La start-up américaine reprochait à l’opérateur d’empêcher l’achat de crédit Orange via sa plateforme. Elle avait saisi le régulateur des télécoms sénégalais.
La vague de licenciements de Twitter, qui atteint également le bureau africain du géant de la technologie récemment repris par Elon Musk, sonne comme un recul pour ses opérations sur le continent.
La construction du siège africain du géant américain du e-commerce sur un terrain que des activistes considèrent comme sacré a été finalement confirmée, mercredi 9 novembre, par un tribunal du Cap.
Sous la pression d’investisseurs, la plateforme d’e-commerce a acté le départ de ses deux fondateurs. Elle procède désormais à un recentrage sur le continent et sur son cœur de métier, en visant la rentabilité à tout prix.
Hasard du calendrier : à quelques semaines d’intervalle, le Sud-Africain Elon Musk a confirmé son rachat du réseau social à l’oiseau bleu, et « Twitter Africa » vient d’être lancé au Ghana.
La plateforme multiservices active au Maghreb, au Sénégal et en Côte d’Ivoire vient de clore une deuxième levée de fonds de 150 millions de dollars, inédite à ce stade de développement.
Après une édition 2021 à distance, le grand raout annuel de l’industrie des télécoms entame un retour en physique et tourné vers les start-up et l’innovation africaine.
Mastercard revient dans un livre blanc sur les records de croissance du secteur depuis cinq ans, et analyse comment les régulateurs se sont saisis du sujet pour favoriser son développement.
N+One, spécialiste des centres de données et leader incontesté du royaume chérifien, accélère son expansion au sud du Sahara. Récit d’une success-story qui promet de transformer des pans entiers de l’économie.
Le duo nigérian Oluwole Michael et Afolabi Olamide vient de remporter la cinquième édition du concours de fintech organisé à Lomé par le groupe bancaire panafricain.
Au lendemain du Forum de Dakar sur la paix et la sécurité, l’expert en cybersécurité Franck Kié insiste sur la nécessité pour les États de se préparer à l’augmentation de la cybercriminalité sur le continent.
La société de VTC vient d’annoncer sur les réseaux sociaux son arrivée prochaine en Algérie. Après le Cameroun et le Sénégal en 2021, le géant russe continue son expansion sur le continent.
Plusieurs gigaoctets de données issus des boîtes mails des collaborateurs de l’ARTP ont été mis en ligne le 17 octobre par un groupe de hackers baptisé Karakurt. L’attaque met en lumière les défaillances de Dakar en matière de cybersécurité. Décodage.
En pleine expansion depuis dix ans, la fintech africaine a encore de beaux jours devant elle, selon de nombreux analystes. Situés dans les pays anglophones, au Kenya et au Nigeria notamment, les acteurs les plus dynamiques pourraient bientôt voir leur domination contestée par les startuppers d’Afrique francophone.
La plateforme d’échange de cryptomonnaies fondée par le milliardaire Changpeng Zhao a dévoilé, le 7 octobre, avoir fait l’objet d’un détournement de quelque 100 millions de dollars.
Le PDG de SmartCash, la nouvelle plateforme de mobile money d’Airtel au Nigeria, estime que ce service peut booster l’inclusion financière sans déborder sur les prérogatives des banques traditionnelles.
La start-up ivoirienne fondée en 2016 a réussi à s’imposer dans l’univers ultra compétitif de la fintech. Portrait d’un entrepreneur qui tente de faire de sa jeune pousse une solution incontournable en Afrique francophone.
Développement dans les pays africains francophones, concurrence avec le géant américain, inflation… Daniel Yu, fondateur de Wasoko, start-up valorisée à plus de 600 millions dollars, a répondu aux questions de Jeune Afrique depuis le Nigeria, dont il prospecte le marché.
L’opérateur télécoms et le fonds d’investissement du réseau mondial d’entrepreneurs intègrent le tour de table du champion marocain des centrales d’achat. Endeavor débloque 1 million de dollars dans cette transaction.
Dans une nouvelle étude, McKinsey évalue la manière dont les innovations récentes accélèrent l’accès aux transactions dématérialisées sur le continent.
Grâce à un tour de table prestigieux, la start-up marocaine de e-commerce B2B poursuit son offensive, sans être, pour l’instant, entravée par l’entrée sur le marché marocain de l’Égyptien MaxAb. Son cofondateur Ismaël Belkhayat explique sa stratégie.
Un an après avoir annoncé un tour de financement de série A de 15 millions de dollars en septembre 2021, Yellow Card continue sur sa lancée, avec un tour de série B de 40 millions de dollars.
Depuis trois ans, sur le continent, le profil des jeunes pousses qui ont atteint ce palier évolue, avec des investisseurs montrant leur intérêt parfois dès la création de l’entreprise.
Depuis vingt ans, cet incubateur a accueilli des milliers de jeunes pousses de la tech, dont une partie exporte leurs services en Afrique subsaharienne, et en Europe.
Cibler les champions de la tech de demain en s’appuyant sur l’expérience d’une trentaine de fondateurs de licornes : la Sud-Africaine passée par le géant Actis présente les objectifs du fonds qu’elle codirige et analyse le développement du capital-risque en Afrique.
Ces deux dernières années, la multiplication des investissements étrangers dans la technologie agricole en Afrique y ont entraîné un essor de la filière, en dépit de la faiblesse des financements locaux.
Deux camps s’opposent au sein de la communauté des entreprises innovantes : ceux qui attendent un cadre favorisant leur développement, et ceux qui avancent sans rien attendre de l’État.
Arrivés presque simultanément sur le marché sénégalais, la société russe Yango et la start-up française Heetch tentent de s’imposer. Avec des stratégies différentes.