Sous la houlette de son nouveau PDG, Azzedine El Mountassir Billah, le troisième opérateur marocain compte se lancer hors de ses frontières. Reste à trouver la bonne formule.
Alors qu’Isocel, seul acteur privé du secteur, achève la première phase de couverture du Grand Cotonou, le public SBIN (ex- Bénin Télécoms et Libercom) fourbit ses armes.
Si le nouveau patron de l’opérateur a acté le retrait du capital de Jumia – un projet lancé par son prédécesseur, Rob Shuter – il commence aussi à imposer ses propres choix.
Les Gafam sont maintenant considérés comme des alliés par le groupe français, qui mise sur le développement de la data et de la fintech sur le continent.
Les pouvoirs publics et Orange Guinée se rejettent la responsabilité de la coupure du trafic internet qui perturbe les communications à l’international depuis le 23 octobre.
Pour lutter – officiellement – contre les fraudes douanières, Yaoundé impose désormais aux utilisateurs de téléphones et tablettes de s’acquitter de la taxe d’importation. Mais pour les consommateurs, la pilule ne passe pas.
Les filiales subsahariennes continuent de représenter près de la moitié des revenus du groupe. Mais les opportunités de développement se font de plus en plus rares.
Encore peu présent dans le secteur, le royaume wahhabite montre depuis le début de l’année un intérêt croissant tant pour les opérateurs du continent que pour l’infrastructure réseau.
Si les opérateurs comme Orange ou Telkom mettent en avant leurs efforts pour proposer smartphones et data à bas prix aux consommateurs africains, la progression de la couverture réseau dans les zones rurales reste lente.
L’Algérie a remporté le dernier round dans la bataille qui l’opposait au groupe du milliardaire égyptien Naguib Sawiris. Retour sur une saga judiciaire qui aura duré plus de dix ans.
Après avoir bouclé la restructuration du troisième opérateur marocain, Nadia Fassi Fehri passe le flambeau à Azzedine El Mountassir Billah, l’ancien patron de l’ANRT, le gendarme des télécoms.
Conseillère en transformation digitale du Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, Myriam Saïd revient sur les chantiers prioritaires de l’Éthiopie en matière de connectivité et d’entrepreneuriat numérique.
Un an à peine après le bras de fer entre Kinshasa et le principal opérateur du pays autour de la licence 2G, le directeur financier de Vodacom Congo a été arrêté le 14 septembre.
Plusieurs hauts responsables des télécommunications ont été limogés après un nouvel incident sur le réseau Internet. Tentative d’apaiser les usagers ou réelle volonté de réorganiser le secteur ?
Après quatre années mouvementées à la tête de l’opérateur sud-africain, le manager va laisser derrière lui un géant plus agile et plus rentable, mais aussi une série de récriminations.
L’opérateur sud-africain a officialisé la nomination de son actuel directeur financier au poste de directeur général, où il prend la suite de Rob Shuter.
Omniprésent dans le monde des affaires, des plantations de thé à la télévision en passant par l’immobilier, Baba Danpullo n’en reste pas moins très secret. Mais sur qui s’appuie-t-il ?
La femme d’affaires se retire du conseil d’administration du navire amiral de son empire, passé sous le contrôle de Sonangol, la compagnie nationale pétrolière.
Ils et elles font partie de notre classement des 100 personnalités africaines incontournables de 2020 : ce sont des acteurs de la téléphonie, qui ont su réinventer leur métier en surfant sur la vague du développement numérique du continent.
Avec la modification des tarifs de ses forfaits mobiles, Orange se retrouve une nouvelle fois dans le viseur des consommateurs. Depuis la commercialisation de ses offres en 2006, l’opérateur est la cible de polémiques récurrentes.
Le régulateur a infligé une lourde astreinte à Free, qui bloque depuis plus d’un an le lancement de l’opérateur virtuel pourtant autorisé à exploiter son réseau.
Créés dans les années 1990, les fonds publics dévolus aux télécoms sont dotés de millions de dollars, mais entre errements financiers et lenteurs administratives, leur efficacité reste limitée.
Acquis à la fin de 2019, l’opérateur togolais fait figure de test grandeur nature en Afrique de l’Ouest pour le conglomérat malgache, déjà présent au Sénégal via Free.
Poids lourds, outsiders et parfaits inconnus : douze candidats sont lancés dans une bataille inégale pour décrocher l’une des deux licences mises en vente par Addis-Abeba.