Après avoir détruit le nord de Gaza, l’armée israélienne frappe désormais le Sud, vers lequel Tsahal avait conseillé aux Palestiniens de se déplacer pour ne pas être tués dans les bombardements.
Le régime militaire du général Abdourahamane Tiani a mis fin à deux missions de sécurité de l’Union européenne, le jour de la visite d’une délégation russe à Niamey.
Selon l’état-major, les forces armées maliennes auraient « infligé une sanglante défaite » à « plusieurs dizaines de terroristes » dans quatre villes du Nord, notamment à Ménaka, encerclée par l’EIGS.
Les soldats israéliens sont engagés dans une offensive terrestre depuis le 27 octobre dans le nord de Gaza, ciblant les « bastions du Hamas ». Depuis l’expiration de la trêve, l’armée s’était principalement concentrée sur des raids aériens.
Le président bissau-guinéen a dénoncé samedi 2 décembre une « tentative de coup d’État » qui aura « de lourdes conséquences » après des affrontements entre l’armée et des éléments des forces de sécurité qui ont fait au moins deux morts.
La force régionale de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC-RF), dont Kinshasa, qui la juge inefficace, a décidé de ne pas renouveler le mandat, a commencé dimanche matin à quitter la RDC.
La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a condamné « toutes les tentatives visant à perturber l’ordre constitutionnel » en Guinée-Bissau, où la situation était calme samedi matin.
En vigueur depuis ce 24 novembre au matin, cette première pause humanitaire doit être suivi dans l’après-midi de la libération de treize otages israéliens.
À l’heure où Israël poursuit ses bombardements sur Gaza dévasté, les négociations avec le Hamas pour obtenir la libération des otages capturés lors de l’attaque du 7 octobre se poursuivent. Les détails doivent être annoncés prochainement.
Jusqu’ici épargné par les attaques terroristes, le chef de l’État ghanéen sait pourtant que la menace est plus que jamais présente dans son pays. Voici ceux qui l’aident à protéger ses frontières.
De nouvelles mesures très strictes ont été prises au sein de la plus grande prison guinéenne, où les gendarmes et des éléments des Forces spéciales montent désormais la garde.
Le président congolais veut voir l’EACRF quitter l’est de la RDC le 8 décembre. Mais le déploiement des contingents de la SADC tarde à s’organiser, faisant craindre une dangereuse cacophonie sécuritaire à un mois des élections.
Ces engins font partie d’une commande effectuée début 2023 et supervisée par le chef de la maison militaire, le lieutenant-général Franck Ntumba. Explications.
Plus de cent jours après le coup d’État qui a renversé Mohamed Bazoum à Niamey, l’opération envisagée par l’organisation ouest-africaine semble définitivement écartée.
L’ancien chef d’état-major de l’armée togolaise a été condamné pour complicité d’assassinat dans la mort du colonel Bitala Madjoulba, tué en mai 2020. C’est lui qui écope de la plus lourde peine.
Le Premier ministre israélien a rejeté une nouvelle fois cette possibilité, alors que le territoire palestinien sous contrôle du Hamas est devenu selon l’ONU « un cimetière pour les enfants ». Benjamin Netanyahou a promis d’y prendre la « responsabilité générale de la sécurité » après la guerre qui entre, ce 7 novembre, dans son deuxième mois.
L’armée israélienne poursuit son offensive dans le nord de la bande de Gaza avec pour objectif de détruire le centre de commandement du Hamas. Les appels à une trêve humanitaire se font de plus en plus pressants. Dénonçant un « massacre immoral », le président turc boycotte ce 6 novembre une rencontre avec le secrétaire d’État américain.
La Mission de l’ONU en RDC (Monusco) a annoncé vendredi 3 novembre le lancement avec l’armée congolaise de l’opération « Springbok », destinée à empêcher les rebelles du M23 de s’emparer de Goma.
Après une semaine de combats dans le nord de la bande de Gaza, les soldats israéliens sont parvenus où se trouve le « centre de l’organisation terroriste Hamas ». Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, est attendu ce 3 novembre en Israël, pour appeler à des « mesures concrètes » afin d’épargner les civils. Plus de 1 400 Israéliens, selon les autorités, et plus de 9 000 Palestiniens, selon le Hamas, ont été tués depuis l’attaque du 7 octobre.
Pris dans le tourment d’une guerre qui menace d’embraser toute la régions, l’exécutif libanais, fragile, peine à contenir son encombrant partenaire le Hezbollah, et cherche des médiations.
Les échanges de tirs sont quasi-quotidiens dans le secteur entre l’armée israélienne et des groupes armés pro-palestiniens, dont le Hezbollah libanais, depuis le début de la guerre entre Israël et le mouvement islamiste Hamas dans la bande de Gaza.
Le procureur de la Cour pénale internationale a averti Israël que bloquer les camions d’aide humanitaire peut constituer un crime, alors que les appels se multiplient pour laisser passer le soutien à destination des civils. De nombreux camions d’aide humanitaire sont toujours coincés à Rafah, à la frontière entre l’Égypte et la bande de Gaza.
Poussée hors du Mali, la Minusma est contrainte par Bamako à précipiter son départ et saboter le matériel laissé derrière elle. Pour les Casques bleus encore sur place, la route du départ est celle de tous les dangers.
Alors que l’armée fait route vers Kidal en vue de récupérer le camp onusien, les Casques bleus pourraient quitter cette localité du Nord plus tôt que prévu. Un véritable problème pour Bamako.
Après leur départ de Tessalit il y a quelques jours, les Casques bleus de l’ONU ont vidé leur second camp dans la région. Leur départ de la ville-bastion des séparatistes s’annonce périlleux.
Acteur central de la rébellion indépendantiste de 2012, le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) fait partie des groupes armés qui ont repris les armes contre Bamako. Jeune Afrique a rencontré son chef, Bilal Ag Acherif.
Un quart de siècle après avoir été déployée, la force onusienne s’apprête à entamer un retrait « progressif et ordonné ». Retour sur l’histoire et le mandat de la Monusco, critiquée au point d’être la cible de manifestations hostiles des Congolais.
Après avoir conquis Anéfis, l’armée malienne prépare la bataille de Tessalit. Une étape stratégique dans la reconquête du Nord et, surtout, de Kidal, bastion des rebelles touaregs.
Nommé le 16 septembre, le général-major Peter Cirimwami a pris ses fonctions dans un contexte délicat. Entre le choc du massacre de Goma et la reprise des combats avec le M23, le gouverneur militaire du Nord-Kivu a fort à faire.