De la Guinée au Niger, en passant par le Burkina Faso et le Mali, les putschistes ont pu s’appuyer sur un terreau fertile, celui d’un mécontentement social grandissant, pour s’emparer du pouvoir face aux autorités souvent mal élues, une situation sécuritaire instable et un développement économique qui stagne. Après les scènes de liesse initiales, Jeune Afrique dresse un premier bilan socioéconomique.