Nommé directeur général de la multinationale juste avant la pandémie, le patron de 43 ans n’a pas pu parcourir le continent comme il l’aurait souhaité. En mars, il a effectué l’un de ses tout premiers déplacements officiels à Lomé pour signer l’arrivée du câble sous-marin Equiano.
Le pays voit le nombre de développeurs augmenter plus vite que partout ailleurs sur le continent. Mais une partie d’entre eux choisit l’exil, faute d’opportunités.
La firme de Mountain View vient de lancer un programme d’accélération de start-up en partenariat avec Algeria Venture. Quatorze jeunes pousses ont d’ores et déjà été sélectionnées.
Ingénieure formée en France, la directrice régionale de la start-up américaine pour la zone Uemoa incarne la réussite du Sénégal sur la scène tech panafricaine.
Avec 250 millions de dollars levés et un nouveau statut de licorne, la fintech, qui doit en partie son succès à la grande proximité de ses fondateurs avec la Silicon Valley, a connu une année 2021 de folie.
« Les 50 champions de la tech 2022 » (3/3). Qu’ils soient chefs d’autorités de régulation, lobbyistes, fondateurs d’incubateurs ou influenceurs, ils œuvrent à l’accélération de la numérisation sur le continent.
Prônant une liberté d’expression quasi absolue, le milliardaire d’origine sud-africaine vient de racheter le réseau social pour 44 milliards de dollars.
« Les 50 champions de la tech » (2/3). Leurs noms ne sont souvent connus que des spécialistes. Jeune Afrique a sélectionné dix patrons phares de fonds d’investissement et de fonds d’amorçage qui ont fait l’actualité au cours des douze derniers mois.
La Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest annonce la création d’un Bureau de connaissance et de suivi des FinTech (BCSF). Son objectif : encourager l’innovation financière.
Cofondateur et directeur général de la start-up nigériane valorisée 3 milliards de dollars, Olugbenga Agboola ne figure pas dans notre classement 2022 des 50 champions de la tech. Jeune Afrique vous explique pourquoi.
Ecobank, Huawei, Cybastion, ESET Africa, décideurs économiques, ministres… Les 9 et 10 mai, acteurs publics et privés se donnent rendez-vous à Abidjan pour réfléchir à la façon de faire face aux nouveaux risques en matière de cybersécurité, véritables freins à la croissance en Afrique.
Réalisée par Jeune Afrique et The Africa Report, la deuxième édition de notre palmarès exclusif vous présente les principales figures d’un secteur en pleine expansion.
« Les 50 champions de la tech 2022 » (1/3). Ils dirigent Chipper Cash, OPay, Wave, TradeDepot, Andela mais aussi MTN, Vodacom, Orange, Google, Amazon, Terraco et Huawei : retrouvez dans ce classement exclusif les trente patrons les plus importants de la tech africaine.
Première fintech de l’espace Uemoa à obtenir la licence d’Établissement de monnaie électronique (EME), la start-up Wave peut désormais se passer d’intermédiaire et proposer ses services financiers directement à ses clients.
Fibre optique, datacenters, cybersécurité… Le milliardaire zimbabwéen Strive Masiyiwa a créé un holding pour coiffer l’ensemble de ses activités, à l’exception de celles d’Econet. Jeune Afrique a rencontré Hardy Pemhiwa, son directeur général.
Les trois opérateurs ont choisi de séparer leur activité mobile money pour attirer des investisseurs extérieurs. Mais selon certains spécialistes, le modèle low-cost de Wave pourrait mettre à mal leurs objectifs de valorisation.
Olugbenga Agboola aurait commis diverses infractions concernant l’activité de sa start-up et aurait également fait preuve de comportements inappropriés vis-à-vis de plusieurs de ses collaboratrices, d’après une enquête du média d’investigation West Africa Weekly.
Une vingtaine de jeunes pousses du continent ont atteint le stade d’une troisième levée de fonds. Pour maintenir leur rythme de croissance, les fusions-acquisitions représentent une option de choix.
Pour le patron Afrique de l’opérateur français, l’offensive tarifaire déclenchée par la start-up américaine est destructrice de valeur. La directrice de cette dernière pour la zone Uemoa voit, au contraire, cette baisse de prix comme salutaire.
Grâce à l’événement MedInIsrael, Tel-Aviv entend approfondir ses relations dans ce secteur avec les pays francophones, explique à Jeune Afrique Michal Gur-Aryeh, du ministère israélien des Affaires étrangères.
Rançongiciel, phishing, spam… Sur le continent, à l’heure où les tentatives d’arnaque virtuelle se multiplient, banques, opérateurs de télécoms et institutions publiques organisent la riposte. Une bataille quotidienne et coûteuse.
Prévu pour arriver d’abord au Nigeria, le câble de fibre optique du géant du numérique a finalement choisi le Togo comme première étape africaine. Ce qui conforte les ambitions de hub digital en Afrique de l’Ouest du pays.
Algorithmes, géolocalisation et applications bousculent la logistique sur le continent. Fondée en 2018, la jeune pousse nord-africaine Freterium affiche de grandes ambitions sur ce créneau.
Face aux mastodontes de la logistique, les géants mondiaux que sont MSC, CMA CGM, Bolloré, Maersk ou encore Cosco, un écosystème de start-up émerge ces dernières années en Afrique. La jeune pousse nigériane Kobo360 est à l’avant-garde de cette révolution.
Créée par les jeunes entrepreneurs Bamba Lo et Rokhaya Sy, le spécialiste des livraisons a ouvert son tour de table aux investisseurs pour financer sa montée dans la filière de transport.
Après avoir mis en place des mesures pour favoriser la création de start-up il y a deux ans, l’exécutif algérien continue de créer les conditions idéales à la construction d’une “start-up nation”.
Les jeunes pousses du continent séduisent de plus en plus les investisseurs internationaux, après une année 2021 elle-même déjà faste. La fintech se démarque, mais les autres secteurs ne sont pas en reste pour les fonds recherchant des pépites, ces sociétés à la croissance explosive.
En Afrique, malgré la contraction de l’économie mondiale, le nombre de développeurs a augmenté de 3,8 % en 2021. Tech, salaires, hubs, défis du continent… Comment évolue cette tendance susceptible de modifier les écosystèmes locaux ?
Avec James Manyika, Google a misé sur l’expérience pour choisir son premier vice-président chargé de la technologie et de la société. Après 30 ans chez McKinsey, le Zimbabwéen est reconnu pour ses travaux de recherche en innovation. Portrait.