Depuis quatre ans qu’il investit dans la tech africaine, le Sénégalo-Mauritanien formé dans la Silicon Valley s’est rarement trompé dans ses choix. Le deuxième fonds de sa société devrait atteindre 50 millions de dollars.
En difficulté financière, la filiale de l’opérateur public du service postal traîne une dette supérieure à 2 milliards de francs CFA envers la firme au pingouin, qui a saisi la justice.
Les deux opérateurs ont créé la coentreprise Mawezi qui sera chargée de la gestion de la station d’atterrissement du câble de fibre optique à Muanda, près de l’embouchure du fleuve Congo.
La start-up ivoirienne Anka vient de réussir une levée de fonds de 5 millions d’euros. De quoi accélérer encore le développement du site Afrikrea qui veut contribuer à l’essor de l’exportation du « made in Africa » auprès des diasporas.
Le groupe fondé par Adama Bictogo, le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, est victime d’un détournement de fonds de plusieurs millions d’euros. L’une des filiales de Snedai a porté plainte. Explications.
Expert auprès des pouvoirs publics, l’ingénieur est aussi le promoteur du Salon international des technologies de l’information et de l’innovation de Brazzaville, Osiane. Son credo : connecter son pays et la sous-région.
Le constructeur de datacenters, fondé par Amine Kandil, vient d’annoncer la création d’une coentreprise avec Africa Infrastructure Investment Managers (AIIM) afin d’accélérer son développement, principalement au sud du Sahara.
Un écosystème numérique est en train de se développer au Congo, stimulé par l’ouverture en septembre du Centre africain de recherche en intelligence artificielle. Unique établissement du genre sur le continent, il attire déjà les géants de la tech.
Ce qu’elle n’est pas parvenue à faire en zone Uemoa, la start-up kényane tente de le concrétiser au sein de la Communauté d’Afrique de l’Est, dont Kinshasa fait partie.
Depuis la normalisation des relations entre Rabat et Tel-Aviv, un nombre croissant d’entreprises israéliennes de cyberdéfense s’intéressent au marché marocain, dans le sillage de Check Point Software, déjà solidement implantée.
Face à la croissance des besoins en conseil des entreprises, il faut redoubler d’efforts dans la formation des avocats spécialistes du secteur de la tech, souligne Hyssein Mezher Ambouroue, directeur Afrique et Moyen-Orient du cabinet de recrutement Morgan Philips.
Malgré la difficulté à trouver des débouchés et à accéder au financement, ou encore le manque de maturité technologique des solutions, le fondateur de Legal Tech Africa croit à l’essor des start-up dans le domaine juridique sur le continent.
La société fondée par le Béninois Shegun Bakari, qui vient de lever 63 millions de dollars en dette, veut déployer rapidement ses stations de recharge de batteries de motos pour devenir un acteur incontournable du secteur.
Après une suspension de six mois qui, dans les faits, n’a pas été appliquée, le service de mobilité urbaine est autorisé à reprendre du service pour « une durée d’un an renouvelable ». Les raisons d’un tel revirement.
L’essor des start-up tech, moteur des économies continentales, pousse les États à se doter de législations protégeant les données personnelles. Une pratique pour laquelle le rôle des avocats se révèle crucial.
Acteur incontournable de l’écosystème tech au Nigeria, Bosun Tijani, très connecté à la Silicon Valley, est déjà au cœur d’une controverse pour d’anciens tweets jugés « antipatriotiques ».
L’entreprise américaine a signé un accord soumis à l’approbation des autorités réglementaires en vue de prendre une part minoritaire dans MTN MoMo, la branche du géant de Johannesburg spécialiste des services financiers.
À quelques jours de la COP28, focus sur ces jeunes entrepreneurs africains que les bouleversements climatiques en cours poussent à concevoir des solutions innovantes pour répondre aux défis futurs.
Loin de penser que l’intelligence artificielle est une menace pour l’homme, le désormais ex-chercheur de Google plaide pour que l’Afrique s’empare de la technologie afin de répondre à ses propres besoins. Et pour éliminer de fait tout potentiel de biais socioculturels ou économiques.
Le groupe chinois créé en 2006, qui produit les marques Tecno, Infinix et iTel, déjà numéro un en Afrique, fait désormais partie des plus gros fournisseurs de smartphones au monde derrière Samsung, Apple, Xiaomi ou OPPO.
Le groupe français d’informatique présent dans douze pays du continent vient d’annoncer la cession de Tech Foundations, son activité historique, au milliardaire tchèque Daniel Kretinsky.
L’internet mobile, principal canal de communication du pays, est coupé depuis ce 31 juillet. Mais les Sénégalais peuvent encore se connecter et transférer de l’argent. Voici comment.
Entre baisse du volume des transactions et déclin de la valeur des financements, les start-up africaines peinent à attirer les bailleurs et enchaînent les vagues de licenciements.
Le cofondateur de Microsoft lance, via sa Fondation, un concours public pour encourager les innovations africaines au service des Africains. Et appelle les gouvernements à augmenter les dépenses de santé.
Aux commandes depuis 2020 d’un groupe qu’il connaît sur le bout des doigts pour en avoir piloté les finances pendant trois ans et demi, Ralph Mupita veut transformer l’opérateur en champion technologique grâce au soutien de proches avisés.