Une adaptation théâtrale du roman d’André Brink, « Au plus noir de la nuit », ressuscite l’injustice et la folie du régime de Pretoria, l’apartheid en contant l’impossible idylle entre un Noir et une Blanche.
Après avoir travaillé près de dix ans avec les plus grands chorégraphes africains, la Française Marion Alzieu veut aujourd’hui tracer son propre sillon.
Le chorégraphe Serge Aimé Coulibaly s’est entouré de Felwine Sarr et Rokia Traoré pour évoquer la bataille fondatrice de l’empire du Mali… et l’Afrique actuelle.
En se focalisant sur la création africaine, la capitale du Sud de la France propose un événement globish, du 15 juin au 8 juillet, où les cultures dialoguent dans l’allégresse.
La metteure en scène guadeloupéenne présentait sa pièce musicale, La Radio des bonnes nouvelles, mi juin au FGO Barbara de Paris. Emission de bonnes ondes et ode aux figures féminines ayant marqué l’histoire.
À l’occasion de la seconde édition des Enfoiriens Juniors, à l’Institut français d’Abidjan, l’adolescent de 14 ans participera avec dix camarades aux concerts donnés les 2, 3 et 4 mai.
Pavillon des lettres d’Afrique au Salon du livre de Paris, Francophonie, Biennale de Dakar, musée des Civilisations noires… Le ministre de la Culture du Sénégal revient sur tous les sujets brûlants de l’actualité culturelle.
De Paris à Marseille, la compagnie poursuit sa tournée triomphale en France. Pendant ce temps, les athlètes et apprentis acrobates qui s’apprêtent à rejoindre la troupe s’entraînent à Conakry.
Dans son premier seule en scène, Fadily Camara parle girl power et empowerment noir sur fond de pop culture. L’occasion de rassembler les publics dans l’intimiste théâtre du Point-Virgule, à Paris.
L’impétueux et intarissable homme de théâtre congolais éclabousse la scène internationale du nord au sud. Qu’il fascine ou agace, il emporte beaucoup sur son passage.
Une énergie débordante, une douce malice et une soif de raconter. A l’occasion de son nouveau spectacle « Je demande la route », ITC s’est entretenu avec l’humoriste française originaire de Ouaga, Roukiata Ouedraogo.
Dans une adaptation très moderne du Menteur, de Corneille, présentée au théâtre de la Tempête, à Paris, les principaux rôles féminins ont été confiés à deux comédiennes noires. Une démarche qui reste exceptionnelle.
Prolifique, le dramaturge français d’origine marocaine de 37 ans, Mohamed El Khatib, brouille les frontières entre art dramatique et réalité de création en création.