Avant d’arriver chez GE en 2003, ce Français est passé par BCEN-Eurobank Paris et au sein de la Banque arabe et internationale d’investissement. Diplômé de la Sorbonne, il vient d’être nommé directeur général de la région Afrique, poste qu’il assume en plus de sa position de PDG de GE Healthcare.
La loi relative aux jeunes pousses, fruit d’un lobbying actif de leurs patrons, facilite la création d’entreprises et leur développement à l’international.
Au Burkina, FasoPro, qui commercialise criquets et chenilles cuisinés, est aujourd’hui reconnue comme l’une des start-up les plus florissantes et les plus primées du pays. L’assurance et la démarche marketing de son fondateur y sont pour beaucoup.
Brookstone Partners, un fonds américain, lance un projet de centrale éolienne à Dakhla. La production électrique sera utilisée pour le minage de cryptomonnaie.
La jeune pousse camerounaise Phil John Technologies propose des solutions aux entreprises pour dématérialiser leurs documents. Après avoir réalisé un chiffre d’affaire de 23 000 euros en 2017, elle tente aujourd’hui de lever 500 000 euros.
Lors de la Conférence de l’Union africaine sur le e-commerce, qui s’est tenue à Nairobi du 23 au 25 juillet, l’UA a présenté sa feuille de route pour que le continent rattrape son retard dans l’économie digitale.
Malgré le vide juridique qui entoure le secteur et le manque de financement des jeunes entreprises, Guiddini emploie aujourd’hui seize personnes et son activité englobe la vente sur internet, l’aide au développement de plateformes e-commerce et l’intégration des moyens de paiement en ligne pour les professionnels
Après avoir engagé 100 millions de dirhams (9 millions d’euros) dans 17 start-up sur les huit dernières années, Maroc Numeric Fund double la mise pour sa deuxième opération.
Le service mobile M-Makiti renseigne, au jour le jour, paysans et consommateurs sur le cours des produits agricoles de grande consommation ou les semences en Guinée. Épaulés par Orange, et accompagnés par le gouvernement, ses cofondateurs Mamadou Bah et Thiam Oumar, débordent de projets.
Exportunity est une plateforme de e-commerce qui offre des espaces de vente en ligne et permet de vérifier les transactions. Déjà déployée au Bénin et au Togo, l’entreprise ambitionne de se lancer dans une vingtaine de pays d’ici cinq ans.
Textes de lois, décisions de justice, annuaire des professionnels du droit, vidéos didactiques, etc. Le site internet lancé en 2016 par Nafissatou Tine, Franco-Sénégalaise de 34 ans, veut être le Westlaw ou le Dalloz.fr africain.
La fondation Pierre Fabre a lancé il y a trois ans un Observatoire de la e-santé dans les pays du Sud, afin de « repérer, documenter et mettre en valeur » les innovations technologiques africaines ou asiatiques dans le domaine de la santé. Le 2 juillet a eu lieu à Lavaur, dans le sud de la France, la 3e conférence autour de cette initiative.
Lancée en octobre 2016, Paps est la première application géolocalisée de livraison à la demande d’Afrique francophone. Une innovation qui lui permet d’avoir une longueur d’avance sur la concurrence.
Enova Robotics est le seul fabriquant de robots intelligents en Afrique. Dans le monde, les concurrents directs se comptent sur les doigts d’une main. Le dirigeant, Anis Sahbani, voit donc grand et vient de réaliser la plus importante levée de fonds en Tunisie pour une start-up.
Lors d’une rencontré dédiée à la fintech en Afrique, le 21 juin à Paris, Thibault Flichy, haut cadre de Total, et Omar Cissé, patron d’InTouch, sont revenus sur le parcours qui a conduit la jeune pousse sénégalaise à réaliser la plus grosse levée de fonds jamais réalisée par une start-up d’Afrique francophone.
La start-up sénégalaise a obtenu en mars une subvention de 184 millions de francs CFA de la GSMA, l’association mondiale des opérateurs, pour le développement de Townpay, sa solution de paiement qui permet aux communes d’automatiser et de numériser la perception des impôts locaux.
Dix millions d’Ougandais n’ont pas accès à des sources d’eau potable. Ce qui signifie que les maladies hydriques sont toujours l’une des principales causes de mortalité infantile. A cet égard un filtre à eau en argile à été créé pour fournir une source d’eau potable.
Au Gabon, une application qui ambitionne de miser sur le suivi scolaire des élèves pour améliorer leurs performances a été officiellement présentée le 3 février 2017 devant les ministres en charge de l’Economie numérique et celui du Commerce et des PME.
Créée en 2011 pour répondre à des appels à manifestation d’intérêt sur des projets destinés aux jeunes, l’ONG Youth First lance son premier programme YWLP en 2014 à Madagascar. L’objectif était de pousser les jeunes femmes à avoir des engagements concrets, mais aussi de renforcer leur leadership, leur estime d’elles-mêmes et leur confiance en elles.
Le Nigeria fait face à un déficit massif de logement d’environ 17 millions d’unités. En outre une partie importante de la population n’a toujours pas accès à l’électricité et à l’assainissement. Chinwe Ohajuruka, a lancé Compréhensive Design Services pour résoudre ce problème.
La solution est rangée dans le registre des grandes innovations au cours de ces dernières années dans le domaine de la santé au niveau mondial. Elle sauve des vies. Elle améliore les soins de santé. Il s’agit de Hope, une interface qui a apporté une réponse viable aux pénuries de sang au Sénégal.
Le 2 avril 2018, l’Assemblée tunisienne a voté le Startup Act, destiné aux jeunes pousses du numérique et rédigée avec elles. Un modèle qui pourrait inspirer bien d’autres pays en Afrique subsaharienne, estiment Thomas Léonard, associé chez Okan, et Yahya et Amine Bouhlel, cofondateurs de la start-up tunisienne GoMyCode.
À l’origine conçue comme une société de service et d’investissement, la start-up du Sénégalais Abdoul Khadre Diallo s’est lancée en avril 2017 dans un nouveau projet : la création d’un logiciel permettant à des instituts de formation d’enseigner les nouvelles technologies, même sans accès à internet.
Quitter le monde stressant de la communication pour son bonheur personnel ? Une décision prise par la Franco-Guinéenne Audrey Keita, aujourd’hui à la tête de sa structure The Funky Fresh Project créée en 2016. Art textile, tricothérapie et nouvelles ambitions, cette entrepreneure de 36 ans revit !
Elisabeth et Peter Nyeko, deux Ougandais formés au Royaume-Uni, sont retournés dans leur pays pour y lancer leur start-up de biogaz issu des déchets agricoles du riz et du maïs, selon un principe d’économie circulaire : les clients de leurs produits énergétiques sont aussi leurs fournisseurs de matières premières.
Viola Llewellyn, co-fondatrice d’Ovamba, a réussi à creuser son sillon dans le secteur de la fintech. Elle sera présente à la prochaine édition des Inspir’Talk dédiée à cette industrie financière, le 21 juin prochain à Paris.
Tourisme, agriculture, météorologie, défense, cartographie… À seulement 25 ans, William Elong a créé Drone Africa, un service de drones qu’il fabrique lui-même au Cameroun à destination des entreprises de divers secteurs. Il concurrence les géants internationaux de la filière grâce à son savoir-faire et à des prix inférieurs à ceux du marché.