La start-up tunisienne Evey proposera en septembre un outil de sondage avec analyse de données en temps réel. De quoi bouleverser la relation entre décideurs et opinion publique.
Le gouvernement algérien veut couper partiellement ou totalement le réseau internet au cours des prochains jours pour éviter de nouvelles fraudes lors de la deuxième session du bac qui se déroulera du 19 au 23 juin.
Ouvert en 1998, le studio ferme ses portes ce lundi, a annoncé le groupe dans un communiqué. Le studio de Casablanca avait participé à la création d’une trentaine de jeux. 48 salariés sont concernés, dont le reclassement dans d’autres filiale du groupe français est en discussions.
À l’occasion du mois de Ramadan, Twitter a lancé une campagne tournée vers la communauté musulmane dans le monde. Horaires des prières, début et rupture du jeûne, émissions télés… Mais l’édition 2016 de cette initiative, comme ses précédentes, reste focalisée sur les pays du Moyen-Orient et concerne très peu l’Afrique.
Selon les informations de « Jeune Afrique », les fondateurs du service de « cash to goods », société en développement à Paris depuis 2014 dont le lancement officiel est prévu le 28 juin, ont signé avec les supermarchés Casino au Sénégal.
Talent2Africa, lancé en mai, se veut un réseau social de recrutement pour l’Afrique fondé sur la recommandation. Dans son viseur : la diaspora africaine en France, et au-delà. Le fondateur sénégalais Chams Diagne, ancien directeur Afrique du réseau professionnel Viadeo, vise les 200 000 usagers d’ici cinq ans.
L’opérateur télécoms lance cette semaine en France son offre de paiement mobile Orange Money, qui permet à ses abonnés de transférer de l’argent depuis l’Hexagone vers la Côte d’Ivoire, le Mali et le Sénégal
À 28 ans, ce jeune entrepreneur entend démocratiser la création de start-up parmi les jeunes Béninois via un incubateur qu’il a cofondé. Un reportage de « Réussite », l’émission co-produite par le Groupe Jeune Afrique, Canal+ Afrique et Galaxie Presse.
En Algérie, les fuites des sujets du baccalauréat sur les réseaux sociaux suscitent colère et indignation. Trente et une personnes, soupçonnées d’être derrière ces fraudes, ont été interpellées par la police. Face aux nombreux appels à l’invalidation des examens, le gouvernement reste ferme.
Encarté au PS, actif dans les campagnes présidentielles de Ségolène Royal et de François Hollande, ce Franco-Marocain dirige le Conseil national du numérique.
Lancé en 2011, Croissance des technologies de l’information et de la communication (CTIC), un incubateur qui encadre le développement de micro-entreprises sénégalaises actives dans les nouvelles technologies, estime avoir aidé 75 poulains à générer 3,5 milliards de F CFA (5 millions d’euros) de revenus. Le Centre joue désormais la carte de la diversification avant de s’agrandir pour répondre à la demande.
Désormais, les utilisateurs du site et des applications de la start-up britannique WorldRemit peuvent réaliser des envois d’argent vers les portefeuilles électroniques MTN Mobile Money en Côte d’Ivoire.
Confrontés à des fraudes massives durant les examens du baccalauréat, l’Algérie, le Maroc et la Tunisie ont durci les contrôles cette année. Mieux vaut y réfléchir deux fois avant de commettre l’irréparable.
Le groupe Midea s’est porté acquéreur de 30% du capital de Kuka, le géant allemand de la robotique industrielle. « L’usine du monde » devient le temple de la production automatisée. Au détriment de l’emploi.
Orange a choisi l’humour pour séduire un peu plus les Tunisiens. La marque a publié mardi une vidéo et un jeu mettant en scène des femmes au sein d’un hammam, détournant le célèbre « Street Fighter ». Un combat désopilant.
D’un site de petites annonces d’emplois, l’algérien Emploitic.com est devenu un portail bien connu des candidats à l’embauche en Algérie. Au point que ses fondateurs caressent désormais l’idée d’une expansion continentale.
La société Bonofa, qui recrutait des partenaires crédules de Fort-de-France à Abidjan en leur promettant de faire fortune dans l’Internet, a maille à partir avec la justice. Ses fondateurs viennent d’être écroués en Allemagne.
Orange Côte d’Ivoire-Telecom, la filiale ivoirienne du groupe français de télécommunications, lancera cette année un fonds pour aider les start-up locales à financer leurs projets, en apportant une garantie à leurs emprunts bancaires. Mise initiale : 100 millions de F CFA (152 000 euros).
Avec sa solution de paiement mobile WeCashUp, la start-up Infinity Space dirigée par le Camerounais Cédric Atangana ambitionne de devenir un point d’entrée unique sur le continent, entre les porte-monnaie mobiles des opérateurs de téléphonie et les e-commerçants. Le lancement dans 35 pays africains est prévu en septembre 2016.
Trois ans après ses premières plantations à Bocanda, dans le centre-est du pays, la production du belge qui veut devenir « la plus grande plantation de cacao en Côte d’Ivoire » peine à décoller. Si le groupe a vu ses pertes tripler en 2015, ses dirigeants assurent que la méthode et les objectifs poursuivis demeurent pertinents.
Une application de plus pour le Cameroun 2.0. Un duo de développeurs camerounais a publié « i-Djangui », une plateforme mobile dédiée à l’utilisation des tontines.
Cet été trois cent familles marocaines testeront le produit. À moyen terme, l’objectif est de distribuer dans d’autres pays d’Afrique ce réfrigérateur portable destiné aux petits cultivateurs ou aux foyers non raccordés au réseau électrique, et d’éviter les gâchis alimentaires.
Le ministère marocain de l’Équipement, du Transport et de la Logistique a présenté début mai la nouvelle version de son application mobile dédiée aux infractions routières. Un outil pratique qui s’inscrit dans un vaste programme de numérisation des services publics mené par le gouvernement.
Invité à Atlanta début mai, pour participer au développement de l’énergie renouvelable dans la ville américaine, la start-up tunisienne Saphon Energy atteint le stade de la reconnaissance scientifique et industrielle, quatre ans après s’être lancé. Elle gérera un premier parc de ses éoliennes sans pales ni rotation en 2018 dans le sud de l’Inde. C’est la start-up de la semaine que « Jeune Afrique » a rencontrée à Tunis.
L’application de streaming vidéo qui a explosé en France connaît un timide essor sur le continent. Si les plus jeunes en sont les premiers utilisateurs, les communicants politiques commencent à s’intéresser de près à Periscope.
Je comprends que certains soient sceptiques face aux programmes spatiaux africains. Car l’accès à l’espace a toujours été une entreprise sérieuse, qui est à la fois dangereuse et coûteuse.
Avant, pour avoir de l’eau dans son village en Egypte, Aaz Menhom devait frapper à la porte des voisins au moins dix fois par jour avec un seau. Aujourd’hui, grâce aux clics d’internautes, elle a enfin un robinet dans sa cour.
Début avril, Paul Biya prescrivait à son gouvernement une présence accrue sur les réseaux sociaux. Il est vrai que les ministres camerounais semblent bien frileux sur Internet. Mais qu’en est-il des autres pays francophones ? Jeune Afrique a passé au crible la présence numérique de 675 ministres dans 22 pays. Et ce n’est pas forcément glorieux.
Deux « gamers» ont testé pour Jeune Afrique « Aurion : l’héritage des Kori-Odan », le nouveau jeu vidéo 100% camerounais lancé officiellement il y a une semaine.