Grâce à l’arrivée de la fibre optique, en 2014, notamment à travers les efforts du malgache Telma et le renforcement du faisceau hertzien assuré par le français Orange, le secteur de l’externalisation de services, en particulier le créneau des centres d’appels francophones, est en plein essor à Madagascar.
Le marché des objets connectés pourrait représenter 500 milliards de dollars en 2025 sur le continent. Pour les opérateurs de télécoms, la compétition a commencé.
Nommé il y a un an et demi, le patron de l’opérateur historique ne manque pas d’ambition. Rachat du maltais GO, apaisement des tensions sociales et passage à la 4G : il fait le point sur les dossiers en cours.
Entre l’arrivée de nouveaux concurrents et le déploiement des câbles sous-marins et de la fibre optique, la compétition fait rage. Contraints de se réinventer, les leaders mondiaux organisent leur contre-attaque.
L’opérateur mobile burkinabè, propriété de l’entrepreneur local Apollinaire Compaoré, 63 ans, en lice pour succéder à Alizéta Ouédraogo à la tête de la Chambre de commerce, prépare activement le lancement de ses services 3G.
La filiale du groupe d’Apollinaire Compaoré, Atel, n’est toujours pas opérationnelle quatre ans après avoir remporté la concession. L’État, lui, s’apprête à lancer une quatrième licence.
Si le nombre d’abonnés mobile continue de croître et qu’Internet offre des perspectives de croissance importante, les opérateurs télécoms craignent pour leur avenir.
Alors que le royaume abrite la Conférence des parties sur le climat (COP 22), le régulateur du marché des télécoms a levé la suspension des appels via les applications internet, bloquée depuis janvier dernier. Explications.
Le groupe indien Bharti Airtel, le zimbabwéen Econet Wireless et le koweïtien Zain ont conclu une série d’accords mettant un terme à cinq ans de procédures judiciaires et arbitrales.
De Dakar à Johannesburg, de plus en plus de petites sociétés ont recours au financement participatif. Mais cette solution n’échappe pas aux obstacles du circuit bancaire classique.
Selon plusieurs sources, le prochain limogeage du gendarme en chef du secteur des télécoms lui a été notifié mardi. Une décision qui serait venue directement de Tanzanie où le roi Mohammed VI est en visite officielle. Quelle interprétation donner à ce départ ? Jeune Afrique fait le point.
Selon les informations de Jeune Afrique, l’e-commerçant panafricain, qui vient de boucler un premier semestre 2016 marqué par une très forte décroissance de son chiffre d’affaires en euros, va accélérer son implantation dans les Émirats.
Critiqué parfois pour la qualité du réseau de fibre installé par ses équipes en Afrique subsaharienne, Huawei reste à l’offensive. Au Burkina Faso, l’équipementier chinois a lancé la construction d’une bretelle de 300 km de fibre et défend son expertise.
«On peut passer des appels via WhatsApp ! » fanfaronne tout sourire un lycéen venu réviser ses cours au quartier administratif, dans le sud-est du centre-ville.
Lancé en 2013 par deux Français, Matahi commercialise un jus bio et issu du commerce équitable à partir du pain de singe, le fruit du baobab dont il s’approvisionne auprès d’une coopérative de femmes au Bénin. La levée de fonds doit permettre à cette start-up basée à Montpellier de doubler le nombre de ses employés.
L’opérateur français veut accroître son contrôle sur sa filiale locale, au cœur d’un imbroglio juridique depuis 2011. Mais il perd patience. Il a menacé de quitter le pays.
Déjà à la tête de sa propre agence de communication digitale pour les entreprises implantée en RDC, Luigi Risaci apparaît dans Business True Life, une émission de télé-réalité sur internet dans lequel il met en scène les aléas de la vie des businessmen congolais. Un reportage de « Réussite », l’émission coproduite par le groupe Jeune Afrique, Canal + et Galaxie presse.
L’Agence française de développement (AFD) et la Banque publique d’investissement française (Bpifrance) vont financer 10 start-up françaises et africaines à l’occasion d’un concours qui se conclura le 15 novembre prochain. Les 10 lauréats seront du voyage lors du 27ème Sommet Afrique-France qui se tiendra à Bamako les 13 et 14 janvier 2017.
La filiale égyptienne du groupe de télécoms français a signé jeudi – selon une information de Reuters – pour l’obtention d’une licence haut débit. Cette signature survient à peine un mois après avoir décliné une première offre du régulateur des télécoms, jugée alors trop restrictive quant à la bande de fréquences qu’elle octroyait.
Alors que le groupe français avait commencé à installer sa fibre optique à Cotonou, les autorités ont décrété l’arrêt du chantier. Motif : sa filiale internet n’a pas obtenu sa licence dans les règles.
Fin d’un long contentieux sur la sortie du groupe de télécoms français de l’opérateur historique Getesa : selon les informations de Jeune Afrique, l’État équato-guinée a accepté vendredi le versement de la créance de 150 millions d’euros à laquelle il avait été condamné en novembre 2014 par le tribunal arbitral de la Chambre de commerce international.
L’Agence française de développement (AFD) et l’incubateur Bond’Innov, basé à Bondy (banlieue de Paris) et spécialisé dans les pays du Sud, ont signé jeudi une convention pour le lancement d’une plateforme d’accompagnement des incubateurs de start-up en Afrique.
En plusieurs opérations menées simultanément, le groupe français s’est à la fois désengagé du Kenya et renforcé au Burkina, en Sierra Leone et au Liberia.
Généralisation de la 4G, arrivée de câbles internationaux, explosion du mobile banking, la révolution digitale a déjà éclaté en Afrique et ne compte pas s’arrêter. En 2050, un quart des données informatiques mondiales seront africaines. Tout va plus vite, plus fort, plus loin. Mais nos infrastructures technologiques et nos ressources en matière de gestion de l’information permettent-elles vraiment d’accompagner l’envol de champions africains ? Sommes-nous technologiquement prêts pour l’émergence ?