Malgré les restrictions introduites dans la Constitution concernant le changement d’appartenance politique, la transhumance reste une pratique courante, surtout deux semaines avant les élections du 7 octobre.
La mouvance islamiste du cheikh Yassine, Al Adl Wal Ihssane, a appelé encore une fois au boycott des législatives du 7 octobre, contestant un pouvoir selon elle antidémocratique. Son porte-parole s’explique.
Des intellectuels et des militants de différents bords ont adressé mardi un manifeste à la dirigeante du Parti socialiste unifié (PSU) l’appelant à offrir aux Marocains une troisième voie, outre le PAM et le PJD.
Dialogue politique, respect de la Constitution, glissement du calendrier électoral, l’après-Kabila… À la veille de la manifestation de l’opposition de lundi à Kinshasa au cours de laquelle il a été blessé et interpellé par la police, l’opposant Martin Fayulu s’est confié à Jeune Afrique. Entretien.
Les échauffourées entre policiers et manifestants qui ont eu lieu lundi à Kinshasa ont fait au moins 17 morts, dont trois policiers, selon un bilan officiel encore provisoire. Les Kinois étaient sortis en nombre à l’appel de plusieurs partis d’opposition, demandant la convocation de l’élection présidentielle dans les délais constitutionnels.
À trois semaines des législatives du 7 octobre, le ministre de la Justice, Mustapha Ramid, a estimé être mis à l’écart de l’organisation des législatives. Le ministère de l’Intérieur a fermement démenti.
Malgré l’institution d’un quota pour les femmes lors des législatives de 2002, les Marocaines demeurent sous-représentées au Parlement. Les lois ont changé mais les partis politiques ont du mal à se défaire de leur héritage patriarcal.
L’opposition a lancé un appel à manifester ce lundi devant les bureaux de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) pour formuler son « préavis » au président Joseph Kabila, et lui demander de quitter le pouvoir le 19 décembre, veille de la fin de son mandat.
Au moins seize personnes opposées à l’idée d’un maintien au pouvoir du président congolais Joseph Kabila au-delà du terme de son mandat ont été arrêtées jeudi et vendredi à Kinshasa, selon l’ONU.
Les camarades n’ont pas lâché leur chef. En réponse à un communiqué du Palais, le Parti progrès et socialisme (PPS) affirme que l’intention de son secrétaire général n’était pas de mêler l’institution royale aux querelles partisanes.
Les hostilités ont déjà démarré entre les deux partis favoris des législatives du 7 octobre, sur fond d’accusations. Un tour de chauffe avant des duels au sommet dans les « circonscriptions de la mort ».
L’opposition participant au dialogue politique en cours en RD Congo a pu obtenir mercredi que la séquence électorale à venir débute par la présidentielle. Vital Kamerhe, le chef de la délégation, se sent ainsi conforté dans son choix de participer à ces pourparlers et espère obtenir un départ pacifique du président Joseph Kabila du pouvoir. Interview.
En s’en prenant au conseiller royal Fouad Ali El Himma, le chef du Parti progrès et socialisme (PPS) s’est attiré les foudres du Palais qui l’a sévèrement recadré par voie de communiqué mardi.
Les tractations se sont poursuivies mardi à Kinshasa après la suspension la veille de la participation de la composante opposition au dialogue politique. Au cœur du blocage : l’ordre des élections à venir en RDC.
Ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale passé à l’opposition, Charles Mwando Nsimba, aujourd’hui président du G7, a accusé dimanche les autorités congolaises de l’avoir empêché d’atterrir à Kalemie où il se rendait « dans le cadre de vacances parlementaires ».
Le ministère de l’Intérieur est sur tous les fronts pour organiser les législatives du 7 octobre et dont les deux principaux enjeux sont le taux de participation et la transparence.
L’ancien Premier ministre Charles Konan Banny (alias CKB), et Henri Konan Bédié, le président du PDCI, ont fumé le calumet de la paix chez ce dernier, à Daoukro, le 22 août.
Depuis le ralliement du MNSD à la majorité présidentielle, le paysage politique nigérien est en pleine recomposition. En vue : un remaniement ministériel pour lequel les négociations ont commencé. En voici les tenants et les aboutissants.
Le Parlement égyptien a approuvé mardi la nomination d’un militaire comme ministre de l’Approvisionnement au moment où un scandale de corruption concernant des achats de blé secoue le ministère.
Les amis d’Ilyass El Omari ont présenté leur programme électoral ce lundi. Ils veulent augmenter le budget de la Culture et réformer la Moudawana. Un clin d’œil à leurs adversaires du PJD…
Ce lundi 5 septembre, partisans et adversaires de Jacob Zuma se sont retrouvés devant le siège du Congrès national africain (ANC) à Johannesburg. Une situation symptomatique de la crise que traverse actuellement le parti au pouvoir.
Plusieurs cadres du groupe touareg irrédentiste MNLA ont décidé de faire sécession pour fonder un nouveau groupe armé, le Mouvement pour le salut de l’Azawad (MSA).
Dans un communiqué, le Conseil représentatif des associations noires (Cran) a fait savoir qu’il réclamait l’exclusion de François Fillon des Républicains après ses propos sur la colonisation.
Le jeudi 1er septembre s’ouvre à Kinshasa le « dialogue national politique inclusif », sous la facilitation du Togolais Edem Kodjo. Qui a finalement décidé de prendre part à ces nouveaux pourparlers et quels sont les résultats escomptés ? Jeune Afrique fait le point.
Fragilisé par le ralliement du Mouvement national pour la société du développement (MNSD) à la majorité présidentielle, l’opposition nigérienne a lancé mercredi 31 août une nouvelle plateforme politique : le Front pour la restauration de la démocratie et la défense de la République (FRDDR).
Le « dialogue politique national » voulu par le président Joseph Kabila débute jeudi en RD Congo. La majeure partie de l’opposition, notamment Étienne Tshisekedi et Moïse Katumbi, a choisi de le boycotter.
Hizb Ettahrir prend l’avantage dans la bataille judiciaire qui l’oppose à l’État tunisien, 15 jours après la suspension annoncée de ses activités pour une durée d’un mois.
Scindé en deux franges, le Front populaire ivoirien (FPI) est à la croisée des chemins. Mais le parti de Pascal Affi N’Guessan parviendra-t-il a surmonter ses divisions avant les élections législatives de novembre ?
À vouloir être en première ligne pour négocier des portefeuilles pour Nidaa Tounes au sein du gouvernement d’union nationale, Hafedh Caïd Essebsi, directeur exécutif du parti, a encore une fois divisé la formation fondée par son père, Béji Caïd Essebsi, actuel président de la République.
Samedi, la presse guinéenne s’est faite l’écho d’une information annonçant l’ouverture dans la banlieue de Conakry par Bah Oury d’un nouveau siège au compte du principal parti d’opposition guinéenne. Si l’ancien vice-président de l’Union des forces démocratiques de Guinée, UFDG, conteste toujours son exclusion, il maintient que le siège du parti demeure inchangé.