La Sonatel a donné le coup d’envoi du déploiement de « Max It » une plateforme multiservices conçue pour être une place de marché regroupant les applications mobile du groupe Orange et celles de tierces entreprises.
Dans sa course à la connectivité en Afrique de l’Ouest, le natif de Pretoria a lancé son service à Cotonou. Avant le Togo d’ici la fin de l’année, et la Côte d’Ivoire à partir de 2024.
Alors que le débat fait rage en Europe, la question d’une juste contribution des plateformes de contenus comme Netflix ou Youtube aux financements des réseaux d’accès à internet a depuis peu traversé la Méditerranée et s’apprête à secouer le marché africain.
Mis en cause par le régulateur togolais pour indisponibilité de son service de mobile money et défaut de notification aux abonnés, l’opérateur privé risque une amende à hauteur de 2 % de son chiffre d’affaires.
Adoptée depuis six ans, l’initiative de la Cedeao relative à l’itinérance gratuite des appels et données internet peine à être mise en œuvre dans la région. Sur quinze États membres, seuls neuf ont souscrit au règlement communautaire.
Après plusieurs années de doutes, le quatrième opérateur du continent – qui vient d’annoncer le lancement d’un smartphone à 17 dollars lors du Mobile World Congress à Kigali – semble avoir trouvé l’équilibre nécessaire à son bon développement. Et poursuit sa croissance dans le mobile money.
Après une morosité de plus d’un an et demi, le marché des téléphones connectés est reparti de plus belle sur le continent africain. En attendant le boom des cellulaires entièrement « made in Africa » ?
Pour sa seconde moitié de mandat, le dirigeant qui veut faire de MTN, le géant panafricain des télécommunications, une plateforme technologique entame une séquence aux allures de pari, non sans penser déjà à l’héritage qu’il laissera derrière lui.
L’entreprise américaine a signé un accord soumis à l’approbation des autorités réglementaires en vue de prendre une part minoritaire dans MTN MoMo, la branche du géant de Johannesburg spécialiste des services financiers.
La rocambolesque affaire Danpullo a mis en lumière la porosité entre le monde des affaires et l’État camerounais, ainsi que la fragilité de la notion d’indépendance de la justice. Pendant ce temps, nous explique Omer Mbadi, l’attrait du pays en matière d’investissements ne cesse de décliner…
Un phénomène naturel sous-marin a engendré dimanche 06 août la rupture de deux câbles de fibre optique dans le canyon du fleuve Congo, une zone connue pour ce genre d’incident.
Une association de consommateurs burkinabè appelle au boycott des télécoms à partir du 8 août pour dénoncer les prix des communications. C’est le deuxième appel de ce type depuis avril.
Le conglomérat malgache dirigé par Hassanein Hiridje a signé un accord en vue d’acquérir une participation supplémentaire de 40 % du deuxième opérateur du pays pour en détenir finalement 80 %.
Le service américain de connexion Internet par satellite Starlink vient de nouer un partenariat avec Africa Mobile Networks, spécialiste des tours télécoms en zone rurale.
Orange, MTN et Moov constatent depuis plusieurs trimestres une stagnation, voire une baisse des revenus globaux de leur secteur alors que la Côte d’Ivoire connaît une croissance de PIB. Comment expliquer cette situation ?
Sonatel, Free, mais aussi Wave… Les dégradations lors des manifestations après la condamnation d’Ousmane Sonko et la coupure internet décidée par l’exécutif de Macky Sall ont eu un impact financier important.
Pour la première fois depuis 2019, l’Agence de régulation a infligé une amende de 9,1 millions d’euros aux principaux opérateurs télécoms au Cameroun. Lesquels se réfugient derrière l’absence de notification pour se justifier.
Le régulateur éthiopien vise juin pour l’ouverture des candidatures à une deuxième licence d’opérateur privé et la cession d’une partie d’Ethio Telecom. Dans ce contexte porteur, les émissaires des principaux opérateurs actifs dans la région se succèdent à Addis-Abeba. JA lève le voile sur ces tractations.
L’opérateur kényan des télécoms a reçu le feu vert de la Banque centrale éthiopienne. Le service M-Pesa concurrencera notamment Telebirr, d’Ethio Telecom.
Mauvaise qualité de service, tarification peu avantageuse… À l’image des Burkinabè et des Ivoiriens, les consommateurs camerounais boycottent des services deux heures chaque jour. Face à l’ampleur du mouvement, le gouvernement a décidé de réagir.
L’instauration d’un nouveau prix plancher pour l’internet mobile avait déclenché le mécontentement des consommateurs devant l’explosion de leurs factures. Face à la fronde, un retour aux anciennes offres a été décidé.
Pour protester contre les tarifs des connexions internet, des consommateurs burkinabè appelaient à un boycott d’une heure des services de téléphonie mobile, ce mardi.
Fini l’indifférence des opérateurs mobile et internet face aux injonctions leur reprochant une mauvaise qualité de services. Désormais, s’ils n’y remédient pas dans les temps, la nouvelle autorité de régulation du secteur veille. Et les sanctions sont lourdes.
Ces deux figures du monde mauritanien des affaires, actionnaires de l’opérateur Mattel, se livrent un combat acharné. Ce qui inquiète leur partenaire Tunisie Telecom, et même le Palais.
Engagé dans une opération de restructuration de dette, le groupe télécoms panafricain investira 750 millions de dollars pour le développement de son service de paiement mobile.
La Cour suprême du Mali a confirmé la condamnation d’Orange Mali et de Malitel, filiale locale de Maroc Telecom, à indemniser une association de consommateurs à hauteur de 175 milliards de francs CFA (plus de 266 millions d’euros).
Réputé pour ses capacités d’exécution et sa maîtrise des questions financières, le dirigeant a su dynamiser un groupe trop à l’étroit dans son seul marché domestique.