Ouvertes ou jouées d’avance, de nombreuses consultations électorales, dont neuf présidentielles, sont attendues cette année sur le continent. Tour d’horizon.
Sommaire
2024, un grand test démocratique pour l’Afrique
EP. 1
Ouvertes ou jouées d’avance, de nombreuses consultations électorales, dont neuf présidentielles, sont attendues cette année sur le continent. Tour d’horizon.
2024, un grand test démocratique pour l’Afrique
EP. 2
La présidentielle du 25 février prochain focalise l’attention, mais il est aussi plus que probable que le successeur de Macky Sall voudra organiser des législatives dans la foulée.
2024, un grand test démocratique pour l’Afrique
EP. 3
Le président tunisien remet son mandat en jeu lors de l’élection prévue en octobre 2024. Un scrutin qui devrait conforter l’hyper-présidentialisation du système depuis l’arrivée de Kaïs Saïed au pouvoir.
2024, un grand test démocratique pour l’Afrique
EP. 4
Le président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani brigue un second mandat lors de la présidentielle prévue en juin 2024. Faute de réels contre-pouvoirs, les dés semblent d’ores et déjà jetés.
2024, un grand test démocratique pour l’Afrique
EP. 5
Les élections générales qui vont se tenir entre mai et août 2024 pourraient être particulièrement difficiles pour le Congrès national africain, le parti de Nelson Mandela qui est plus bas dans les sondages.
2024, un grand test démocratique pour l’Afrique
EP. 6
La présidentielle qui doit se tenir au Ghana en décembre 2024 verra s’affronter Mahamudu Bawumia, candidat du parti au pouvoir, et John Dramani Mahama, ex-président qui se présente cette année pour la quatrième fois.
2024, un grand test démocratique pour l’Afrique
EP. 7
La présidentielle et les législatives doivent se tenir avant la fin de l’année 2024. Supposés marquer la fin de la transition ouverte au lendemain de la mort d’Idriss Déby Itno, ces scrutins sont aussi l’occasion pour son fils de donner corps à ses ambitions.
2024, un grand test démocratique pour l’Afrique
EP. 8
Mamadi Doumbouya, Assimi Goïta et Ibrahim Traoré, les chefs des juntes militaires qui tiennent désormais le pouvoir dans leur pays respectifs, ne semble pas prêts d’organiser des élections démocratiques dans les délais initialement prévus.