L’accord conclu sous l’égide du Qatar pour une trêve humanitaire à Gaza et la libération d’otages enlevés par le Hamas a été salué à travers le monde comme une avancée importante.
Le gouvernement israélien a donné son feu vert pour obtenir la libération de 50 otages en échange de prisonniers palestiniens et d’une trêve dans la bande de Gaza. L’accord a été confirmé par le Hamas.
Dans l’ouest du pays, en proie à des affrontements réguliers entre forces de sécurité et séparatistes, un village a été pris pour cible par des indépendantistes armés.
Fort du ralliement notamment de l’ancien Premier ministre Matata Ponyo Mapon, l’opposant a promis de redonner espoir aux Congolais et d’arrêter la guerre avec le M23.
À l’heure où Israël poursuit ses bombardements sur Gaza dévasté, les négociations avec le Hamas pour obtenir la libération des otages capturés lors de l’attaque du 7 octobre se poursuivent. Les détails doivent être annoncés prochainement.
Rentré d’exil le 3 novembre, le président du parti tchadien Les Transformateurs a appelé ses partisans à l’« apaisement » alors que le reste de l’opposition fustige son ralliement au pouvoir dans la perspective d’élections promises pour 2024.
La communauté internationale doit « agir d’urgence » pour mettre fin à la « catastrophe humanitaire » à Gaza, a déclaré lundi 20 novembre le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, à des diplomates de pays arabes et à majorité musulmane.
L’ancien Premier ministre, candidat de l’opposition à la présidentielle du 20 décembre, a annoncé le 19 novembre qu’il se désistait en faveur de l’ex-gouverneur du Katanga.
Alors que Tsahal « étend » ses opérations contre le Hamas dans de nouveaux quartiers du territoire palestinien, il ne resterait que des « obstacles mineurs » avant un accord concernant le sort des otages, selon le Qatar, en charge de la médiation.
La conclusion d’un accord sur la libération des otages enlevés par le Hamas lors de son attaque le 7 octobre contre Israël repose désormais sur des questions pratiques « mineures », a affirmé le 19 novembre le Premier ministre qatari, sans toutefois fournir de calendrier.
Des dizaines de milliers de candidats, dont 26 s’affrontent pour la présidence, se lancent officiellement dimanche dans une campagne électorale d’un mois en RDC, dans un climat politique tendu et sur fond de conflit armé dans l’Est.
Les stars de l’afrobeats Naira Marley et Sam Larry, soupçonnés d’être impliqués dans la mort du chanteur nigérian MohBad, ont été libérés sous caution après avoir passé plusieurs semaines en détention.
L’Afrique du Sud organise sa première campagne d’inscription sur les listes électorales. Objectif : lutter contre l’abstention qui ne cesse de gagner du terrain de scrutin en scrutin, à l’approche des élections générales de 2024.
Le Maroc, demi-finaliste de la Coupe du monde fin 2022, compte quatre joueurs dans la liste annoncée vendredi par la Confédération africaine de football (CAF) pour le titre de « joueur africain de l’année », qui sera décerné le 11 décembre.
« C’est le temps de l’élégance dans la défaite » : dans la soirée du 17 novembre, le président sortant du Liberia, George Weah, a admis que son opposant Joseph Boakai l’avait emporté lors de l’élection présidentielle du 14 novembre.
Les avocats de notre correspondant, accusé d’avoir fabriqué et diffusé un faux document attribué à l’ANR, ont obtenu ce 17 novembre du tribunal de Kinshasa la contre-expertise qu’ils réclamaient et qui, selon eux, démontrera son innocence.
Des ressortissants congolais ont élaboré un humanoïde à l’effigie de Félix Tshisekedi. Le robot est censé faire campagne en complément du président sortant.
Londres et Kigali seront contraints de revoir leur copie après le désaveu de la haute juridiction qui considère que « le renvoi vers le Rwanda des demandeurs [d’asile] les exposerait à un risque réel de mauvais traitements. »
Dans sa première apparition publique depuis son coup d’État, le 26 juillet, le président de transition a intronisé les membres de la Cour d’État et de la Commission de lutte contre la corruption.
En dépit des critiques, le Parlement kényan a approuvé jeudi 16 novembre le déploiement d’un millier de policiers en Haïti, pays plongé dans la violence des gangs, dans le cadre d’une mission soutenue par l’ONU.
Dans une note confidentielle, des diplomates français déplorent un parti pris pro-israélien du chef de l’État. Un geste hautement inhabituel qui témoigne d’un réel malaise au ministère des Affaires étrangères.
La clémence des peines infligées en première instance, intervenant dans le contexte du procès des violeurs de la petite Sanaa, avait scandalisé l’opinion publique.
Dénonçant ce qu’elle qualifie de « silence de la communauté internationale », Doha demande l’ouverture d’une enquête sur l’attaque lancée par Israël le 15 novembre, qui constitue à ses yeux un « crime de guerre ».
Le dépouillement des voix a commencé sitôt les bureaux de vote fermés, le 14 novembre au soir. À l’issue du premier tour, les résultats avaient déjà été très serrés.
À la veille du premier tour de l’élection à la magistrature suprême, et après des semaines de campagne très tendues, le préfet a invoqué des actions contre divers matériaux électoraux pour justifier sa décision.
« Une opération précise et ciblée », selon l’armée israélienne. « Une barbarie », selon Amman. L’assaut sur l’hôpital Al-Shafi marque le paroxysme des antagonismes et a provoqué de nombreuses réactions, en particulier à l’ONU.