Le groupe italien reprochait à Alger de ne pas être intervenu dans le litige qui l’opposait à son ancien partenaire, l’opérateur public Algérie Télécom. Mais la Cour d’arbitrage de La Haye lui a donné tort.
Avec une croissance du chiffre d’affaires de 6,2 % en 2019, la région Afrique et Moyen Orient est de loin le marché le plus dynamique du groupe qui y intensifie ses investissements. Selon ses objectifs, elle doit représenter 20 % de ses revenus en 2025.
Actionnaires majoritaires de l’opérateur Togocom, Axian et ECP mettent sur la table plus de 245 millions d’euros pour accélérer sa transformation numérique.
GSMA, l’association professionnelle mobile qui organise chaque année le plus grand salon mondial de la téléphonie mobile, a décidé d’annuler l’édition 2020 de l’événement qui devait se tenir à Barcelone du 24 au 27 février, du fait de « l’inquiétude mondiale concernant l’épidémie de coronavirus ». Un dizaine de géants du secteur, comme Facebook et Nokia, s’étaient retirés.
Grâce à son nouveau satellite, l’opérateur européen, déjà actif dans sept pays, fournira dès cette année du haut débit aux zones les plus enclavées du continent.
L’opérateur sud-africain cherche à revendre ses participations dans l’entreprise de tours de télécommunication IHS Towers mais la valeur de cet actif pourrait s’avérer nulle.
Engagé dans un bras de fer réglementaire et judiciaire contre Maroc Telecom, la filiale du holding royal Al Mada et du koweïtien Zain vient de faire condamner le groupe dirigé par Abdeslam Ahizoune à une amende de 3,3 milliards de dirhams pour « abus de position dominante ».
Arguant d’une fiscalité désavantageuse, Orange Burkina a indiqué son intention d’appliquer de nouveaux tarifs à compter du 17 février. Une annonce qui a provoqué l’ire du gouvernement et des associations de consommateurs.
Si le géant britannique, présent dans sept pays africains, convoite de nouveaux marchés, il préfère ne pas s’aventurer au Nigeria, dont l’écosystème est jugé trop complexe.
La levée des sanctions européennes ciblant Marouane Mabrouk, principal actionnaire d’Orange Tunisie pourrait accélérer la prise de contrôle par l’opérateur français sur sa filiale tunisienne. Mais Tunis est-il prêt à l’accepter ?
Une « coupure franche » survenue à 300 kilomètres des côtes congolaises sur les deux câbles sous-marins de fibre optique WACS et SAT3 interrompt ou dégrade le réseau internet depuis jeudi matin dans une dizaine de pays d’Afrique.
Deux leaders des télécoms sont ouvertement candidats à l’acquisition d’une des deux licences que l’Éthiopie entend accorder d’ici à la fin de mars 2020 ; le français Orange et le kényan Safaricom. Mais le sud-africain MTN n’a pas forcément dit son dernier mot.
Le chemin est long avant le déploiement de la cinquième génération de réseaux de télécoms (5G) sur le continent, mais, depuis un an, plusieurs acteurs ont déjà pris les devants.
Le procureur général du Nigeria a annulé le 10 janvier une mise en demeure de 2 milliards de dollars émises il y a un an à l’encontre de l’opérateur de télécommunications pour des taxes jugées impayées. Ce litige faisait partie des derniers contentieux à régler pour MTN dans le pays.
L’opérateur français de télécoms ne disposait pas de siège opérationnel en Afrique. Il est désormais installé dans le nouveau quartier Casablanca Finance City.
En cédant 49 % de deux sociétés de tours télécoms au Ghana et en Ouganda pour 467 millions d’euros, l’opérateur sud-africain se rapproche de son objectif de réduction de dette, entamée en mars 2019 et prévue initialement sur trois ans.
L’opérateur sud-africain est accusé par des familles de soldats américains tués ou blessés en Afghanistan d’avoir financé le mouvement islamiste fondamentaliste taliban pour assurer la protection de ses infrastructures sur place entre 2009 et 2017.
L’arrivée de l’opérateur Free au Sénégal en octobre a poussé ses concurrents, Orange et Expresso, à proposer des offres concurrentielles. En conséquence, la baisse des tarifs de la téléphonie mobile, l’un des principaux objectifs de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes, a bel et bien eu lieu.
Dans les tuyaux depuis janvier 2019, la fusion des deux opérateurs de télécommunications kenyans reste néanmoins gelée par une enquête pour détournement de fonds publics chez Telkom.
L’opérateur kényan dirigé par Michael Joseph lancera dans les prochaine semaines “Mali”, un outil intégré à M-Pesa et qui permet d’investir de petites sommes avec 10 % d’intérêt annuel.
Devant les investisseurs et la presse réunis mercredi, le PDG d’Orange s’est montré très prudent quant à la capacité de l’Éthiopie à privatiser rapidement son secteur des télécoms.
L’autorité sud-africaine de régulation de la concurrence a ordonné aux opérateurs mobiles tels que Vodacom et MTN de baisser leurs prix d’ici à deux mois, sous peine de poursuites pour cause de surfacturation.
Implanté au Maroc, en Tunisie et en Égypte, le groupe français ne parvient pas à inquiéter les leaders de ces marchés, et sa transformation en opérateur de services piétine… en attendant l’arrivée en 2020 d’Orange Money dans le royaume chérifien.
Passé par les équipes africaines du koweïtien Zain et du malgache Telma, le manager va piloter un plan d’investissements de 245 millions d’euros pour transformer l’industrie numérique du Togo.
L’exiguïté de son marché domestique pousse l’opérateur à miser sur la vente de capacités à ses homologues régionaux grâce à ses sept câbles sous-marins.
Mbackiou Faye, fondateur de Sirius Télécoms, accuse Free de lui mettre des bâtons dans les roues, pour expliquer le report du lancement de son service de téléphonie, initialement programmé pour septembre dernier.
Présent au salon AfricaCom, qui s’est tenu cette semaine au Cap, Balcha Reba, directeur général du régulateur éthiopien des télécoms, s’est affiché en promoteur de la libéralisation économique du pays d’Afrique de l’Est.
L’opérateur français Orange et Liquid Telecom, la filiale du zimbabwéen Econet Wireless, ont chacun annoncé la mise en place de nouveaux réseaux de fibre optique terrestre lors du forum AfricaCom qui s’est tenu cette semaine en Afrique du Sud.
MTN, le géant sud-africain mise en priorité sur la banque mobile et le streaming pour diversifier ses revenus. Objectif : passer du statut d’opérateur à celui de distributeur de services.
Le conglomérat malgache Axian, dirigé par la famille Hiridjee et le fonds d’investissement panafricain Emerging Capital Partners (ECP) deviennent ensemble l’actionnaire majoritaire de l’opérateur historique togolais, Togocom, en acquérant 51 % du capital. Cina Lawson, ministre togolaise des Postes, de l’Économie numérique revient pour JA sur les détails de la transaction.