Entre des hôtels aux tarifs prohibitifs et des « placiers » informels peu scrupuleux, les estivants locaux peinent à trouver un coin de plage tranquille sans avoir à mettre la main à la poche. Reportage.
La Tunisie fait de nouveau rêver les touristes européens. Ils représentent 17% des visiteurs. Mais, à la plus haute marche du podium, on retrouve l’Algérie. Selon les prévisions d’entrées pour la haute saison 2017 fournis par le ministère du tourisme Tunisien, le pays devrait attendre 1,5 million d’Algériens.
La compagnie établie à Abidjan renouvelle sa flotte et prévoit une desserte quotidienne pour chacune de ses destinations. Malgré la concurrence régionale, son directeur entrevoit les premiers bénéfices.
Le gouvernement britannique a annoncé ce mercredi 26 juillet que la majorité de la Tunisie, dont Tunis et les destinations touristiques majeures, ne font désormais plus partie des zones formellement déconseillées par le ministère des Affaires étrangères.
Jusqu’ici DGA de l’Office national du tourisme tunisien, il vient de prendre la tête de l’institution. Il en exerçait déjà les fonctions depuis qu’Abdellatif Hmam, son prédécesseur, avait été nommé secrétaire d’État au Commerce, en février.
Sauf surprise – mais personne n’y croit au siège de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), à Madrid –, c’est Zurab Pololikashvili qui devrait être confirmé secrétaire général lors de l’assemblée générale prévue en septembre à Chengdu, en Chine.
Le président algérien a nommé ce mercredi Hassan Mermouri ministre du Tourisme et de l’Artisanat, indique un communiqué de la présidence de la République.
L’ex-Hôtel Impérial Marhaba, le palace de Sousse dans lequel 38 touristes internationaux avaient été tués le 26 juin 2015 a rouvert en avril. À l’intérieur, les mesures de sécurité ont été multipliées et les réservations affichent déjà quasi complet dans un contexte de reprise des arrivées de touristes internationaux en Tunisie.
De grands présidents y ont séjourné, et le Paris-Dakar s’y est arrêté. Pour que ses quatre étoiles brillent de nouveau, l’établissement a été rénové à grands frais. En attendant sa privatisation ?
La Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (Cnuced) a publié mercredi 5 juillet un rapport préconisant de mettre le tourisme au service de la croissance de l’Afrique. Ce secteur accélère notamment l’entrée des jeunes et des femmes dans la vie économique, comme le souligne Milasoa Cherel-Robson, économiste à la division Afrique de cette institution.
Lancée le 2 juin dernier, la ligne a été suspendue faute d’un taux de remplissage suffisant. Elle permettait de rallier le Togo depuis l’Afrique du sud en six heures.
Lancé il y a un an, Sim Aerospace est le premier simulateur de vol professionnel de la République du Congo. Les deux fondateurs veulent désormais élargir leur offre, dans une région où les besoins en formation sont énormes.
En France, les juges chargés de l’enquête sur le crash d’un avion Swiftair prêté à Air Algérie en juillet 2014 pour effectuer la liaison Ouagadougou-Alger, ont décidé de mettre en examen la compagnie espagnole. 116 personnes avaient péri dans l’accident.
Après s’être imposé sur le marché sénégalais de la location de voitures sous la franchise de l’américain Hertz, l’entrepreneur lance sa propre marque d’établissements de moyenne gamme.
Il connaît encore peu l’Afrique. Mais c’est lui qui devra sortir l’une des principales compagnies aériennes du continent de ses difficultés. Recruté par le chasseur de têtes britannique Spencer Stuart, Sebastian Mikosz, 44 ans, a pris ses fonctions de directeur général de Kenya Airways le 1er juin et devrait y rester trois ans.
Nairobi a entamé un vaste plan de restructuration financière de sa compagnie aérienne nationale, Kenya Airways, lourdement endettée. Il prévoit notamment de remonter au capital du transporteur et de faciliter de nouvelles levées de fonds.
Alors que la compagnie éthiopienne a noirci le carnet de commandes d’Airbus, Boeing et Bombardier, seuls Mauritania Airways, Cemair et Air Sénégal ont signé l’achat d’appareils durant le 52e salon du Bourget. Le point sur les commandes.
Portés par la croissance du trafic, les grands aéroports s’agrandissent. Quand les pays ne choisissent pas d’en construire de nouveaux. Objectif : devenir le hub de sa région.
Pour attirer plus de passagers et réduire les taxes des compagnies, de plus en plus d’aéroports africains misent sur la création de zones commerciales et d’espaces de détente.
Depuis quelques années, les soirées du mois du Ramadan sont devenues des opportunités pour les jeunes sociétés événementiel en Algérie. Mais la crise économique qui secoue le pays jette un froid sur ce secteur en plein essor.
Mamadou Lamine Sow, directeur général de la compagnie Air Sénégal qui deviendra opérationnelle en décembre prochain, a signé mardi l’achat de deux ATR 72-600 destinés à desservir en priorité le marché régional. Il en détaille les contours pour Jeune Afrique.
Signé mardi 20 juin, à l’occasion du Salon international de l’aéronautique du Bourget, le contrat d’achat de deux avions ATR par Air Sénégal marque les débuts de la nouvelle compagnie aérienne sénégalaise qui démarrera ses opérations par étapes, d’abord sur le réseau domestique et régional, puis vers l’Afrique de l’Ouest et la France.
Après avoir limogé son directeur général John Mirenge, un ex-financier converti à l’aérien, les autorités rwandaises souhaitent confier les rênes de la compagnie nationale RwandAir, en pleine expansion, à des professionnels du secteur.
Le groupe français Barrière a inauguré début mai son premier casino subsaharien à Abidjan en Côte d’Ivoire, et s’apprête à ouvrir une nouvelle structure au Caire.
La capacité hôtelière de la Guinée équatoriale est actuellement d’environ 5 000 lits. Concentrée en milieu urbain avec une majorité d’établissements haut de gamme, elle est surtout adaptée aux voyageurs d’affaires et manque encore de lodges et de chambres d’hôtes pour séduire une clientèle plus diversifiée, toujours haut de gamme, certes, mais attirée par la nature et le contact avec la population.
Tomas Mecheba Fernandez Galilea, ministre d’État chargé du Tourisme en Guinée équatoriale, présente les stratégies et les projets mis en place de redynamiser le tourisme dans son pays.
Doté de capacités hôtelières qui lui permettent d’accueillir de grands événements, le pays espère attirer de simples voyageurs d’agrément. Premier défi : alléger les conditions d’octroi des visas.