Les députés burkinabè doivent se prononcer ce jeudi sur le projet de révision constitutionnelle qui permettrait au président Blaise Compaoré de se représenter en 2015. À Ouagadougou, où tous les accès à l’Assemblée nationale ont été bouclés, la tension est maximale.
Avec l’avènement des élections libres et pluralistes, plus aucun homme politique tunisien ne conçoit de faire campagne sans le concours d’une armée de communicants.
Lors d’une réunion du comité directeur du Parti démocratique sénégalais (PDS), mardi à Dakar, l’ancien président Abdoulaye Wade a accusé le chef de l’État, Macky Sall, de corruption et annoncé l’intention de son parti de porter plainte contre lui.
Christophe Douka est le président du syndicat des producteurs individuels de café et de cacao de Côte d’Ivoire et militant du PDCI-RDA. Il explique pourquoi, au sein de son parti, il fait partie de ceux qui sont favorables à une candidature de Essy Amara. Interview.
Le chef de l’opposition togolaise, Jean Pierre Fabre, a été investi samedi soir par les militants de son parti pour la présidentielle de 2015, à l’issue d’un congrès à Lomé, a constaté un journaliste de l’AFP.
Pas moins de 27 candidatures, des plus sérieuses aux plus anecdotiques, ont été retenues pour la présidentielle tunisienne prévue le 23 novembre. Qui sont ces prétendants à la magistrature suprême ? Quelles sont leurs chances d’arriver au second tour ? Galerie de portraits interactifs.
À moins d’un an des élections générales, la situation politique inquiète la communauté internationale. L’opposition accuse, elle, le président Pierre Nkurunziza d’œuvrer à sa destruction.
La Tunisie est entrée samedi en campagne pour les législatives du 26 octobre, un scrutin qui, près de quatre ans après la révolution, ambitionne de doter le berceau du Printemps arabe d’institutions démocratiques pérennes.
Présenté comme la négociation de la derrière chance, le dialogue politique entre la majorité et l’opposition au Burkina Faso enregistre son premier revers. En question, des désaccords de fond sur le format même des discussions.
Le candidat du Mouvement démocratique du Mozambique (MDM), Daviz Simango, joue depuis 2008 les troubles fêtes au sein du couple historique Frelimo-Renamo. Deviendra-t-il la principale figure de l’opposition lors des élections générales du 15 octobre prochain au Mozambique ? Interview.
Le chef de l’État tunisien Moncef Marzouki a déposé samedi sa candidature à l’élection présidentielle du 23 novembre, un scrutin crucial pour la Tunisie près de quatre ans après la révolution.
Vendredi, l’ancien président français a annoncé son retour dans la vie politique, via un texte publié sur Facebook et Twitter. Dans la posture du sauveur, Nicolas Sarkozy indique son intention de prendre la présidence de sa « famille politique ». Une première étape vers la reconquête de l’Élysée.
Plusieurs dirigeants du PDCI cherchent un candidat de consensus dans leurs rangs pour éviter une candidature unique avec le RDR à la présidentielle de 2015. Leur choix s’est porté sur Amara Essy.
Il a préféré quitter le Niger plutôt que de risquer la prison. Accusé de complicité dans une affaire de trafic d’enfants, le président de l’Assemblée nationale Hama Amadou a accordé à J.A. son premier entretien depuis sa fuite.
Des députés du parti au pouvoir au Burkina Faso et de la majorité présidentielle ont appelé samedi le président Blaise Compaoré à convoquer un référendum pour réviser la Constitution et permettre à ce dernier de se présenter à la présidentielle de 2015.
La police congolaise a dispersé samedi matin une manifestation d’opposition dans le centre de Kinshasa, interpellant plusieurs personnes dont un journaliste vidéaste de l’AFP.
Des dirigeants des Frères musulmans égyptiens exilés au Qatar vont quitter ce riche émirat du Golfe, a indiqué un responsable de la confrérie, alors que Doha subit de fortes pressions pour cesser de soutenir cette organisation déclarée « terroriste » par Le Caire.
Le président Alassane Ouattara entame dimanche une tournée dans le centre de la Côte d’Ivoire, une visite stratégique sur les terres de son principal allié à 13 mois de la présidentielle de 2015.
Marine Le Pen et l’extrême droite sont aux portes du pouvoir en France, a averti dimanche le Premier ministre, Manuel Valls, en s’inquiétant publiquement d’un sondage plaçant la dirigeante du Front national en tête à l’élection présidentielle de 2017.
Si Joseph Kabila ne s’est toujours pas prononcé sur sa candidature en 2016, ce n’est pas le cas des partis de sa famille politique, désormais divisés entre ceux qui souhaitent le voir rempiler et ceux qui lui conseillent de ne pas y aller, à l’instar de Jean-Claude Muyambo. Ce dernier s’explique à « Jeune Afrique ». Interview
L’ancien patron du FLN a été chassé du parti et destitué par le président Bouteflika de son poste de conseiller spécial. Motif de cette brutale éviction : sa participation à un raout de l’opposition.
Un groupe d’une vingtaine de jeunes a saccagé lundi à Abidjan le siège du Front populaire ivoirien (FPI), de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo. Plusieurs membres du parti ont été molestés.
Alors que la présidentielle de 2015 se dessine, les grands leaders politiques s’apprêtent à se lancer dans la course. Alassane Ouattara, déjà candidat, préfère, lui, rester en retrait.
Le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema a appelé toutes les composantes politiques du pays, y compris l’opposition en exil, à participer à un « dialogue national » en novembre prochain. Il prône l’unité du pays pour le « sauver du plan diabolique archi-connu des prédateurs internationaux ».
Le parti de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo se déchire sur sa participation à la nouvelle commission électorale, chargée d’organiser la cruciale présidentielle de 2015. Pour les uns, la libération de Gbagbo est une priorité. Pour les autres, le FPI doit s’investir davantage dans le jeu politique.
Les Centrafricains attendent toujours la formation d’un nouveau gouvernement « élargi » à la suite de la nomination du Premier ministre Mahamat Kamoun, il y a plus d’une semaine. Ce retard fragilise une transition déjà difficile et alimente les risques d’instabilité.
La crise qui secoue le Front populaire ivoirien (FPI) a officiellement pris fin mardi. Mais les divergences de fond sur la ligne adoptée par la formation de l’ancien président ivoirien, Laurent Gbagbo, n’ont pas vraiment été mises à plat. Et la résolution du problème a juste été reportée.