Journaliste, conseiller à la présidence, il a écrit tous ses livres dans la capitale mauritanienne. Voici quelques-uns des lieux où il aime à se rendre régulièrement.
L’Oasis Festival s’impose comme le nouveau fief des hipsters au Maroc. Sur un modèle international, pour une jeunesse friande d’électro, de strass et de paillettes.
Les chiffres sont rassurants : plus de six millions de visiteurs sont venus en Tunisie au cours des neuf derniers mois. Encore mieux qu’en 2014, année de la reprise, mais les problèmes structurels du secteur restent les mêmes depuis 2011.
La jeune compagnie sénégalaise opérera le 5 octobre son premier vol commercial pour la Côte d’Ivoire et le Bénin. Avant d’autres destinations régionales dans les prochaines semaines.
En 2017, Air Madagascar, en grave difficulté, s’était alliée avec Air Austral plutôt qu’avec Ethiopian Airlines. Aujourd’hui, la compagnie éthiopienne tient sa revanche, ayant obtenu des droits de trafic auprès des autorités malgaches. Cette nouvelle concurrence pourrait menacer la viabilité d’Air Madagascar.
Les principales enseignes hôtelières multiplient les annonces sur le continent : neuf nouveaux établissements pour Hyatt, arrivée sur le Plateau abidjanais pour Radisson… Tour d’horizon.
Outre les investissements publics, des dizaines de millions d’euros ont été injectés par des opérateurs privés dans des projets immobiliers qui ont transformés la capitale.
Il fut l’un des premiers établissements quatre étoiles du Rwanda avant de devenir le refuge de 1 268 personnes durant le génocide. Depuis 2001, les groupes se succèdent à sa tête pour tenter de rivaliser avec les nouveaux concurrents.
Au salon du tourisme de Paris, des représentants de destinations africaines méconnues ou délaissées, comme le Tchad, le Botswana ou la Mauritanie, sont venus en France pour courtiser les voyageurs et surfer sur l’appel des grands espaces et de la vie sauvage.
Si les dirigeants des deux compagnies de l’Océan Indien se sont félicités lundi à Paris des effets des dix mois de partenariat stratégique entre leurs deux compagnies, l’offensive des low-cost à La Réunion et d’Ethiopian Airlines à Madagascar contrecarre sérieusement leurs plans de développement.
Résultat du récent rachat de Mövenpick Hotels & Resorts par AccorHotels, ce Britannique rejoint le groupe français en tant que directeur général Moyen-Orient et Afrique. Diplômé en management de l’hôtellerie des prestigieuses universités Cornell, aux États-Unis, et d’Oxford, en Angleterre, il cumule près de trente ans d’expérience à des postes de direction.
À la faveur du manque de pavillons nationaux, certaines compagnies, habituées au transport de personnels miniers ou pétroliers, se lancent dans l’exploitation de lignes commerciales.
Arrivé en 1989 au sein d’AccordHotels, qui possède 50 % de Mantis Group, ce juriste formé à l’université de Lille et titulaire d’un MBA de l’ESCP Europe devient directeur général du spécialiste de l’hôtellerie et du voyage de luxe. Le Français a largement participé au développement du groupe en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique.
La ministre tunisienne du Tourisme, Selma Elloumi Rekik, se réjouit d’une hausse d’environ 17,5 % de la fréquentation durant l’été 2018 comparé à la saison précédente. Elle dresse pour Jeune Afrique le tout premier bilan de cette saison touristique.
L’Agence nationale de l’aviation civile du Sénégal (Anacim) a notifié à la compagnie française qu’elle devra cesser d’exploiter la liaison Dakar-Paris à partir du 1er février 2019. C’est la nouvelle compagnie sénégalaise, Air Sénégal, qui devra assurer ces sept fréquences hebdomadaires. Un véritable challenge pour la jeune entreprise qui n’opère pour l’instant que la seule ligne Dakar-Ziguinchor.
L’annonce d’un plan de suppression de 1 200 postes au sein du pavillon national a secoué la Tunisie. Mais cette seule mesure ne suffira pas à ce que Tunisair relève la tête.
Le groupe familial marocain, Palmeraie Développement, compte sur la réussite de ses projets dans l’hôtellerie et les programmes de logements pour donner un coup d’accélérateur à sa croissance au sud du Sahara.
Chadian Airlines, Zambia Airways, Equatorial Guinea Airline… La compagnie éthiopienne, déjà premier transporteur aérien africain, multiplie les participations dans le capital de ses consœurs du continent. Son directeur général, Tewolde GebreMariam, ne cache pas son ambition d’en faire « une compagnie africaine ».
Le ministère des Affaires étrangères français vient de mettre à jour ses « conseils aux voyageurs » ayant pour destination l’Algérie. Une grande partie du pays, notamment le centre et le nord, ne fait plus partie de la zone à risque.
Des passagers américains conduits à l’hôtel tandis que leurs homologues libériens restaient cantonnés à l’aéroport : la vidéo montrant la colère d’un ministre libérien suite à l’annulation de son vol par la RAM a fait le tour du web. Mais la compagnie réfute toute allégation de traitement discriminatoire.
L’Association marocaine des pilotes de ligne (AMPL) dément avoir signé un accord avec la direction de Royal Air Maroc, et assure vouloir organiser un référendum auprès de ses membres avant de se prononcer sur les propositions de la compagnie marocaine.
Après plus de trois semaines de graves perturbations, un accord a été trouvé en la direction de Royal Air Maroc et les pilotes de la compagnie. Des perturbations persistent cependant sur plusieurs liaisons.
Le 7 août, le gouvernement tchadien a conclu un accord pour la création d’une nouvelle compagnie nationale, Chadian Airlines, qui devrait être lancée en octobre 2018, en partenariat avec Ethiopian Airlines.
Du fait de la chute des cours du pétrole, d’avions trop gros et de l’absence de partenariats locaux efficaces, la croissance de la compagnie émiratie a ralenti ces deux dernières années. Mais le groupe dubaïote peaufine ses plans pour continuer son expansion.
L’arrivée des appareils de nouvelle génération, l’Airbus A321LR et le Boeing 737 Max, permettront de faire du long-courrier point à point, ce qui pourrait remettre en question le modèle de hub Emirates.
95 % de la population de lémuriens est « sur le point de s’éteindre », a affirmé l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), un regroupement d’organisations de défense de l’environnement.