L’annonce de l’absorption de Safmarine par Maersk fait des remous, même si le leader mondial du transport maritime est propriétaire de la société belge depuis 1999.
Après sept mois de conflit, la zone d’exclusion aérienne est partiellement levée en Libye. Plusieurs transporteurs étrangers placent déjà leurs pions, mais beaucoup reste à faire pour reconstruire les infrastructures aéroportuaires.
Le groupe français Groupama entend bien profiter de la croissance du marché maritime sur le continent. Pour cela, il multiplie les partenariats avec les compagnies locales.
L’Algérie s’apprête à réaliser des plateformes logistiques connectées au rail et à la route, dans le but d’accroître la compétitivité de ses équipements portuaires. Ces interfaces suffiront-elles à fluidifier le trafic ?
Malgré les crises, politiques et économiques, l’intérêt pour les ouvertures maritimes du continent ne faiblit pas. Les grands groupes se livrent une bataille sans merci pour en prendre le contrôle.
Réaménagement, approfondissement, assainissement… Quatre opérateurs, belges et néerlandais, se partagent le marché de l’entretien des ports en Afrique. Revue de détail.
Patron d’Ival, distributeur de Fiat, Iveco et Mazda, le président de l’association des concessionnaires a vu venir très tôt l’essor du marché automobile en Algérie.
À la recherche de relais de croissance, le constructeur brésilien cible le marché africain. Pour ce spécialiste des appareils de petite et moyenne capacité, le lancement de nouvelles compagnies et l’essor du trafic de passagers sont autant d’opportunités.
Longtemps stockés dans des cartons, les projets de construction et de rénovation des réseaux de communication prennent enfin corps. Le Congo retrouvera-t-il pour autant sa vocation de transit ?
Jimmy Dando assure le développement au sud du Sahara du constructeur japonais Nissan. L’objectif de cet ingénieur sud-africain de 55 ans : dépasser les 100 000 véhicules neufs vendus chaque année en Afrique subsaharienne.
De Nouakchott à Tripoli, les cinq transporteurs aériens de la zone vont mal. Le « printemps arabe » et la crise du tourisme n’expliquent pas tout. Des raisons plus profondes, comme la mainmise des États, contribuent à leurs difficultés. Comment redécoller ?
Pour le « Monsieur Afrique » du constructeur européen, les compagnies locales, qui doivent renouveler leur flotte, sont appelées à acquérir de plus en plus d’appareils. Une aubaine pour le groupe, qui détient déjà 65 % du marché africain des avions de ligne neufs.
Concurrence croissante, tourisme en berne, flambée du prix du pétrole… Le pavillon national marocain est victime de la conjoncture actuelle. Il doit se réinventer une stratégie sous peine de voir son avenir s’assombrir.
Un nouveau PDG a été nommé le 19 juin à la tête du transporteur national. Spécialiste du secteur, Mohamed Salah Boultif a désormais pour missions de redresser la compagnie et de restaurer son image dégradée.
Au moins quarante-trois sociétés d’État en Côte d’Ivoire seront auditionnées par le gouvernement ivoirien, a annoncé mercredi le porte-parole du gouvernement ivoirien, Bruno Nabagné. Dans le viseur du gouvernement, les sociétés publiques qui ont soutenu Laurent Gbagbo pendant la crise postélectorale.
Plusieurs projets de train rapide sont à l’étude, et les entreprises se pressent au ministère des Transports pour décrocher des contrats. Au préalable, Pretoria s’est attelé à réorganiser la gestion du secteur.
De passage à Paris à l’invitation du patronat français, Yassine Brahim, 45 ans, en charge du Transport et de l’Équipement au sein du gouvernement de transition tunisien, revient pour jeuneafrique.com sur les dossiers brûlants de son ministère…
Le transporteur belge Brussels Airlines vient d’ouvrir deux liaisons au Maroc, vers Marrakech et Agadir. Mais pour celui qui pilote la stratégie du groupe sur le continent, l’Afrique de l’Ouest reste la priorité.
Affecté par l’envolée du yen et du dollar et par les incertitudes politiques au Maghreb et en Côte d’Ivoire, le cours du distributeur spécialisé fait le yoyo. Le groupe panafricain s’affiche néanmoins comme un titre fiable.
Le 8 mars, la Guinée résiliait la concession de Getma sur le terminal à conteneurs du port de Conakry. Depuis, la tension est à son comble entre les deux groupes français, qui se livrent un combat sans merci.
Le groupe français de logistique vient de confirmer son intention d’investir 300 milliards de F CFA (457 millions d’euros) pour l’agrandissement du Port autonome de Lomé. Objectif : doubler le trafic de conteneurs dans les cinq prochaines années, grâce à la construction d’un nouveau quai de 450 m de long. Actuellement, le port a une capacité de 350 000 à 400 000 conteneurs par an. Bolloré partage l’activité de manutention du Port autonome de Lomé avec Manuport, filiale du français Getma.
Alors que le Port autonome d’Abidjan vient de lever un emprunt de 50 millions d’euros, son patron depuis dix ans revient sur les défis maritimes de la Côte d’Ivoire.
Malgré des mesures de sécurité renforcées, les attaques se multiplient. Les 1 000 à 2 000 pirates recensés le long des 3 000 km de littoral somalien ont encaissé 50 millions d’euros de rançons en 2009.
En paralysant le ciel européen durant près d’une semaine, le volcan islandais Eyjafjöll a perturbé toute l’activité mondiale. En Afrique, la facture s’annonce déjà salée.