La compagnie nationale rwandaise poursuit son déploiement en Afrique de l’Ouest. Après le Gabon, le Congo et la Côte d’Ivoire, elle a inauguré, le 3 octobre, une nouvelle ligne commerciale entre son hub de Cotonou et Dakar. En attendant de nouvelles dessertes sur Bamako et Conakry.
Malgré les problèmes sécuritaires, les taxes élevées et la concurrence d’Aigle Azur, le trafic sur la ligne Paris-Bamako ne cesse de croître. À l’occasion du 80e anniversaire de cette desserte, le patron de la compagnie française fait le point sur les activités, au Mali et dans le reste de l’Afrique.
Annulée in extremis par un simple mail, à l’insu du nouveau directeur général d’Air Sénégal, Philippe Bohn, la formation des futurs pilotes de la toute jeune compagnie aérienne sénégalaise aura bien lieu.
Depuis le 30 août dernier, RwandAir desservait déjà depuis Cotonou trois villes : Libreville, Brazzaville et Abidjan. Mais à partir de ce mardi 3 octobre, elle franchit une étape supplémentaire.
Maroc, Algérie, Tunisie, Égypte… La chaîne hôtelière Hilton multiplie les projets dans la région. Avec pour priorité, selon le pilote libanais de ce déploiement, Feras Hasbini, la conclusion de partenariats avec les propriétaires locaux.
Le défi est immense pour l’ex-Monsieur Afrique d’Airbus. Nommé directeur général du tout nouveau transporteur, il ambitionne d’écrire une véritable success-story.
Le royaume chérifien est surtout apprécié pour sa qualité de vie et son accueil, moins pour son système éducatif et son environnement institutionnel, conclut un rapport réalisé par l’Institut royal des études stratégiques (IRES) en partenariat avec le cabinet « Reputation institute ».
Pour redonner des couleurs au secteur du tourisme, le petit émirat a facilité les procédures d’accès à son territoire pour les ressortissants de nombreux pays, essentiellement occidentaux. Le Maroc vient de s’ajouter à cette liste.
La compagnie aérienne, présente dans quatre pays africains, sera désormais présidée par cet ancien pilote qui a créé plusieurs transporteurs privés, tels L’Avion et La Compagnie Boutique Airline.
South African Airways, Ethiopian Airlines, Air Mauritius… L’avionneur européen remplit son carnet de commandes. Et marque des points dans la guerre acharnée qu’il mène contre son concurrent américain.
Grâce au réseau et à la présence au sud du Sahara de la compagnie belge, qu’il a absorbée, le groupe allemand a doublé ses destinations sur le continent. Mais il reste derrière Air France-KLM.
Lentement mais sûrement, Niger Airlines monte en gamme. Créée en 2012 avec la vocation de désenclaver le pays et de desservir ses grandes villes depuis la capitale, la compagnie nigérienne a lancé des liaisons régulières (les mercredis, samedis et dimanches) entre Niamey, Agadez, Zinder et Maradi – la desserte de Diffa est suspendue en raison du contexte sécuritaire.
Avec 62 avions actuellement en commande, Ethiopian Airlines entend certes continuer à développer son réseau africain. Mais une partie de ces avions serviront également à soutenir son développement en Chine, où elle est présente depuis 1973, et où elle dispose désormais de 5 lignes vers Pékin, Shanghaï, Chengdu, Canton et Hong-Kong.
Alors que le secteur peine à redécoller, les projets hôteliers de prestige fleurissent dans le pays. Pour attirer de nouveaux visiteurs, les professionnels misent sur un changement radical : du modèle low cost aux prestations de luxe.
Faute de bases adaptées en Afrique subsaharienne, les opérations d’entretien les plus techniques doivent avoir lieu dans d’autres pays, entraînant des frais supplémentaires.
Si le trafic des avions privés poursuit son essor sur le continent, les entreprises africaines hésitent souvent à engager des dépenses pour l’achat d’appareils.
Pourtant située dans une zone troublée et très loin de la mer, la capitale rwandaise s’est hissée au troisième rang africain pour les congrès, grâce à des investissements massifs dans les infrastructures d’accueil.
Entre des hôtels aux tarifs prohibitifs et des « placiers » informels peu scrupuleux, les estivants locaux peinent à trouver un coin de plage tranquille sans avoir à mettre la main à la poche. Reportage.
La Tunisie fait de nouveau rêver les touristes européens. Ils représentent 17% des visiteurs. Mais, à la plus haute marche du podium, on retrouve l’Algérie. Selon les prévisions d’entrées pour la haute saison 2017 fournis par le ministère du tourisme Tunisien, le pays devrait attendre 1,5 million d’Algériens.
La compagnie établie à Abidjan renouvelle sa flotte et prévoit une desserte quotidienne pour chacune de ses destinations. Malgré la concurrence régionale, son directeur entrevoit les premiers bénéfices.
Le gouvernement britannique a annoncé ce mercredi 26 juillet que la majorité de la Tunisie, dont Tunis et les destinations touristiques majeures, ne font désormais plus partie des zones formellement déconseillées par le ministère des Affaires étrangères.
Jusqu’ici DGA de l’Office national du tourisme tunisien, il vient de prendre la tête de l’institution. Il en exerçait déjà les fonctions depuis qu’Abdellatif Hmam, son prédécesseur, avait été nommé secrétaire d’État au Commerce, en février.
Sauf surprise – mais personne n’y croit au siège de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), à Madrid –, c’est Zurab Pololikashvili qui devrait être confirmé secrétaire général lors de l’assemblée générale prévue en septembre à Chengdu, en Chine.
Le président algérien a nommé ce mercredi Hassan Mermouri ministre du Tourisme et de l’Artisanat, indique un communiqué de la présidence de la République.
L’ex-Hôtel Impérial Marhaba, le palace de Sousse dans lequel 38 touristes internationaux avaient été tués le 26 juin 2015 a rouvert en avril. À l’intérieur, les mesures de sécurité ont été multipliées et les réservations affichent déjà quasi complet dans un contexte de reprise des arrivées de touristes internationaux en Tunisie.
De grands présidents y ont séjourné, et le Paris-Dakar s’y est arrêté. Pour que ses quatre étoiles brillent de nouveau, l’établissement a été rénové à grands frais. En attendant sa privatisation ?