Sans surprise, l’ex-candidat à l’élection présidentielle a annoncé que son parti, Talaie El-Houriat, boycotterait un scrutin qu’il considère biaisé d’avance. Mais sa position l’isole des autres partis de l’opposition qui ont opté pour la participation.
Ce sont de loin les plus longues consultations gouvernementales sous Mohammed VI. Dernier rebondissement en date : le leader du PJD a mis un terme à ses pourparlers avec le RNI qui souhaitait inclure d’autres partis dans le prochain gouvernement.
Les élections communales et régionales qui se sont tenues en 2015 on pesé particulièrement lourd sur les finances des partis politiques. Un rapport de la Cour des comptes décortique les dépenses et revenus des 34 formations politiques autorisées au royaume et démontre leur dépendance vis-à-vis du financement public.
Abdelilah Benkirane s’est résigné à lâcher son allié nationaliste et à garder la même coalition sortante pour le futur gouvernement, avec comme parti star, le RNI de Aziz Akhannouch. Chabat échec et mat !
L’Assemblée nationale sénégalaise a adopté une loi actant l’élection de quinze parlementaires pour la diaspora. Une nouveauté au Sénégal, adoptée suite au référendum sur la Constitution en mars 2016. Cette mesure porte à 165 le nombre total de députés élus.
La direction historique du parti nationaliste resserre ses rangs pour pousser le controversé secrétaire général à la démission. Mais l’intéressé ne compte pas se laisser faire aussi facilement.
Cinq membres de la jeunesses du Parti justice et développement (islamiste, au pouvoir) comparaissent ce mardi devant le juge d’instruction du tribunal de Salé pour avoir applaudi l’assassinat de l’ambassadeur russe en Turquie sur les réseaux sociaux.
L’accord politique trouvé samedi soir à Kinshasa ne règle pas le sort de l’opposant Moïse Katumbi, condamné à trois ans de prison et inculpé d’atteinte à la sûreté de l’État. Mais l’ex-gouverneur et candidat déclaré à la présidentielle reste « confiant ». Il nous a confié ses impressions au moment où l’accord était signé.
Le chef du parti nationaliste a réussi à faire échouer les appels à sa démission lancés par la direction historique. Mais la participation de son parti au futur gouvernement n’est pas acquise.
Les dissensions sur le traitement des djihadistes de retour en Tunisie illustrent bien les turbulences et les divisions qui agitent le pays. Rym Mourali, co-fondatrice du Parti de l’indépendance tunisienne (PIT), en fait une lecture sans concessions.
Le secrétaire général de l’Istiqlal a commis un impair samedi en déclarant que la Mauritanie était un territoire marocain. Recadré ce lundi par le Palais, présentera-t-il ses excuses comme le souhaite le parti du président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz ?
Si les pourparlers entre les signataires de l’accord du 18 octobre et le Rassemblement de l’opposition avancent, quelques points divisent encore les protagonistes, notamment le sort de l’opposant Moïse Katumbi. Décryptage à cinq jours de la signature annoncée de l’accord.
Le chef du gouvernement doit s’entretenir ce lundi avec Aziz Akhannouch pour le convaincre de participer à son gouvernement. Va-t-il pour autant lâcher l’Istiqlal ?
Pascal Affi N’Guessan, chef du parti créé par Laurent Gbagbo, a déclaré lundi qu’il n’avait jamais dit que l’image de l’ex-président ivoirien constituait un « handicap » pour le Front populaire ivoirien (FPI), dénonçant la déformation de ses propos.
Ce sont deux proches d’Henri Konan Bédié (HKB) qui s’opposeront à Daoukro et à N’Gattakro : Niamien N’Goran (RHDP) et Olivier Akoto (indépendant, photo en bas).
Marginalisé sur la scène politique depuis la chute de Laurent Gbagbo, le Front populaire ivoirien se divise sur la question de la participation aux élections législatives du 18 décembre.
Les pourparlers entre l’opposition et la majorité présidentielle organisés sous l’égide de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) s’achèveront le 15 décembre, a affirmé dimanche le « Rassemblement » de l’opposition congolaise, regroupement politique rangé derrière l’opposant historique Étienne Tshisekedi.
Majorité et opposition congolaise devaient entamer ce jeudi des discussions organisées sous l’égide de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco). Quant à l’opposant en exil Moïse Katumbi, il a déclaré qu’il envisageait de rentrer au pays « pour être aux côtés du peuple ».
Quatre jours après le renoncement de François Hollande a briguer un second mandat, Manuel Valls a annoncé, dans son fief d’Evry, sa candidature à la présidence. Bernard Cazeneuve le remplace.
Yawovi Agboyibo, l’ancien Premier ministre, s’apprête à reprendre les rênes de son parti, le Comité d’action pour le renouveau (CAR), lors d’un congrès qui doit se réunir le 12 décembre.
À 81 ans, le président de l’Autorité palestinienne et de l’Organisation de libération de la Palestine a été reconduit mardi à la tête du Fatah, le parti de Yasser Arafat et principale formation politique palestinienne. Deux tiers des Palestiniens souhaitent pourtant son départ.
Réunis à huis clos depuis samedi, les cadres du parti au pouvoir statuaient sur le sort de son plus illustre représentant : l’actuel président sud-africain Jacob Zuma. Malgré les nombreux scandales qui touchent le chef de l’État, l’ANC a décidé de ne pas appeler à sa démission.
Lundi soir, quelques heures avant la fin de la campagne électorale pour la présidentielle du 1er décembre, Yahya Jammeh et Adama Barrow, le président sortant et le candidat de l’opposition, tenaient chacun des meetings nocturnes près de Banjul.
François Hollande a appelé dimanche depuis Madagascar les Français à se « rassembler quelles que soient les soient les circonstances », « les échéances » ou encore « les choix à faire », alors que la droite va élire son champion pour 2017 face à une gauche fracturée.
Depuis son renouvellement au poste de Premier ministre, Abdelilah Benkirane n’est toujours pas parvenu à former un gouvernement. Plusieurs options sont évoquées pour faire aboutir cette difficile gestation.