Dettes, remise en service des appareils, feuille de route…. Pour sa première apparition publique, le nouveau DG de la compagnie a dévoilé un plan de vol chiffré.
Ni Air France, ni Turkish Airlines, ni Asky ne sont encore de retour à Niamey, malgré la réouverture du ciel nigérien aux vols commerciaux, effective depuis le 3 septembre.
Avions cloués au sol, relance de Congo Airways en suspens… L’offre domestique de transport aérien de la RDC se réduit encore, malgré la détermination affichée par le président Tshisekedi de prendre ce dossier à bras-le-corps.
En quittant précipitamment Bamako, la compagnie française s’est attiré les foudres des autorités locales. Alors que les dessertes de plusieurs destinations africaines sont suspendues, les concurrents sont déjà en embuscade.
Comment l’État accompagnera la compagnie aérienne pour atteindre un chiffre d’affaires de plus de 8,5 milliards d’euros ? Son PDG, Hamid Addou, détaille en exclusivité pour Jeune Afrique son programme à l’horizon 2027.
La compagnie aérienne kényane a annoncé, le 29 août, le creusement de ses pertes au premier semestre en dépit de bonnes performances opérationnelles. En cause, l’augmentation de ses coûts d’emprunt et la dévaluation du shilling.
Les hôtels ont fait le plein cet été grâce aux Européens de l’Ouest. Mais le secteur attend toujours son big bang pour moins dépendre du tourisme balnéaire de masse, peu générateur de devises.
Le Togo a souscrit à 600 000 actions d’Asky pour permettre à la compagnie aérienne de renforcer sa position dans l’espace aérien africain. Explications.
En croissance respectivement de 16 % et 170 %, les transferts des Marocains résidant à l’étranger (MRE) et les recettes touristiques permettent au royaume de booster ses réserves en devises dans un contexte économique difficile.
Alors que Paris a annoncé la suspension de l’aide au développement accordée au Burkina, Ouagadougou a décidé de résilier la convention de concession de l’aéroport de Donsin signée avec Meridiam et AMP. Déjà délétère, le climat entre les deux pays s’assombrit encore.
Entre missions de consulting, sport et engagement politique, sept ans après son mystérieux départ, l’ancien PDG de la Royal Air Maroc mène une vie de retraité très actif.
Alors que le Niger a annoncé la fermeture de son espace aérien, les plans de vols des compagnies africaines et celles desservant l’Afrique sont largement perturbés.
En rachetant la participation de Risma dans Accor Gestion Maroc, le géant hôtelier français en devient l’unique actionnaire. Une « démarche de simplification » qui permet au groupe d’accélérer le développement de ses marques dans le royaume.
Alors que le secteur aérien s’est effondré en Afrique australe, Airlink affiche une santé insolente. L’histoire de la compagnie privée est intimement liée à celle de son directeur général.
Le groupe Kasada, spécialiste de l’investissement hôtelier en Afrique subsaharienne, s’engage pour développer une série d’hôtels au Gabon en partenariat avec le Fonds gabonais d’investissements stratégiques.
Le 21 juillet, une obligation de continuité de service public a été adoptée par les ministres des Transports des pays membres de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna).
Un an après la prise de fonction de son directeur général, Alioune Badara Fall, le pavillon sénégalais table toujours sur le redressement des comptes et l’équilibre opérationnel en décembre prochain.
Il s’est fixé 24 mois pour relancer KQ. Et pour convaincre les investisseurs, le nouveau PDG devra commencer par restructurer les dettes. Tout en finalisant le partenariat avec South African Airways.
Après sept ans d’attente, le PDG de Royal Air Maroc vient de signer avec le chef du gouvernement un nouveau contrat-programme, appelé à propulser la compagnie aérienne vers les sommets du secteur en Afrique.
En RDC, la compagnie nationale, dont la destinée vient d’être confiée par le chef de l’État à une direction entièrement remaniée, doit d’urgence se doter de nouveaux appareils avant que les siens ne partent en révision.
Si le trafic aérien sur le continent tend à rattraper son niveau de 2019, certains pays s’en sortent mieux que d’autres. Mais des problèmes « structurels » demeurent, souligne l’Association du transport aérien international.
La compagnie aérienne qatarie assure désormais en son nom les vols entre le Maroc et le Qatar, sans que l’accord de partage de codes avec la RAM ne soit remis en question.
L’opérateur hôtelier français se désengage du groupe, propriétaire du Sofitel de Marrakech, au profit de la mystérieuse société d’investissements créée par Adil Douiri.
Rwandair relie désormais, en direct, Paris et Kigali. Cette liaison entérine les nouveaux accords aériens entre les deux pays, qui ouvrent un large éventail de possibilités à leur compagnie nationale ainsi qu’à leurs partenaires.
Eduardo Fairen, le directeur général de TAAG Angola, est vent debout contre les avantages compétitifs dont bénéficient ses concurrents du Golfe et se dit inquiet des conséquences de l’open-sky africain.
Si Ethiopian Airlines est toujours en tête du palmarès pour les compagnies africaines, la compagnie marocaine a progressé de 13 places en un an, et s’offre une belle septième place mondiale pour les compagnies régionales.
Le visage emblématique du secteur aérien africain n’assure plus la présidence du conseil d’administration de la première compagnie du continent, qu’il avait dirigée de 2004 à 2011. Il est remplacé par un militaire, le général Yilma Merdasa.