Cession de filiales, plan social… Le patron de Royal Air Maroc a su s’appuyer sur les syndicats et l’État pour faire aboutir ses réformes. Mais ce n’est pas terminé.
L’activité a repris, mais les défis restent nombreux pour le patron du port autonome d’Abidjan (PAA). Pour relancer le poumon économique de la Côte d’Ivoire, il devra mener à bien sa restructuration et définir un vaste plan d’investissements.
Stelios Haji-Ioannou, le fondateur d’EasyJet, envisage de lancer une nouvelle compagnie aérienne « low cost » en Afrique. Un véritable challenge pour l’homme d’affaires britannique d’origine chypriote.
L’ivoirien International Aircraft Services est l’un des rares acteurs africains sur le marché du transport par hélicoptère. Il cherche à lever des fonds pour renforcer sa compétitivité face à ses concurrents occidentaux.
Le renouvellement du parc de cars de la capitale sénégalaise, Dakar, exacerbe la concurrence entre la société publique et une association d’opérateurs privés. Cette dernière a pris l’avantage. Pour l’instant.
Entre hausse du prix du pétrole et crise du tourisme, le secteur subit le contrecoup de la révolution. Pour le protéger, un accord devant donner aux compagnies européennes un libre accès au ciel tunisien a été reporté.
Avec un chiffre d’affaires et un trafic passagers en hausse de plus de 40 %, le transporteur éthiopien a les moyens de ses ambitions. Aux commandes depuis janvier, le nouveau dirigeant Tewolde Gebremariam détaille sa stratégie.
Avec l’ouverture en février d’une ligne vers Lusaka et Harare, la dubaïote Emirates Airlines desservira vingt et une villes du continent. Pour poursuivre son expansion, elle cherche à nouer des partenariats régionaux.
Depuis le début de l’année, les compagnies aériennes Sénégal Airlines, Camair-Co et ECAir ont pris leur envol dans le ciel africain. Un émiettement qui fragilise les opérateurs et bloque l’émergence de champions régionaux.
Dans la plus grande discrétion, la compagnie nigériane s’est imposée en huit ans comme le premier transporteur privé ouest-africain. Certains s’interrogent cependant sur les risques d’une expansion aussi rapide. Avec raison ?
Lieutenants de pont, chefs mécaniciens… Créé en 1978, l’Institut supérieur d’études maritimes forme, en quatre ans, des officiers de la marine marchande. Il attire des étudiants de tout le continent. Présentation.
Filiale de Portek – récemment racheté par le japonais Mitsui -, Gabon Port Management est chargé de l’entretien et du développement des installations de Libreville et de Port-Gentil, où il multiplie les investissements. Entretien avec Philippe Gery, Directeur général de Gabon Port Management.
L’annonce de l’absorption de Safmarine par Maersk fait des remous, même si le leader mondial du transport maritime est propriétaire de la société belge depuis 1999.
Après sept mois de conflit, la zone d’exclusion aérienne est partiellement levée en Libye. Plusieurs transporteurs étrangers placent déjà leurs pions, mais beaucoup reste à faire pour reconstruire les infrastructures aéroportuaires.
Le groupe français Groupama entend bien profiter de la croissance du marché maritime sur le continent. Pour cela, il multiplie les partenariats avec les compagnies locales.
L’Algérie s’apprête à réaliser des plateformes logistiques connectées au rail et à la route, dans le but d’accroître la compétitivité de ses équipements portuaires. Ces interfaces suffiront-elles à fluidifier le trafic ?
Malgré les crises, politiques et économiques, l’intérêt pour les ouvertures maritimes du continent ne faiblit pas. Les grands groupes se livrent une bataille sans merci pour en prendre le contrôle.
Réaménagement, approfondissement, assainissement… Quatre opérateurs, belges et néerlandais, se partagent le marché de l’entretien des ports en Afrique. Revue de détail.
Patron d’Ival, distributeur de Fiat, Iveco et Mazda, le président de l’association des concessionnaires a vu venir très tôt l’essor du marché automobile en Algérie.
À la recherche de relais de croissance, le constructeur brésilien cible le marché africain. Pour ce spécialiste des appareils de petite et moyenne capacité, le lancement de nouvelles compagnies et l’essor du trafic de passagers sont autant d’opportunités.
Longtemps stockés dans des cartons, les projets de construction et de rénovation des réseaux de communication prennent enfin corps. Le Congo retrouvera-t-il pour autant sa vocation de transit ?
Jimmy Dando assure le développement au sud du Sahara du constructeur japonais Nissan. L’objectif de cet ingénieur sud-africain de 55 ans : dépasser les 100 000 véhicules neufs vendus chaque année en Afrique subsaharienne.
De Nouakchott à Tripoli, les cinq transporteurs aériens de la zone vont mal. Le « printemps arabe » et la crise du tourisme n’expliquent pas tout. Des raisons plus profondes, comme la mainmise des États, contribuent à leurs difficultés. Comment redécoller ?
Pour le « Monsieur Afrique » du constructeur européen, les compagnies locales, qui doivent renouveler leur flotte, sont appelées à acquérir de plus en plus d’appareils. Une aubaine pour le groupe, qui détient déjà 65 % du marché africain des avions de ligne neufs.
Concurrence croissante, tourisme en berne, flambée du prix du pétrole… Le pavillon national marocain est victime de la conjoncture actuelle. Il doit se réinventer une stratégie sous peine de voir son avenir s’assombrir.
Un nouveau PDG a été nommé le 19 juin à la tête du transporteur national. Spécialiste du secteur, Mohamed Salah Boultif a désormais pour missions de redresser la compagnie et de restaurer son image dégradée.