Informations critiques cachées aux pilotes, conflits d’intérêt avec le régulateur américain… Le rapport final du Congrès épingle une nouvelle fois le constructeur.
C’est au premier tour mais au terme d’un long huis-clos que les dix-huit membres de l’Agence panafricaine de sécurité aérienne ont choisi de renouveler leur confiance au dirigeant. Les détails avec Jeune Afrique.
La principale compagnie du continent négocie avec Pretoria en vue d’une éventuelle prise de participation dans le pavillon national sud-africain. La dernière chance de lui éviter la faillite ?
« Réduire la voilure pour préserver l’essentiel ». Tel est le programme du PDG de la RAM, Abdelhamid Addou, qui affronte l’influente corporation des pilotes.
Après une décennie de gestion ouest-africaine, la région compte sur la prochaine élection du directeur général pour reprendre la main sur l’agence. Mais n’a pu se mettre d’accord sur une candidature unique.
Expulsé du terrain où la construction de son hôtel accusait du retard, l’entrepreneur ivoiro-sénégalais a lancé une procédure d’arbitrage international.
Selon nos informations, les autorités tchadiennes ont retiré la candidature de Mahamat Aware Neissa pour l’élection au poste de directeur général de l’Asecna, qui doit se tenir le 14 septembre.
Malgré la poursuite de l’assainissement des comptes et des investissements stratégiques, le futur de l’Asecna demeure incertain à moins d’un mois de l’élection de son directeur général.
La saisie à l’aéroport de Montréal de l’appareil soupçonné d’appartenir à l’ex-ministre nigérian du Pétrole Dan Etete, en procès pour corruption en Italie, est vigoureusement contestée devant la justice canadienne.
Face au turc Summa, la candidature chinoise était la mieux-disante, a appris Jeune Afrique. Mais le chantier à 120 millions d’euros ne sera définitivement attribué qu’après de nouveaux éclairages techniques.
La concentration des vols sur un petit nombre de plateformes en Afrique peut faciliter la mise en œuvre d’un protocole sanitaire adapté, juge Jean-Marc Bourreau, directeur Aviation du cabinet canadien CPCS.
Plombé par une situation financière désastreuse, creusée depuis la crise sanitaire, le pavillon national espère un soutien de l’État pour se redresser.
Malgré les restrictions imposées par l’UE, la compagnie a repris cette semaine ses vols vers Abidjan et poursuit les discussions avec d’autres capitales africaines.
Alors que la réouverture des frontières aériennes se profile, de nombreuses incertitudes demeurent sur le retour à la normale du trafic. Jeune Afrique fait le point.
En dépit de la pandémie de coronavirus, le secteur touristique, vital pour l’économie tunisienne, doit pouvoir reprendre ses activités. Avec, cette fois, un réel soutien de l’État.
La crise du coronavirus a mis sur le devant la scène le cargo aérien, qui reste habituellement dans l’ombre. Exemple avec l’exportation des mangues de Côte d’Ivoire vers l’Europe.
La relance de la RAM dépendra de l’appui financier du gouvernement, mais ce dernier exigera des contreparties quant aux effectifs et aux charges de fonctionnement de la compagnie. En attendant, la campagne de dépistage de ses salariés vient de démarrer.
Pour ces responsables, l’omniprésence du gouvernement, l’absence du secteur privé et les lacunes du « business model » pourraient signer l’arrêt de mort du pavillon national.
Très diserte sur les mesures d’accompagnement du Tourisme, du Transport aérien et de l’Artisanat grippés par le Covid-19, la ministre est restée vague quant au plan de relance.
S’il a dû tailler dans ses effectifs sur le continent à cause des conséquences la crise sanitaire, Accor espère un redémarrage en priorité en Méditerranée.