Après avoir vu Facebook et Twitter contribuer au renversement des dictatures tunisienne et égyptienne, plus personne n’hésite à considérer internet comme une véritable arme. Dans la perspective d’une cyber-guerre protéiforme, le gouvernement américain développe un véritable réseau fantôme permettant à n’importe qui de contourner la censure des dictatures. Un soutien aux dissidents qui rappelle le « bon vieux temps » de la Guerre froide.
Spécialisé dans les logiciels informatiques, le groupe sénégalais a su diversifier ses activités et s’imposer auprès des entreprises de la sous-région.
Mais d’où sont originaires les méchants des jeux vidéos ? C’est la question posée par le site américain spécialisé Complex, qui a créé une carte du monde pour les répertorier. Le continent africain est l’un des fournisseurs de ces ennemis virtuels.
La catastrophe au Japon met en lumière les risques de cette technologie, mais selon cet expert, les besoins énergétiques sont tels qu’il est inenvisageable de s’en passer.
Pour déjouer la surveillance policière, les jeunes internautes arabes communiquent parfois au moyen d’un langage codé composé d’une suite de lettres latines et de chiffres. Ingénieux.
Au moment où le Japon est confronté à la plus grande crise nucléaire civile de son histoire, tous les gouvernements utilisant cette technologie essaient de rassurer leurs citoyens. Et la République démocratique du Congo (RDC) ne fait pas exception.
Les semences génétiquement modifiées passent au stade de l’exploitation à grande échelle dans plusieurs pays. L’américain Monsanto et le suisse Syngenta sont les premiers à en bénéficier.
La visite des ministres français Christine Lagarde et Laurent Wauquiez a réussi à désamorcer quelque peu la défiance de Tunis, après les récentes maladresses de la diplomatie française. Les promesses d’appui à la Tunisie ont été nombreuses.
Premier Africain manager chez Microsoft, qu’il a quitté en 2006, le Camerounais Jacques Bonjawo (50 ans) vient de publier « Révolution numérique dans les pays en développement, l’exemple africain ». Interview d’un patron inspiré par l’exemple indien.
Plusieurs appels à manifester pour la journée de jeudi 17 février contre le « Guide » libyen Mouammar Kadhafi ont été lancés sur Facebook. Inquiet, cerné par deux révolutions – l’une en Tunisie et l’autre en Égypte -, le régime tente de discréditer la mobilisation en maniant la carotte et le bâton.
Le responsable de la sécurité de Facebook, Joe Sullivan, a détaillé le combat que ses équipes ont mené contre la tentative des autorités tunisiennes de récupérer l’ensemble des mots de passe des utilisateurs du réseau social en Tunisie, dans les jours qui ont précédé la chute de Ben Ali. Explications.
Excédée par le suicide de deux jeunes diplômés au chômage à Sidi Bouzid, la jeunesse se déploie sur les réseaux sociaux pour faire entendre son mécontentement. Au grand dam des autorités tunisiennes.
Les chercheurs africains font de réelles découvertes en matière de santé, mais faute de soutien politique et financier elles sont condamnées à rester dans les tiroirs, selon plusieurs études publiées dans les revues Science et BioMed Central.
Ressources humaines compétentes, infrastructures spécialisées, ambitions gouvernementales affichées… De nombreux ingrédients sont présents au sud de la Méditerranée pour favoriser l’essor des jeunes pousses. Manque un élément essentiel : l’argent.
Lancé en 2005, le réseau social Mxit a trouvé son public : 28 millions d’abonnés reliés grâce au téléphone portable. Encore dépendante de la publicité, la start-up veut diversifier ses revenus et s’ouvrir à de nouveaux marchés.
Les laboratoires de santé africains rivalisent d’ingéniosité pour combattre les maladies du continent, mais ces efforts s’enlisent le plus souvent aujourd’hui faute de soutien politique et financier, selon des études publiées dimanche 12 décembre.
Confronté une concurrence de plus en plus féroce, le leader mondial des équipements télécoms se tourne vers l’avenir pour s’ouvrir de nouveaux marchés. Baptisée « 50 milliards de connexions », sa stratégie prévoit de connecter tous les objets du quotidien à internet. Démonstration de ce pari pour le futur lors du salon Africacom organisé au Cap les 10 et 11 novembre.
Presque inexistant jusque-là, notamment au sud du Sahara, l’internet mobile haut débit (3G) est parti à la conquête du continent. Même si cette technologie requiert de gros investissements pour les opérateurs, elle constitue la promesse de nouveaux relais de croissance.
Véritables indicateurs de tendances, les jeunes sont dragués par les opérateurs, qui voient en eux des diffuseurs de nouvelles technologies. Et surtout les gros consommateurs de demain.
Le classement semestriel des ordinateurs les plus performants du monde consacre la montée en puissance de la Chine, qui dépasse désormais les États-Unis dans ce domaine de très haute technologie.
Le long décompte des résultats de l’élection présidentielle ivoirienne a donné lieu à deux nuits palpitantes sur internet, et sur les réseaux sociaux comme Twitter en particulier.
En acquérant la SSII Dimension Data, l’opérateur de télécom japonais NTT s’ouvre de nouvelles perspectives dans les pays émergents. Fleuron de l’informatique sud-africaine, Dimension Data a su, après une période difficile, retrouver le chemin de la croissance.
La réforme de Wall Street, bientôt promulguée par le président américain Barack Obama, contient une disposition visant à couper les vivres aux groupes armés qui s’enrichissent grâce au commerce de métaux servant à fabriquer des produits de haute technologie.
Le studio casablancais d’Ubisoft est le seul du genre sur le continent. Immersion dans l’univers décontracté mais exigeant de cette filiale qui conçoit des jeux vidéo de renommée internationale.