Le guichet unique du Togo est entré en phase pilote depuis fin juin. Réservé pour le moment à quelques acteurs de l’import maritime, il devrait progressivement être étendu à toutes les portes d’entrée et de sortie du pays, notamment aux postes frontaliers et aux infrastructures aéroportuaires.
Un consortium composé du français Thales, du chinois Huawei et de l’italien Imet a remporté un contrat de 30 millions d’euros pour l’installation d’un nouveau système de communication sur le réseau ferroviaire du Maroc.
Réuni le 24 juillet, le conseil de la ville de Casablanca a voté pour l’abandon du projet de ligne de métro aérien, lui préférant l’extension du réseau de tramway lancé en 2012. Des travaux qui devraient nécessiter 16 milliards de dirhams d’investissements (1,5 milliard d’euros).
La filiale britannique d’Alstom a été inculpée de trois délits de corruption et de trois délits de complicité de corruption. Les accusations concernent de grands projets de transport conduits en Inde, en Pologne et en Tunisie entre juin 2000 et novembre 2006.
Son charme et avec lui une bonne partie de sa population et de ses touristes s’étaient envolés. Grâce à une vaste opération de renouvellement urbain, la cité balnéaire retrouve son lustre.
Sogea-Satom, filiale de Vinci Construction spécialisée dans le BTP en Afrique, a décroché le marché de la réhabilitation et de l’aménagement de la pénétrante Ouest de Douala, la capitale économique du Cameroun.
La filiale d’Airbus Group, Aerolia, a signé un accord avec le gouvernement marocain portant sur la construction d’une usine de production à l’aéropôle de Nouaceur, pour un investissement d’environ 40 millions d’euros.
Royal Air Maroc a signé le 15 juillet un contrat de location longue durée avec le constructeur aéronautique brésilien Embraer pour acquérir quatre nouveaux appareils. Cette commande permettra d’augmenter la fréquence de ses vols à destination de l’Europe et de l’Afrique.
SDV, groupe mondial de transport et de logistique, et Bolloré Africa Logistics ont lancé un nouveau service de livraison express entre l’Europe et l’Afrique baptisé « Speed to Africa ». Cette solution est disponible dans vingt pays africains.
Principale plateforme régionale des compagnies aériennes Asky et Ethiopian Airways, l’aéroport international Gnassingbé-Eyadéma ne pouvait plus faire face à la croissance du trafic. La livraison d’une nouvelle aérogare, fin octobre, devrait soulager cette pression.
Impliqué à la fois dans les secteurs aérien et bancaire, l’homme d’affaires togolais plaide pour un regroupement des transporteurs nationaux… et revient sur la crise de gouvernance à Ecobank.
La construction de la nouvelle aérogare de l’aéroport d’Alger a été confiée au groupe chinois China State Construction Engineering Corporation (CSCEC). Son coût, selon Tahar Allache, le patron de la Société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires, pourrait atteindre 70 milliards de dinars (environ 650 millions d’euros), pour une livraison en 2018.
Djibouti a entamé la procédure de résiliation du contrat de concession du terminal à conteneurs de Doraleh passé avec DP World en 2006. L’opérateur est soupçonné de l’avoir obtenu en versant des pots-de-vin.
Un pool bancaire composé de Banque Atlantique, de la SGBCI et d’Afreximbank a octroyé le 9 juillet un crédit de 200 millions d’euros au port d’Abidjan pour le démarrage de la construction du deuxième terminal à conteneurs.
Meridiam, un investisseur privé dédié aux projets d’infrastructures, met le cap sur l’Afrique et recrute Mouhamadou Niang en provenance de la Banque africaine de développement. Prochaine étape : lever 300 millions d’euros pour les réinvestir dans l’énergie et les transports.
Durant une réunion organisée le 02 juillet dernier, Aziz Rabbah, le ministre marocain de l’Équipement, du Transport et de la Logistique, a révélé que le coût de réalisation du futur aéroport de Marrakech – actuellement à l’étude – pourrait atteindre 4,3 milliards de dirhams (environ 520 millions de dollars).
Air France propose les services de jets privés à ses clients haut de gamme transitant à l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle, suite à un accord signé avec Wijet le 3 juillet 2014
Ceiba Intercontinental ne cache plus ses ambitions. La compagnie équato-guinéenne multiplie les destinations et améliore sa flotte. Son objectif est clair : afficher une réputation sans faille afin de viser l’Europe et l’Amérique latine.
Casablanca ou Tunis ? Tel semble être le dilemme, depuis dix ans, d’une industrie aéronautique européenne en quête de sous-traitants performants. Point par point, « Jeune Afrique » analyse les avantages comparatifs de chaque pays.
Jean-Philippe Gouyet est, depuis le 1er juillet, le directeur général délégué de Necotrans. L’ancien patron Afrique d’Airbus Group (ex-EADS) formera avec Grégory Quérel, PDG de la multinationale française, une direction bicéphale chargée de mener la stratégie du groupe dans les métiers de la logistique spécialisée.
Alors que les attentats terroristes n’augurent rien de bon pour le tourisme kényan, la compagnie Kenya Airways espère beaucoup de son alliance avec Air France. La preuve : elle vient de renforcer ses vols à destination de la Ville Lumière.
La procédure d’arbitrage engagée le 26 juin devant la Chambre de commerce internationale (CCI) de Paris afin de trancher le contentieux opposant le groupe canadien SM International Construction Inc. à Air Algérie pourrait coûter cher à l’opérateur aérien.
L’offre publique d’achat lancée par le patron de Jaccar sur Bourbon suscite des interrogations. D’autant que le Français reste très discret sur ses intentions.
Durant l’exercice 2013, Royal Air Maroc a enregistré un bénéfice net de 168 millions de dirhams (15 millions d’euros) contre un résultat net déficitaire en 2012. L’opérateur aérien doit toutefois faire face à une concurrence de plus en plus rude.
Nouvelle nomination à la tête de la compagnie aérienne camerounaise Camair-Co : le pilote Jean-Paul Nana Sandjong, 54 ans, succède à Frédéric Mbotto Edimo à l’issue du conseil d’administration du 20 juin. C’est le 4e directeur général de l’entreprise depuis 2011.
La quasi-totalité des avionneurs basés en Europe ont aujourd’hui des sous-traitants et filiales au Maroc et en Tunisie. Mais si cette la filière aéronautique régionale s’étoffe d’année en année (plus de 25000 employés dans les deux pays), cela ne signifie pas qu’un avion sera prochainement assemblé en Afrique du Nord.
Depuis le 17 juin, Royal Air Maroc assure deux vols par semaine entre Casablanca et N’Djamena. La capitale tchadienne devient ainsi la 32e destination africaine desservie par le transporteur aérien marocain.