C’est une tendance de fond depuis plusieurs années : la healthtech africaine attire de plus en plus d’investisseurs. Trois start-up du secteur figurent parmi notre sélection des 20 futurs champions de la tech. Portraits.
La surprise de notre sélection des 20 futurs champions de la tech provient du secteur des services. Considéré comme une « niche », celui-ci a su tirer son épingle du jeu avec quatre start-up innovantes pour la plupart venues du Nigeria.
Le secteur du transport et de la logistique, représenté par deux jeunes pousses dans notre sélection des 20 start-up les plus prometteuses d’Afrique, demeure l’un des plus porteurs et les plus transformateurs du continent. Présentation.
Partenaire d’un des fonds les plus dynamiques du continent, l’investisseur japonais Ryosuke Yamawaki décrit sa méthode pour repérer les futurs champions de la tech africaine.
Réunis à Abidjan, acteurs publics et privés s’activent pour sécuriser la transformation numérique face à des pirates motivés et à des attaques de plus en plus sophistiquées.
Le milliardaire, né à Pretoria, crée sa propre start-up dans l’intelligence artificielle baptisée X.AI. Il envisage de recruter des ingénieurs et d’attirer des investisseurs pour développer un grand modèle linguistique.
Relations avec les entreprises chinoises et russes, tensions entre la France et le Maroc, inflation, financement des start-up… Le fondateur de la plateforme d’e-commerce marocaine invite les entrepreneurs du continent à envisager toutes les opportunités pour leur développement.
Pékin a longtemps investi dans le commerce, les infrastructures et les matières premières au Nigeria. Depuis peu, la Chine s’intéresse de près à l’écosystème tech au Nigeria, notamment. Un secteur en plein essor depuis la crise du naira.
Le thème « DigitAll : l’innovation et la technologie pour l’égalité des sexes », évoqué lors de la dernière édition de la Journée internationale de la femme, aura été l’occasion de rappeler que l’autonomie des femmes passe par un accès équitable aux technologies numériques.
Depuis une dizaine d’années, l’association, qui rassemble l’industrie mondiale des télécoms, s’immisce de plus en plus dans le développement de la tech continentale. Quelles sont ses intentions ?
Une association de consultants indépendants entend poursuivre le réseau social chinois en justice, lui reprochant de ne pas héberger ses données sur le territoire national et une négligence dans la modération des contenus. Décryptage.
Ayant connu une accélération avec la pandémie et à la faveur d’une expérience client « réussie », le commerce électronique est en progression de plus de 35 % dans le royaume, où 28 millions de transactions ont été effectuées en 2022.
Aux commandes d’Atos Afrique depuis près de trois ans, le Sénégalais affirme que le continent est épargné par les nombreuses difficultés que rencontre son groupe dans le reste du monde.
Plusieurs start-up et investisseurs dédiés au continent ont été soutenus financièrement ces dernières années par la banque SVB, spécialisée dans la tech. Les autorités américaines viennent d’en reprendre la gestion en urgence.
Tandis que le royaume tarde à lever tous les freins au bon développement de l’économie numérique, le secteur affiche un certain dynamisme, spécifiquement en ce début d’année 2023.
Présente dans sept pays du continent, la plateforme de VTC veut poursuivre son expansion. Son responsable Paddy Partridge détaille en exclusivité pour JA le plan de développement du transporteur.
Au cours d’une table ronde organisée lors de la grand-messe mondiale des télécoms, les opérateurs traditionnels ont pointé du doigt la non-viabilité du modèle économique de Wave. Et reposé la question de la rémunérations des agents.
Il occupe aujourd’hui une place centrale dans la stratégie de transformation digitale de son pays. Portrait du patron de la nouvelle Agence des systèmes d’information et du numérique du Bénin.
Futures levées de fonds, rachats, gouvernance… Dare Okoudjou, fondateur de l’infrastructure de paiements MFS Africa, a répondu aux questions de Jeune Afrique en marge du salon Mobile World Congress de Barcelone.
Face à la multiplication des arnaques et à leur sophistication, les plateformes de transfert d’argent sont tenues de déployer des stratégies de défense complexes pour répondre à un fléau aussi sensible que coûteux.
La start-up d’origine estonienne assure vouloir recruter et investir 500 millions de dollars en deux ans sur le continent, sans toutefois dévoiler de plan d’action précis.
L’enseigne de distribution du groupe Mabrouk deviendra le premier agent de paiement d’envergure en Tunisie. En proposant à sa clientèle les services de portefeuille électronique, Monoprix espère donner un coup de fouet à une activité quelque peu léthargique.
Si le groupe panafricain, coté à la Bourse de New York, a réduit de 30 % ses pertes avant impôt au dernier trimestre 2022, son action, valorisée à moins de 4 dollars, tarde à décoller à Wall Street.
La fintech americano-nigériane revient au Kenya après le retrait de la plainte pour blanchiment d’argent déposée par le régulateur devant la Haute Cour. Les comptes de la société vont être débloqués, et elle va pouvoir continuer son assaut continental en Afrique du Nord.
Présente dans sept pays africains, l’application mobile russe de VTC la plus en vue du pays joue la carte de l’apaisement à la suite de la suspension de son activité – premier véritable accroc dans son expansion éclair – décidée par le ministre des Transports.
Israël et son secteur privé cherchent à se faire une place dans la finance, l’agriculture ou encore la santé. Rencontre avec les fondateurs de trois start-up qui sont en passe d’y parvenir.
ChatGPT, identité numérique, cryptomonnaie, Centrafrique, ressources naturelles, leadership et responsabilités des élites… Le fondateur d’Ubuntu Tribe défend un droit à innover au bénéfice des Africains. Et voit dans la technologie le véritable levier pour l’émancipation du continent.