en Afrique, veut se déployer en Afrique anglophone d’ici à la fin de l’année.
L’opérateur téléphonique Bharti Airtel s’associe avec le nigérian Sproxil pour permettre à ses clients africains de s’assurer que leurs médicaments ne sont pas des contrefaçons.
Proparco, la filiale de l’Agence française de développement (AFD) en charge du secteur privé, vient d’acquérir 20% de la branche Afrique du laboratoire indien Strides Arcolab. À la clé, la construction de deux usines au Cameroun et au Soudan.
D’un coût de 27,5 millions de dollars, en partie financé par Vale, l’usine de la Mozambican Medications Company a été inaugurée le 21 juillet près de Maputo, au Mozambique.
Hors pétrole et gaz, quel groupe algérien a le plus exporté en 2011 ? Réponse : les Industries médico-chirurgicales (IMC). Cette année, son directeur – et fils du fondateur – compte mettre l’accent sur le Maroc, la Tunisie et le Sénégal.
Fin connaisseur de la distribution pharmaceutique sur le continent, le nouveau PDG d’Eurapharma, filiale du groupe CFAO, entend poursuivre le cap fixé par son prédécesseur, tout en préparant de nouvelles implantations.
Le gynécologue obstétricien a décroché un investissement d’Aureos Capital pour financer la modernisation de sa clinique et rayonner sur l’Afrique de l’Ouest.
En vingt ans, le laboratoire Homeopharma est devenu une référence pour ses traitements et cosmétiques tirés de la pharmacopée ancestrale. Pour poursuivre sa croissance, il cible les marchés africains.
Avec les 1,7 million de dollars que lui apporte le Fonds pour la santé en Afrique, la Clinique Biasa, fondée par Moïse Fiadjoe, peut mettre en oeuvre son important plan de développement.
La plateforme mobile MedAfrica, vient de remporter le concours annuel Ericsson Application Awards, organisé à Stockholm (Suède) par le fournisseur suédois de technologies et de services de télécomunications.
En faisant l’acquisition d’un portefeuille de médicaments génériques auprès de Medreich India, le numéro un français Sanofi muscle notamment sa présence au Nigeria.
La firme pharmaceutique émiratie Julphar vient de lancer officiellement la construction d’une usine en Algérie. Cette dernière devrait permettre de couvrir quelque 70% des besoins en médicaments du pays.
Directeur général de la zone Afrique centrale chez Sanofi, le pharmacien franco-ivoirien William Kouadio-Tiacoh décline la stratégie du géant français dans douze pays.
Le régime d’assistance médicale (Ramed) va être étendu à 8,5 millions de Marocains à faibles revenus. L’opération a été lancée mardi 13 mars à Casablanca par le roi Mohammed VI.
Après l’Afrique du Sud et le Nigeria, le laboratoire pharmaceutique Ranbaxy annonce l’ouverture d’une usine au Maroc, ouvrant la voie à un déploiement commercial en Afrique du Nord.
Sur fond de polémique avec son rival Laprophan, le laboratoire pharmaceutique marocain Sothema menace de transférer sa production d’insuline en Algérie s’il n’obtient rien des autorités. Interview de sa directrice générale, Lamia Tazi.
Renforcée par l’entrée de la Société financière internationale dans son capital, la filiale santé du groupe tunisien Amen envisage de s’implanter en Mauritanie et en Libye.
Prothèses mammaires, liposuccions, liftings… Pour ces interventions, plus besoin d’aller en Europe. L’offre s’étoffe dans la capitale sénégalaise, qui abrite même la première clinique spécialisée d’Afrique de l’Ouest.
Toujours plus sophistiqués, les appareils médicaux sont aussi de plus en plus difficiles à entretenir. Et le manque de moyens et de personnel qualifié n’arrange rien aux affaires des établissements de santé.
Le groupe de la famille Ben Yedder s’étend de la finance… aux services de santé. Déjà à la tête d’un réseau de cliniques, sa filiale spécialisée a fait sien le concept d’hôpital privé.
Pour diriger un établissement, mieux vaut être un bon administrateur plutôt qu’un médecin chevronné… Cela s’apprend notamment à l’Institut supérieur du management de la santé, à Dakar.
Pour Jeune Afrique, le chef de l’unité de la propriété intellectuelle à la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) aborde les tendances et les perspectives d’un secteur en pleine mutation.
À Casablanca, Alger et Tunis, de véritables fleurons de l’industrie pharmaceutique ont émergé en une dizaine d’années. Certains, pour qui le marché national devient trop étroit, regardent déjà au-delà de leurs frontières.
L’accord signé le 30 juillet 2009 entre Pfizer et l’Etat nigerian de Kano n’a pour l’instant abouti à aucun versement aux familles des victimes présumées d’un essai clinique pratiqué par le laboratoire pharmaceutique en 1996 sur plusieurs centaines d’enfants. Quelque 35 millions de dollars sont en jeu.