Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Pierre Nkurunziza, président du Burundi.
Les services de police marocains ont observé à la loupe la liste des invités à la cérémonie du troisième anniversaire de la mort d’Abdessalam Yassine, le fondateur du mouvement islamiste (non reconnu officiellement) Al Adl Wal Ihsane, le 13 décembre, à Salé.
Au lendemain du décès de l’opposant historique Hocine Aït Ahmed, l’Algérie a décrété ce jeudi un deuil national de 8 jours en mémoire de celui qui a été l’un des principaux leaders de la guerre de libération.
Cinq parlementaires viennent d’être déchus de leur sièges au sein de la première chambre du Parlement en application de l’article 61 de la Constitution qui interdit la transhumance. Le président de la chambre, Rachid Talbi Alami, explique pourquoi.
Le vice-ministre congolais à la Coopération internationale et à l’Intégration régionale, Franck Mwe Di Malila, réitère l’importance d’un dialogue entre le pouvoir et l’opposition, désormais réunie en un « Front citoyen 2016 ». Interview.
À peine la patronne du Front national s’est-elle débarrassée de son encombrant père que la voici confrontée à la fulgurante ascension de sa nièce. Or les divergences entre les héritières du clan Le Pen ne sont pas toutes des… détails.
Accusant le chef de l’État de tous leurs maux, ses détracteurs semblent oublier les petits et gros problèmes qui, dans leurs rangs mêmes, les affaiblissent.
Un an après sa défaite électorale, l’ex-président tunisien Moncef Marzouki lance dimanche un nouveau parti politique car le gouvernement est « totalement impuissant » face à la situation « catastrophique » du pays, déplore-t-il dans un entretien à l’AFP.
Le député et secrétaire général d’AJ/PADS coordonne les deux principales plateformes antigouvernementales. Et tente de leur donner une meilleure visibilité.
Dans la perspective de la prochaine présidentielle, en août 2016, Ali Bongo Ondimba (ABO), le chef de l’État, s’efforce de reprendre en main le Parti démocratique gabonais (PDG).
Un mois après la démission de Paul-Marie Mpouélé, coordonnateur du Front républicain pour le respect de l’ordre constitutionnel et l’alternance démocratique (Frocad), l’une des principales coalitions anti-Sassou, l’opposition congolaise peine à se faire entendre.
Après cinq ans d’exil, l’ancien ministre secrétaire général à la présidence Tibou Kamara est rentré de son exil pour assister à l’investiture d’Alpha Condé, lundi.
L’organisation « Justice et spiritualité » (Al Adl Wal Ihssane) commémore la troisième année du décès de son guide spirituel cheikh Yassine ce dimanche 13 décembre. Inflexible sur ses positions envers la monarchie et la participation politique, elle revendique toujours son rôle de principale force de mobilisation.
Le gouvernement congolais a fait connaître son mécontentement à l’égard du Sénégal, le 11 décembre. Une quarantaine de Congolais, membres de « mouvements citoyens », de l’opposition et de la société civile, ont en effet choisi Dakar pour se réunir, du 12 au 15 décembre, et discuter des moyens d’obtenir le respect de la Constitution et l’alternance en 2016.
L’ancien gouverneur de l’ex-Katanga et le fils de l’opposant historique se sont rencontrés, ce jeudi 10 décembre à Paris. Ils veulent faire cause commune pour obtenir une élection présidentielle sans participation du président sortant, Joseph Kabila, et dans les délais constitutionnels. Ils ont également évoqué une candidature commune.
Le numéro 2 du Parti authenticité et modernité (PAM), proche du conseiller du roi Fouad Ali El Himma, a lancé ce 10 décembre six titres de presse à la fois. Un lancement qui intervient à la veille d’une année électorale décisive pour son parti et pour le Maroc.
Le limogeage des principaux directeurs du ministère tunisien de l’Intérieur est-il la conséquence de la réception de Sahbi Jouini – le secrétaire général de l’Union nationale des syndicats des forces de la sûreté tunisienne – par Béji Caïd Essebsi, le 30 novembre ?
Joseph Kabila n’en finit plus d’envoyer des émissaires à Étienne Tshisekedi, tant à Kinshasa qu’à Bruxelles, où l’opposant historique est actuellement en convalescence.
Sidya Touré quitte l’opposition guinéenne pour adopter une position constructive à l’égard du président Alpha Condé durant les cinq prochaines années, a-t-il fait savoir à ses troupes samedi dernier.
La filiale estudiantine du parti Ennahdha est arrivé première dans les élections des conseils scientifiques des universités tunisiennes, devançant de loin la centrale syndicale UGTT. Une nouvelle donne qui pourrait bientôt se traduire dans le champ politique.
Ban Ki-moon a dépêché mercredi à Kinshasa Saïd Djinnit, son envoyé spécial pour les Grands Lacs. Si le diplomate algérien n’est pas officiellement nommé facilitateur du nouveau dialogue politique convoqué par Joseph Kabila, Kinshasa espère tout de même qu’il ramènera l’opposition à la table des discussions.
L’opposition sénégalaise a défini sa stratégie en vue des prochaines échéances électorales : présenter une liste unique aux législatives de 2017 afin d’obtenir une majorité à l’Assemblée et d’« imposer une cohabitation à Macky Sall » dans l’hypothèse où son mandat serait prolongé jusqu’en 2019.
Dans un réquisitoire extrêmement dur, le chef du gouvernement marocain a rappelé à l’ordre, mardi, son ministre de l’Éducation nationale, Rachid Belmokhtar, rejetant en bloc son projet de « franciser » l’enseignement des matières scientifiques dans les lycées.
Nouveau « dialogue » politique en RDC, processus électoral en panne, éventuel rapprochement entre le président Joseph Kabila et Étienne Tshisekedi, leader de l’UDPS… Albert Moleka, l’ancien bras droit de l’opposant historique congolais, s’est confié à Jeune Afrique sur les sujets chauds de l’actualité congolaise.
L’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) s’est dit mardi à Kinshasa frileuse au sujet du dialogue national convoqué par le président Joseph Kabila en vue d’élections apaisées en RDC.
Les deux principales coalitions de l’opposition congolaise, Le G7 et la Dynamique, ont annoncé lundi qu’elles ne prendront pas part au « dialogue national inclusif » convoqué par le président Kabila. Elles appellent également le peuple à se « lever et à marcher ».
De passage à Paris, entre autres, pour préparer la campagne présidentielle de Mahamadou Issoufou, Mohamed Bazoum, ministre d’État à la présidence du Niger et président du PNDS (au pouvoir), a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Président du parti islamiste Ennahdha, Rached Ghannouchi va-t-il troquer le discours identitaire très « clivant » qui est le sien depuis 2011 pour une approche plus fédératrice ?
Déconnectée du peuple, devenue un parti de notables, l’Union socialiste des forces populaires a vu son influence réduire comme peau de chagrin. Et n’est plus que l’ombre d’elle-même.
Alors que l’Angola a fêté le 11 novembre le quarantième anniversaire de son indépendance, l’un de ses deux partis historiques, l’Unita, de feu Jonas Savimbi, se met en ordre de bataille dans la perspective des législatives de 2017, à l’issue desquelles le chef de l’État sera élu pour cinq ans par le nouveau Parlement.