Certains parents d’élèves commençaient à désespérer, mais cette fois, ça y est, la date de la rentrée a été annoncée. Ce sera le 19 septembre, dans un contexte de hausse du prix des fournitures scolaires qui angoisse déjà de nombreuses familles.
Rendez-vous clé pour le continent, le sommet de Nairobi lance une longue séquence de négociations climatiques internationales qui culmineront à la COP28 de Dubaï en novembre.
Les relations entre la Fédération tunisienne de football (FTF) et l’Espérance sportive de Tunis, d’habitude plutôt apaisées, se sont brusquement tendues en raison d’un litige financier.
Deux ans après la création, à Brazzaville, de sa start-up spécialisée dans la livraison et l’e-commerce, l’ingénieur Jonathan Yanghat développe de nouvelles applications et étend ses services à Dakar, Kinshasa et, à partir d’octobre, Libreville. Portrait.
Depuis la découverte d’un projet de 738 hectares développé par l’État sénégalais sur le littoral casamançais, des habitants réunis au sein d’un comité luttent contre ce qu’ils estiment être une aberration environnementale.
La rencontre entre les deux pays prévue le 9 septembre ne présente aucun enjeu sportif, le Sénégal étant qualifié et le Rwanda éliminé. Mais elle a déclenché de vives tensions entre les fédérations.
À moins de deux semaines de la rentrée, les établissements d’enseignement supérieur confirment une baisse notable des inscriptions d’étudiants subsahariens. Les inquiétudes nées des déclarations de Kaïs Saïed et les violences contre les migrants ont laissé des traces.
Si le problème de ces « gardiens » clandestins, parfois menaçants, voire violents, n’a rien de nouveau, la vidéo de l’agression d’un automobiliste a enflammé les réseaux sociaux ces dernières semaines. Dans les deux pays, les autorités assurent tout mettre en œuvre pour éradiquer le phénomène.
Dans l’anthologie de l’univers occulte au Maroc, il y a une part sombre et meurtrière : le mythe des enfants zouhris. Considérés comme des êtres aux dons surnaturels, ils sont traqués, kidnappés et sacrifiés par des chasseurs de trésor. Une légende rurale ? Non, la triste réalité.
Entre la montée des conservatismes et la primauté des questions du genre sur le droit, les femmes se retrouvent prises en étau entre deux formes d’invisibilité.
Créatures surnaturelles de l’ombre, transes et sacrifices, potions magiques, le Maroc est un patchwork de croyances occultes et ésotériques qui traverse toutes les classes sociales, jusqu’au Palais. Exploration d’un univers aussi sombre que fascinant.
Si l’islam condamne fermement la pratique de la sorcellerie, il reconnaît son existence et a intégré une part de magie. Au Maroc, pays multiculturel de tradition soufie, confrérique et maraboutique, cette magie semble avoir pris une ampleur inédite.
Dans tout le monde arabe et méditerranéen, le Maroc est réputé pour ses traditions ésotériques et la puissance supposée de ses magiciens et magiciennes. Un phénomène qui perdure à ce jour, parfois dans des domaines inattendus.
Le lundi 21 août à Budapest, lors des Championnats du monde d’athlétisme, le Burkinabè Hugues Zango a décroché la première médaille d’or de l’histoire de son pays dans cette compétition, en triple saut.
Les Tunisiens, qui ont payé un lourd tribut à la pandémie, s’inquiètent des informations, venues notamment de France, sur une possible nouvelle vague. Pour l’heure, le nombre de nouveaux cas reste toutefois dérisoire et les stocks de vaccins sont constitués.
Sacré à Budapest champion du monde du 3 000 mètres steeple pour la deuxième fois consécutive, après avoir décroché la médaille d’or aux JO de 2020, le jeune athlète marocain est devenu un motif de fierté mais aussi un symbole de résilience pour ses compatriotes. Parcours.
Annoncé le 20 août, un accord sur la livraison de farine subventionnée aux boulangeries non étatiques devrait permettre de débloquer en partie la situation. Mais des questions demeurent sur l’approvisionnement général du pays en blé tendre.
Délais interminables, production de pièces justificatives parfois impossibles à obtenir… Le renouvellement d’un passeport ou d’une carte d’identité est un véritable parcours du combattant pour les Tunisiens.
Déjà accusée d’abus de confiance dans une collecte de fonds destinés à un orphelinat situé au Maroc, l’influenceuse franco-marocaine se voit maintenant reprocher par la justice française d’avoir fait la promotion d’un produit interdit à la vente dans l’Hexagone.
Le 11 août, le Paris Saint-Germain et la société algérienne Yassir ont annoncé la signature d’un contrat de partenariat pour trois saisons. Il rapportera au total 15 millions d’euros au PSG.
Né au Maroc, ce maître soufi a initié des rituels encore en vigueur aujourd’hui. Rebaptisé Sidi Belhassen Chedly par les Tunisiens, il a aussi introduit à Tunis l’habitude de consommer du café.
Jeune femme libre, miséricordieuse et parfois provocatrice, celle que l’on appelle aussi Saïda Manoubia ne craignait pas de concurrencer les hommes. Elle reste vénérée par beaucoup, mais aussi exécrée par les salafistes.
Opposé à la répression des Fatimides au Xe siècle, artisan de la reconfiguration de la capitale après leur départ, défenseur de la communauté juive, le saint patron de Tunis était d’abord un homme de paix.
Déconsidérées par le pouvoir sous le règne de Bourguiba, les figures de sainteté sont restées très présentes dans la culture tunisienne. Portrait des trois « saints patrons » de la capitale.
Le gouvernement burkinabè a décidé de suspendre « jusqu’à nouvel ordre » Radio Oméga, l’une des plus écoutées du pays, après la diffusion jeudi d’un entretien « émaillé de propos injurieux à l’encontre des nouvelles autorités nigériennes ».
La Tunisie a longtemps été l’unique producteur de l’emblématique couvre-chef en feutre rouge, porté aujourd’hui encore dans nombre de pays du Maghreb et d’Afrique subsaharienne, jusqu’en Orient.