Onze partis politiques se sont rassemblés afin de créer le Réseau des partis démocratiques d’Afrique du Nord, lundi 16 avril, en Tunisie. Une initiative audacieuse alors qu’une autre tentative d’union entre pays maghrébins, l’Union du Maghreb arabe, a connu l’échec.
Pour couper court aux « rumeurs persistantes » autour de sa nomination imminente au poste de Premier ministre, Félix Tshisekedi, fraîchement désigné président de l’UDPS, a indiqué mardi qu’il n’était pas intéressé par « une quelconque offre politique de ce genre ».
Après des mois de tensions entre Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié, les chefs des partis de la majorité présidentielle se sont engagés à fusionner leurs formations politiques au sein d’une entité dénommée RHDP. De nombreux obstacles restent néanmoins à franchir d’ici à la présidentielle de 2020.
Les principales forces politiques de l’opposition et d’importantes personnalités se sont retrouvées samedi pour mettre en place une coalition destinée à « défendre la démocratie au Bénin ». Une machine de guerre contre le régime de Patrice Talon, laquelle n’effraie guère les partisans de ce dernier.
Alliés lorsqu’ils étaient aux côté de Mahamadou Issoufou à l’époque ou celui-ci rêvait de succéder à Mamadou Tandja, les deux hommes s’opposent désormais violemment. Mohammed Bazoum, ministre de l’Intérieur, accuse Ali Idrissa, syndicaliste, d’être « un opposant déguisé en militant de la société civile ». Ce dernier accuse le ministre de dérives autoritaires.
Jeune Afrique s’est procuré le document remis par le comité de haut niveau au président Alassane Ouattara et à Henri Konan Bédié, le président du PDCI. Le texte, qui doit encore être validé, dessine les contours du futur parti unifié du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP).
Le ministre nigérien des Affaires étrangères, Ibrahim Yacouba, a remis aujourd’hui sa démission au Premier ministre Brigi Rafini. L’ancien candidat à la présidentielle a annoncé que son parti se retirait également de la majorité présidentielle.
Le chef de l’État, Alasanne Ouattara, a reçu le président du PDCI, Henri Konan Bédié, mardi au palais présidentiel d’Abidjan. Récit de cette rencontre.
Le chef de l’État, Alassane Ouattara, rencontre ce mardi le président du PDCI, Henri Konan Bédié. Un tête-à-tête, annoncé par la présidence ivoirienne, qui intervient dans un contexte particulièrement tendu entre les deux alliés.
L’ex-chef du gouvernement d’IBK s’est déclaré dimanche candidat à l’élection présidentielle du 29 juillet. Moussa Mara, président du parti Yelema, entend faire mieux qu’en 2013, où il avait recueilli 1,5 % des voix au premier tour.
Le parti unifié de la mouvance présidentielle dont la création avait été annoncée par le président Alassane Ouattara, pour « avant la fin 2017 » n’a toujours pas vu le jour en Côte d’Ivoire. Cependant, les choses se précisent, en dépit de quelques réticences de fond et de forme.
En moins d’une semaine, le président de l’Assemblée nationale a évoqué la création du parti unifié à deux reprises. En exprimant à chaque fois des réticences.
Mi-décembre, au terme de trois jours de congrès, le parti présidentiel, affaibli par la crise postélectorale de 2016, a renouvelé et rajeuni ses cadres.
Réalisé lors d’une réunion du parti présidentiel, cet enregistrement révèle les réserves de Guillaume Soro sur le parti unifié, avivant encore les tensions au sein de la coalition au pouvoir.
Quelle est précisément la position du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI d’Henri Konan Bédié) sur la Commission électorale indépendante (CEI) dont la réforme est réclamée par l’opposition et une partie de la société civile ? En deux jours, Jean-Louis Billon, porte-parole adjoint du parti et proche de Bédié est revenu sur des déclarations qui lui ont été attribuées, ce qui laisse transparaître la gêne de son parti sur la question.
Il y a un an jour pour jour, le 27 mars 2017, la commission d’investigation sur le départ des jeunes Tunisiens vers l’Irak et la Syrie commençait son travail. Depuis, peu de choses. Des résultats auraient cependant pu éviter à la Tunisie de se retrouver sur la liste noire européenne des pays exposés au financement du terrorisme.
Les premières élections sénatoriales de la Côte d’Ivoire indépendante ont débouché, samedi, sur une victoire de la coalition au pouvoir du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), face à des candidats indépendants qui ont cependant créé la surprise dans certaines circonscriptions. Décryptage.
Le patriarche Antoine Gizenga, chef du Parti lumumbiste unifié (Palu), a été reçu lundi par le président congolais Joseph Kabila à Kinshasa. Si rien n’a filtré de l’entretien entre les deux hommes, une photo de la rencontre permet d’en comprendre les enjeux.
Un courant qui se veut « réformateur » se positionne contre la réélection, en mai prochain, de l’actuel secrétaire général, Nabil Benabdellah. Ce dernier dénonce des manœuvres personnelles de ses opposants.
C’est une mesure symbolique : le gouvernement nigérien a annoncé le 16 mars que « tout dossier d’évacuation sanitaire », y compris dans le cas de ministres et des députés, devrait désormais « être soumis à l’avis préalable de l’Hôpital général de référence » de Niamey. Objectif : réduire les coûts liés aux évacuations sanitaires à l’extérieur du pays.
Mohand Laenser, ténor politique et secrétaire général de Mouvement populaire (MP) depuis 1986, va passer le relais en septembre prochain. Au sein du parti, certains aiguisent d’ores et déjà leurs armes pour lui succéder.
Petit événement au Cameroun : Paul Biya a convoqué pour ce jeudi un conseil des ministres qu’il présidera en personne. Cela n’était plus arrivé depuis plus de deux ans.
A quelques semaines des élections municipales du 6 mai 2018, le Premier ministre tunisien est dans une position de plus en plus difficile : ses marges de manœuvre se réduisent à mesure qu’il perd des alliés. État des lieux.
On en sait plus sur les candidats aux élections sénatoriales du 24 mars prochain en Côte d’Ivoire. Le Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, mouvance présidentielle) part largement favori, dans un scrutin boycotté par l’opposition.
Le ton est monté d’un cran, ce week-end, entre alliés du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, mouvance présidentielle), à l’approche des premières élections sénatoriales de la Côte d’Ivoire post-indépendance.
Le vieux routard de la politique, figure de la gauche tunisienne, a récemment crée un nouveau parti : le Mouvement démocratique. Avec ce projet, il a rejoint l’Union civile mais compte conquérir le centre de l’échiquier politique tunisien.
Après une semaine de négociations serrées, la coalition au pouvoir ivoirien est parvenue à s’entendre sur des listes communes pour les prochaines élections sénatoriales, prévues le 24 mars prochain. Mais les tensions demeurent au sein du RHDP.
Le vieux parti conservateur marocain Istiqlal se réserve la possibilité de basculer dans l’opposition au gouvernement islamiste d’ici au mois d’avril prochain. Un sentiment assez bien ancré au sein des troupes.
Le limogeage du directeur de la sûreté publique par le Premier ministre est le dernier signe en date des tensions qui montent entre le Premier ministre et son ministre de l’Intérieur. Une crispation qui intervient alors que le gouvernement de Youssef Chahed traverse une zone de turbulences.