Trois options ont été présentées à l’ONU dans un rapport que Jeune Afrique a consulté. Kigali, qui soutient le M23 dans l’est de la RDC, accuse cette force régionale de collaborer avec des groupes armés qui lui sont hostiles.
Le 8 juillet, 22 soldats congolais ont été condamnés à mort, reconnus coupables notamment d’avoir fui devant le M23. Reportage à Lubero, dans le Nord-Kivu où, face à la progression des rebelles, les autorités militaires croient en l’effet dissuasif de la peine capitale.
Alors que trois ressortissants américains comparaissent actuellement dans le procès de la « tentative de coup d’État » du 19 mai dernier, un quatrième individu, arrêté le 22 mai et soupçonné d’être impliqué, se trouve toujours en détention à Kinshasa.
Déjà en conflit ouvert avec le Rwanda, la RDC est réticente à ouvrir un autre front diplomatique. Pourtant, selon le dernier rapport de l’ONU, Kampala soutient bel et bien les rebelles du M23, dans l’Est. Tout en combattant un autre groupe armé, les ADF, aux côtés cette fois de l’armée congolaise.
En prenant le contrôle de cette localité de l’est de la RDC, les rebelles s’ouvrent la route du « Grand Nord », tout en se rapprochant peu à peu de zones où opèrent les Forces démocratiques alliées.
De nombreuses frappes aériennes israéliennes ont visé la ville de Gaza, dans le nord du territoire palestinien, ainsi que Rafah et Khan Younès, dans le sud. Plus de quarante Palestiniens ont été tués au cours des 24 dernières heures.
Près d’une vingtaine de personnes ont été tuées et au moins autant d’autres grièvement blessées dans des attaques survenues le 29 juin dans la ville de Gwoza, dans le nord-est du pays. Le mode opératoire rappelle celui de l’organisation jihadiste.
La ville est considérée comme un verrou contrôlant vers le nord les accès aux villes de Butembo et Beni, fiefs de l’importante tribu Nande et grands centres commerciaux du pays.
L’ONU craint une escalade régionale entre Tsahal et le Hezbollah, alors que l’armée israélienne réorganise ses forces vers la frontière avec le Liban et multiplie les menaces contre l’organisation islamiste.
Vingt militaires et un civil ont été tués mardi 25 juin lors d’une attaque dans la zone de Téra, dans l’ouest du pays, qui a décrété trois jours de deuil national.
Mi-juin, les autorités ivoiriennes ont reçu à Abidjan le vice-président de la société chinoise Catic, avec lequel elles ont finalisé une commande de plusieurs appareils d’attaque.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, se projette dans le nord, après son offensive terrestre menée dans la ville du sud de la bande de Gaza contre le Hamas.
Dimanche 23 juin, les forces armées nigériennes ont déclaré, dans leur bulletin publié sur Internet, avoir tué un « membre » de l’État islamique, « influent » dans l’ouest du pays.
Survenu dans la nuit du 18 au 19 juin, l’incendie dont l’origine n’est pas criminelle selon le gouvernement, a fait au moins neuf morts et plusieurs blessés, selon les autorités. Un bilan provisoire qui risque de s’alourdir.
Chargé de la direction de la protection présidentielle, le général Belkacem Laribi assure l’intérim à la direction du protocole, dont l’ancien patron a été brutalement limogé le 5 juin dernier.
L’organisation a fermement dénoncé lundi 17 juin les « massacres » commis par cette rébellion dans les territoires de Béni et de Lubéro, dans la province du Nord-Kivu, qui ont fait 150 morts en juin.
Une attaque jihadiste meurtrière, dont le bilan exact est inconnu, a visé mardi la localité de Mansila, dans le nord-est du Burkina Faso, près du Niger, a-t-on appris dimanche 16 juin de sources locale et sécuritaire.
En pleine visite du secrétaire d’État américain, le Hamas a annoncé avoir remis au Qatar et à l’Égypte sa réponse au plan annoncé le 31 mai par le président Joe Biden. Mais Tsahal continue de bombarder sans relâche la bande de Gaza.
Après la fin des activités de la Mission de l’ONU dans la province du Sud-Kivu, la protection des habitants incombe désormais exclusivement au gouvernement congolais. Un défi qu’il devra relever en associant la population à ses projets à travers plusieurs mécanismes, dont la protection civile non armée.
Au moins 27 personnes ont été tuées et de nombreuses autres blessées après une frappe aérienne de Tsahal sur cet établissement de l’Unrwa, dans la région de Nousseirat, qui abritait, aux dires de l’armée israélienne, une base du Hamas.
Le Premier ministre israélien a affirmé qu’Israël était « prêt pour une opération très intense » à sa frontière nord, où les échanges de tirs entre l’armée et le mouvement libanais Hezbollah sont quotidiens.
Israël poursuit son offensive terrestre sur la ville du sud de la bande de Gaza, alors que Benyamin Netanyahou a écarté tout espoir de cessez-le-feu permanent.
Les autorités nigériennes veulent renforcer la sécurité d’installations électriques et des dépôts de carburant de la capitale face à la « menace » d’un groupe hostile au régime militaire.
Le suspect, détenteur de deux passeports, l’un belge, l’autre portugais, sous deux noms différents, serait « en contact permanent avec plusieurs groupes armés » rebelles, selon le procureur de la République.
Le Premier ministre israélien a qualifié de « calomnies antisémites » le fait qu’Israël soit accusé de cibler des civils ou de les affamer dans la bande de Gaza. Quant à l’offensive lancée contre la zone tampon entre le territoire palestinien et l’Égypte, elle se poursuit ce 31 mai.
Selon l’agence de presse officielle syrienne, Sana, les défenses aériennes ont intercepté des cibles israéliennes au-dessus du centre de la Syrie, mercredi 29 mai. De son côté, l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a précisé qu’Israël avait visé un site militaire.
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a regretté « un accident tragique » après qu’une frappe a fait, le 26 mai au soir, 45 morts et 249 blessés, selon le ministère de la Santé à Gaza, et mis le feu à des tentes occupées par des Palestiniens dans un camp de déplacés.
Les Forces démocratiques alliées ont mené en fin de semaine dernière de nouvelles attaques meurtrières contre des civils, conduisant les autorités locales à lancer un appel au gouvernement pour « rétablir la paix » dans le Nord-Kivu et en Ituri.