Meridiam, un investisseur privé dédié aux projets d’infrastructures, met le cap sur l’Afrique et recrute Mouhamadou Niang en provenance de la Banque africaine de développement. Prochaine étape : lever 300 millions d’euros pour les réinvestir dans l’énergie et les transports.
Durant une réunion organisée le 02 juillet dernier, Aziz Rabbah, le ministre marocain de l’Équipement, du Transport et de la Logistique, a révélé que le coût de réalisation du futur aéroport de Marrakech – actuellement à l’étude – pourrait atteindre 4,3 milliards de dirhams (environ 520 millions de dollars).
Air France propose les services de jets privés à ses clients haut de gamme transitant à l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle, suite à un accord signé avec Wijet le 3 juillet 2014
Ceiba Intercontinental ne cache plus ses ambitions. La compagnie équato-guinéenne multiplie les destinations et améliore sa flotte. Son objectif est clair : afficher une réputation sans faille afin de viser l’Europe et l’Amérique latine.
Casablanca ou Tunis ? Tel semble être le dilemme, depuis dix ans, d’une industrie aéronautique européenne en quête de sous-traitants performants. Point par point, « Jeune Afrique » analyse les avantages comparatifs de chaque pays.
Jean-Philippe Gouyet est, depuis le 1er juillet, le directeur général délégué de Necotrans. L’ancien patron Afrique d’Airbus Group (ex-EADS) formera avec Grégory Quérel, PDG de la multinationale française, une direction bicéphale chargée de mener la stratégie du groupe dans les métiers de la logistique spécialisée.
Alors que les attentats terroristes n’augurent rien de bon pour le tourisme kényan, la compagnie Kenya Airways espère beaucoup de son alliance avec Air France. La preuve : elle vient de renforcer ses vols à destination de la Ville Lumière.
La procédure d’arbitrage engagée le 26 juin devant la Chambre de commerce internationale (CCI) de Paris afin de trancher le contentieux opposant le groupe canadien SM International Construction Inc. à Air Algérie pourrait coûter cher à l’opérateur aérien.
L’offre publique d’achat lancée par le patron de Jaccar sur Bourbon suscite des interrogations. D’autant que le Français reste très discret sur ses intentions.
Durant l’exercice 2013, Royal Air Maroc a enregistré un bénéfice net de 168 millions de dirhams (15 millions d’euros) contre un résultat net déficitaire en 2012. L’opérateur aérien doit toutefois faire face à une concurrence de plus en plus rude.
Nouvelle nomination à la tête de la compagnie aérienne camerounaise Camair-Co : le pilote Jean-Paul Nana Sandjong, 54 ans, succède à Frédéric Mbotto Edimo à l’issue du conseil d’administration du 20 juin. C’est le 4e directeur général de l’entreprise depuis 2011.
La quasi-totalité des avionneurs basés en Europe ont aujourd’hui des sous-traitants et filiales au Maroc et en Tunisie. Mais si cette la filière aéronautique régionale s’étoffe d’année en année (plus de 25000 employés dans les deux pays), cela ne signifie pas qu’un avion sera prochainement assemblé en Afrique du Nord.
Depuis le 17 juin, Royal Air Maroc assure deux vols par semaine entre Casablanca et N’Djamena. La capitale tchadienne devient ainsi la 32e destination africaine desservie par le transporteur aérien marocain.
À l’occasion de l’inauguration du vol Nairobi-Paris, Titus Naikuni, le patron de Kenya Airways, a entrepris de consolider ses liens avec Air France-KLM, qui a 26 % du capital de la compagnie kényane.
L’Algérie menace de résilier un contrat de cinq milliards de dollars attribué en 2006 au groupement japonais Cojaal pour la réalisation d’un tronçon de l’autoroute Est-Ouest. Un projet encore inachevé.
L’Afrique détient le plus mauvais bilan mondial en matière de sécurité routière. Depuis quelques années, les États subsahariens tentent de faire évoluer la situation en imposant par exemple des contrôles techniques obligatoires. Autant d’opportunités pour les spécialistes mondiaux du secteur.
Prise en otage par les mouvements sociaux, la compagnie tunisienne accueille un nouveau staff dirigeant. Mais beaucoup doutent de sa capacité à redresser la firme.
Prix, remplissage, taille des appareils, mais aussi pertes financières… Patron de la low-cost africaine, l’ex-directeur exécutif d’EasyJet dresse le bilan d’une année d’activité.
Le français Necotrans a obtenu la concession du port fluvial de Brazzaville via une convention passée de gré à gré. Cherchant à éviter toute contestation, le gouvernement congolais a même fait passer un décret, le 19 février, conférant le statut de « site stratégique » au port. Explications.
Maillage routier entre capitales sous-régionales, boucle ferroviaire ouest-africaine, aéroport international… En matière de transports, le Bénin passe la démultipliée.
Un guichet unique plébiscité par les usagers, des opérateurs privés qui y jettent l’ancre… Le Port autonome de Cotonou est en forme : les flux commerciaux devraient croître de 7,2 % en 2014.
Le tribunal de la Cour commune de justice et d’arbitrage (CCJA) de l’Ohada a condamné la Guinée le 22 mai dernier dans le litige l’opposant à Getma, la filiale guinéenne de NCT Necotrans, au sujet de la concession du port de Conakry.
Sur la côte ouest-africaine, la concurrence est rude. Les principaux ports ne lésinent pas sur les moyens pour devenir des plateformes de référence sur le continent.
Le projet de boucle ferroviaire qui reliera cinq pays, du Togo à la Côte d’Ivoire en passant par le Bénin, le Niger et le Burkina Faso, est sur la bonne voie.
Le trafic de marchandises au port d’Alger a augmenté de 17,4 % au premier trimestre 2014, rapporte l’agence APS. Portée par les exportations d’hydrocarbures, cette progression est aussi liée à la hausse des importations de ciment, nécessaires aux projets d’infrastructures nationaux.
À un mois du troisième round des négociations avec l’Union européenne, agents de voyage et transporteurs aériens se montrent toujours sceptiques et demandent un délai de grâce pour bien se préparer à la libéralisation complète du ciel tunisien.
Necotrans a décroché une concession de 15 ans pour la gestion du Port autonome de Brazzaville. Le projet, qui demandera un investissement de 14,6 millions d’euros, porte sur la modernisation des infrastructures et le développement des activités portuaires.
Alors que Timis Corporation semblait avoir une longueur d’avance dans le projet de réhabilitation de la ligne de chemin de fer Abidjan-Ouagadougou-Kaya-Tambao, c’est le français Bolloré qui a remporté le marché.