À quelques heures de la clôture du dépôt des dossiers pour la présidentielle, prévue le 23 décembre en RDC, le président Joseph Kabila a dévoilé ce mercredi le nom du candidat de sa plateforme électorale : Emmanuel Ramazani Shadary.
Ils ont osé défier Henri Konan Bédié et soutenir le parti unifié RHDP. Exclus de fait du PDCI par le Sphinx de Daoukro, certains veulent l’affronter dans ses fiefs électoraux.
Figure du PDCI hostile au parti unifié, Noël Akossi-Bendjo est soupçonné de « grave déviation dans sa gestion et faux en écriture publique », a annoncé le porte-parole du gouvernement à l’issue du Conseil des ministres.
Le Mouvement de libération du Congo (MLC) accueille mercredi son leader Jean-Pierre Bemba, arrivé à l’aéroport de N’Djili, à Kinshasa, dans la matinée.
Le président du Sénat nigérian, Bukola Saraki, a annoncé le mardi qu’il quittait le parti au pouvoir, confronté à de graves dissensions internes à un peu plus de six mois de la présidentielle.
Les tractations ont démarré au sein de l’opposition camerounaise en vue d’une hypothétique candidature unique face à Paul Biya pour la présidentielle. Aux Comores, le référendum de ce lundi est contesté par l’opposition… Chaque semaine, Jeune Afrique vous rend compte de l’activité des contre-pouvoirs africains.
Pour prendre sa revanche sur le président Kaboré en 2020, l’opposant Zéphirin Diabré est prêt à se rapprocher de ses ex-adversaires : les partisans de Blaise Compaoré.
Le nouveau ministre tunisien de l’Intérieur, Hichem Fourati, s’est présenté à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) pour en obtenir la confiance, samedi. Mais c’est une autre partie qui s’est jouée dans l’hémicycle.
Tous les deux affirment être la voix légitime de Nidaa Tounes. La cacophonie entre Mongi Harbaoui, député de la formation, et Ons Hattab, porte-parole du mouvement, est un signe de plus de la crise qui déchire ce parti.
Lors d’une conférence de presse mardi à Bruxelles, Jean-Pierre Bemba a confirmé qu’il souhaitait rentrer dès le 1er août à Kinshasa. Et se présenter à la présidentielle prévue le 23 décembre de cette année.
Réunis en coalition, le mouvement abolitionniste IRA et le parti panarabe Sawap présentent comme candidates aux législatives de septembre une esclave libérée et la veuve d’un militaire négro-africain assassiné.
Sans surprise, le président de l’Union pour le progrès et le changement (UPC), principal parti d’opposition burkinabè, a été facilement reconduit dimanche à la tête d’une formation qui tente de faire peau neuve dans la perspective de la présidentielle de 2020.
L’Union pour le progrès et le changement (UPC), principal parti d’opposition, tient son deuxième congrès ordinaire du 20 au 22 juillet à Ouagadougou. Objectif : renouveler ses instances et jauger ses forces avec la présidentielle de 2020.
Fragilisé après la constitution du RHDP, Henri Konan Bédié est vite passé à l’offensive en remaniant jeudi le secrétariat exécutif de son parti, le PDCI.
Avenir politique du président Joseph Kabila, moratoire sur le vote des Congolais de l’étranger, rapports tendus entre la RDC et la Belgique… De passage à Paris, Emmanuel Ilunga, ministre en charge des Congolais de l’étranger, s’est confié à Jeune Afrique.
À l’occasion de l’assemblée générale constitutive du parti unifié RHDP, lundi, le président ivoirien, Alassane Ouattara, a évoqué la présidentielle de 2020… suggérant qu’il ne serait pas candidat à sa propre succession.
La fuite d’une intervention de Abdelali Hamieddine, un dirigeant du PJD (parti islamiste), très critique envers la monarchie marocaine, a soulevé une tempête politique qui affaiblit davantage le chef du gouvernement, Saâdeddine El Othmani.
Pour la première fois depuis des mois, Henri Konan Bédié dévoile son jeu. Quitte à fâcher ses alliés du RDR et à sacrifier l’unité de son propre parti, le PDCI.
Alors que le parti unifié RHDP est porté sur les fonts baptismaux par Alassane Ouattara sans la participation de Henri Konan Bédié, le politologue ivoirien Sylvain N’guessan décrypte les relations entre les deux hommes.
L’assemblée constitutive du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP), parti unifié tant voulu par le président Alassane Ouattara, a lieu ce lundi à Abidjan.
Le Mouvement de libération du Congo (MLC) de Jean-Pierre Bemba, acquitté de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité par la CPI, a ouvert jeudi les travaux de son congrès à Kinshasa. À cinq mois de la présidentielle du 23 décembre, l’opposant est perçu comme le « candidat naturel » par ses partisans.
Désigné mi-avril en tant que candidat du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) – parti de tendance sociale-libérale qu’il a fondé en 2012 –, Maurice Kamto se présente pour la première fois à la présidentielle.
L’irruption de nouveaux visages dans la course au palais d’Etoudi pourrait donner un coup de fouet au débat démocratique. Et remettre l’alternance au goût du jour.
Jacques Fame Ndongo, ministre de l’Enseignement supérieur et secrétaire du RDPC, entend ne laisser « aucun mètre carré » à l’opposition pour assurer la réélection de Paul Biya.
La crise entre le président Alassane Ouattara et son principal allié Henri Konan Bédié au sein du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP) s’est déportée à l’intérieur du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI).
Le président de la coalition d’opposition Casa-Ce, député pendant onze années sous la bannière de l’Unita, revient sur la première année de présidence de João Lourenço. Il détaille également sa stratégie pour les premières élections locales du pays, qui devraient avoir lieu en 2020.
Près de quatre mois après la présentation de son programme, l’opposant Moïse Katumbi, candidat déclaré à la présidentielle en RDC, nomme 46 personnes au sein de son cabinet. Et se dit prêt pour les élections.
Tharcisse Loseke, le président de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS)-Tshibala démissionne de ses fonctions, selon un courrier consulté par Jeune Afrique et adressé au Premier ministre, autorité morale de cette formation.
Le président de l’Assemblée nationale du Bénin a annoncé avoir reçu jeudi une proposition de huit députés de la majorité parlementaire tendant à amender la Constitution du 11 décembre 1990.
Pour le président de l’UDPCI Albert Toikeusse Mabri, candidat à sa propre succession dans le Tonkpi, avancer avec le parti unifié RHDP ne fera pas de l’ombre à son parti.