Mutualisation et sécurisation des infrastructures, densification du réseau, amélioration du débit… Plusieurs chantiers ont été initiés par le Groupe Télécom Algérie, pour aller vers plus d’efficacité.
Depuis bientôt cinq ans, cette ingénieure spécialiste des technologies de l’information et de la communication (TIC) est la ministre béninoise du Numérique et de la Digitalisation. Un secteur éminemment stratégique dans le plan de développement du gouvernement.
Le Nokia 105 Africa Edition sera disponible sur tout le continent, fonctionnant uniquement sur le réseau 2G. Une stratégie assumée par le groupe finlandais qui croit au marché des téléphones traditionnels en Afrique, où les tests de réseaux 5G ont déjà lieu.
Capitaines d’industrie, responsables politiques du continent et poids lourds mondiaux participent au Mobile World Congress (MWC). Bienvenue dans les coulisses de cette grand-messe de la tech et des télécoms.
Arrivée d’un troisième opérateur sur le marché, vertus du plan « Bénin révélé », stratégie et ambitions du groupe panafricain… Uche Ofodile, directrice générale de MTN Bénin, a répondu aux questions de « Jeune Afrique ».
Si les revenus du groupe sont en baisse sur le marché domestique, la progression sur les segments de la fibre (au Maroc) et des données mobiles dans les filiales subsahariennes (Moov Africa) reste solide.
L’ex-conseiller spécial du PDG de Naftal prend les rênes de l’opérateur historique dans un contexte particulièrement délicat pour le secteur algérien des télécoms depuis un an et demi.
Dans un contexte de grande instabilité politique et d’intensification des attaques de groupes djihadistes dans la bande du Sahel, les opérateurs doivent redoubler d’attention pour garantir la sécurité de leurs collaborateurs et protéger leurs infrastructures.
L’accord entre le géant américain et le premier opérateur de téléphonie mobile indien marque son entrée indirecte dans l’actionnariat d’Airtel Africa. Et ouvre la voie du développement de nouvelles offres d’accès aux smartphones, secteur dominé en Afrique par des acteurs chinois, toujours exposés aux risques de sanctions et d’un blocus technologique des États-Unis.
Le gouvernement entend augmenter la couverture des réseaux télécom du pays tout en dessinant un cadre réglementaire qui doit permettre au nouvel opérateur public de rebattre les cartes du marché.
Le président Kaïs Saïed a donné son accord pour la vente par Tunisie Télécom de sa filiale mauritanienne, Mattel. Mais Tunis doit encore accepter la proposition du groupe du Franco-malgache Hassanein Hiridjee, sorti en pole position de l’appel d’offres.
Orange Mali et la filiale de Maroc Telecom ont été condamnés en appel à 262 millions d’euros d’amende. Une décision exécutoire qu’ils vont contester en cassation. L’analyse de Jeune Afrique.
Celui qui quittera Orange à la fin de janvier 2022 en a fait un groupe solidement implanté en Europe et en Afrique. En onze ans de règne, Stéphane Richard a été le témoin de l’essor de la téléphonie mobile et du digital sur le continent.
Condamné dans l’affaire Tapie en France, le patron de l’opérateur quittera ses fonctions au plus tard le 31 janvier. Sans en être un grand connaisseur, il a cru au potentiel du continent.
Du juridique au marketing, en passant par le développement des RH et les infrastructures, le groupe de télécoms optimise ses performances en s’appuyant sur ses deux centres de décision ouest-africains, qui pèsent conjointement 54% de ses revenus sur le continent et au Moyen-Orient.
Les datacenters africains, infrastructures incontournables pour assurer la souveraineté numérique du continent, sont encore trop peu nombreux. Sénégal, Maroc, RDC, Côte d’Ivoire… Quels sont les pays qui tirent leur épingle du jeu ? Ceux qui accusent le plus grand retard ? État des lieux en infographies.
Parmi les premiers au monde à avoir opté pour l’OpenRAN, l’opérateur sud-africain tente un pari censé lui permettre de réaliser d’importantes économies et de rendre ses infrastructures plus évolutives.
Les opérateurs accélèrent l’externalisation de leurs équipements pour se concentrer sur leur cœur de métier : les services. Une aubaine pour les gestionnaires de tours télécoms qui ont enfin convaincu les marchés de la rentabilité de leurs activités sur le territoire africain.
Le numéro un subit les récentes décisions d’un régulateur moins acquis à sa cause depuis 2020. Cette situation ouvre des perspectives à Inwi et Orange, qui progressent sur tous les fronts.
Voulant se relancer en RDC et percer en Angola, l’opérateur de télécoms bénéficie d’un soutien appuyé des États-Unis. Une nouvelle illustration de la lutte d’influence entre Washington et Pékin sur le continent.
La licence permettant aux compagnies télécoms d’offrir des services de paiement n’a été délivrée qu’à deux des quatre plus grands opérateurs du pays. Au grand dam de MTN et Airtel.
Un conflit oppose Afrinic, distributeur en gros des blocs d’adresses IP permettant d’accéder à internet sur le continent, et Cloud innovation, une obscure entreprise enregistrée aux Seychelles, contrôlée par un acteur du net d’origine chinoise. Au cœur du litige : qui a le droit d’utiliser ces adresses attribuées à l’Afrique ?
Un an après la prise de poste de ce manager connu pour parler le langage des investisseurs, le leader africain des télécoms est plébiscité sur les marchés. Explications.
Tandis que MTN, Airtel et Vodacom s’engagent sur de nouveaux terrains, le groupe français poursuit une stratégie basée sur les télécoms traditionnelles. Un choix dangereux ?
À la faveur de la relative stabilité politique établie à Kinshasa, des opérateurs continentaux, comme Benya Capital, ou internationaux, tel Facebook, se lancent dans la course au câblage du deuxième plus grand pays d’Afrique.