Créé au début des années 2000, le réseau Aftu, de son vrai nom, transporte aujourd’hui plus d’un million de passagers par jour, principalement dans la capitale sénégalaise et sa région.
Le directeur général de la Société du port à gestion autonome de Toamasina revient sur les dernières évolutions du principal port malgache, le long d’une façade portuaire orientale également en plein développement.
Diplômée en finances et en management, à Paris et à Barcelone, cette Ivoirienne est la première femme à occuper un tel poste au sein d’Africa Global Logistics, anciennement détenu par le groupe Bolloré et désormais propriété de MSC.
Déjà présent en Guinée, en Somalie et au Maroc, le groupe turc Albayrak (construction, gestion de ports, textile, agroalimentaire, recyclage des déchets…) s’apprête à s’implanter en Gambie et en RDC. Entretien exclusif avec son directeur général.
Le groupe émirati exploitera seul quatre des douze postes d’amarrage et quatre autres en partenariat avec l’Autorité portuaire tanzanienne. La ratification de l’accord par le parlement en juin avait suscité une vive contestation en Tanzanie.
Après avoir reçu son premier dock flottant, le port de Djibouti va démarrer ses activités de réparation navale, renforçant encore un peu plus son attractivité le long de la côte orientale africaine.
De l’Égypte à l’Afrique du Sud, les principaux terminaux de la côte orientale du continent sont entrés en phase de renouvellement. Ne serait-ce que pour être en mesure d’absorber l’augmentation du trafic en provenance d’Asie.
Accusée d’avoir nui à l’économie du pays, Portia Derby porte une lourde responsabilité dans le naufrage du transporteur ferroviaire. La privatisation est même envisagée pour sauver l’entreprise.
Pendant plus de cinquante ans, la Grande Île a privilégié la desserte aérienne intérieure. Résultat, elle ne dispose toujours pas d’un réseau routier à même d’assurer son développement.
Dans un environnement économique complexe, les opérateurs internationaux continuent d’investir sur le continent. Mais le risque politique, l’envolée des coûts de construction et la hausse des taux d’intérêt freinent les ardeurs, en particulier dans le domaine des infrastructures. Les industriels jouent de leur coté la carte de la valeur ajoutée locale.
Makame Mbarawa, le ministre tanzanien des Travaux publics et des Transports, défend le fait d’avoir choisi le géant Dubaïote pour l’exploitation du port de Dar es-Salaam. DP World serait le mieux placé pour le transformer en hub logistique à destination de l’Afrique australe et de l’Est.
La relance du chemin de fer reliant Kolwezi au port angolais de Lobito, plus courte voie d’exportation du cuivre et du cobalt congolais, bénéficie aujourd’hui de soutiens stratégiques, laissant croire au succès d’un projet maintes fois promis.
Adopté par le Parlement, le texte alimente les débats. Les bailleurs de fonds exigent des clarifications sur l’impact de la création de la société de patrimoine et de l’autorité de régulation sur leurs financements.
Avec un investissement de 8 milliards de francs CFA, le terminus du TER à l’aérogare vient d’être livré pour assurer la liaison entre Diamniadio et l’AIBD avant décembre 2023.
L’entreprise sud-africaine de services logistiques veut notamment participer à la revitalisation du corridor Nord-Sud pour faciliter l’exportation des ressources minières de RDC et de Zambie.
Engagé à mobiliser de nouveaux moyens de transport pour optimiser la mobilité urbaine, le Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (Cetud) mise sur « 1 000 nouveaux bus à gaz » pour y parvenir.
Le président d’Africa Global Logistics (AGL), anciennement Bolloré Transport & Logistics (BTL), revient sur les évolutions de ces derniers mois au sein de l’entreprise, notamment dans les secteurs portuaire et maritime.
Le directeur général de la première compagnie maritime mondiale présente sa stratégie au moment où le groupe devient aussi le leader des ports et de la logistique à travers le continent.
Après le rachat des activités de Bolloré Africa Logistics Togo par l’armateur italo-suisse Mediterranean Shipping Company (MSC), le même PDG dirige la nouvelle entité, Africa Global Logistics. Il décrypte pour JA les enjeux de cette nouvelle donne.
Si le groupe Bolloré tourne définitivement la page du transport et de la logistique, après la vente de Bolloré Transport & Logistics (BTL) à CMA CGM, ce dernier prend une tout autre dimension, en Afrique… et ailleurs.
Les autorités publiques sénégalaises viennent de monter au capital de DP World Dakar SA, le principal opérateur privé portuaire du pays, comme celles du Togo l’avaient fait quelques semaines plutôt à Lomé.
La société (ex-Mauto) dirigée par l’investisseur béninois prévoit de lancer ses services de mobilité électrique en octobre avec le soutien du palais : 200 millions de dollars doivent être injectés dans le projet. D’ici à 18 mois, son usine de Kampala assemblera ses premières motos.
Camrail semble avoir pansé les plaies du passé, et prépare l’avenir, en s’équipant de nouveaux matériels et en modernisant son réseau. L’opérateur ferroviaire prévoit même de le doubler, en traçant « une ligne de vie » jusqu’au Sahel.
L’acquisition de Bolloré Africa Logistics par MSC pour 5,7 milliards d’euros constitue, tous secteurs confondus, la transaction de 2022 qui a le plus marqué notre classement des 500 Champions africains.
Si le secteur portuaire redresse la tête, les compagnies aériennes n’ont pas encore fini de payer les dommages liés à la crise sanitaire comme le montre notre classement 2023.
L’État togolais et l’opérateur portuaire ont mis fin à un conflit qui les opposait depuis 2018. Ce, à l’heure où Bolloré Africa Logistics passe sous le pavillon de MSC. Jeune Afrique revient sur les circonstances de cet accord.
Sa liaison ferroviaire avec l’hinterland donne à la capitale économique de Côte d’Ivoire un avantage comparatif certain par rapport aux autres ports de la région dans la course au leadership. Alors que la modernisation du réseau est en négociation.
Avant son départ, le groupe a livré de nouvelles installations portuaires et aéroportuaires dans la capitale économique ivoirienne, appelée à devenir la plateforme multimodale de la sous-région.
Un an après son inauguration par Macky Sall, la gestion et la rentabilité de ce projet phare du plan Sénégal émergent cristallisent les débats. Décryptage.