L’opposant sénégalais, détenu depuis fin juillet sous divers chefs d’inculpation, a suspendu le 2 septembre sa grève de la faim entamée depuis plus d’un mois.
Le général Brice Oligui Nguema a promis des institutions respectueuses des droits humains, mais sans « précipitation », fermant ainsi la porte à l’opposition, qui l’exhorte à rendre le pouvoir aux civils.
Le nouvel homme fort du Niger, le général Abdourahamane Tiani, a lui signé un décret autorisant les forces armées du Burkina Faso et du Mali à intervenir sur le sol nigérien.
Le ministre des Affaires étrangères turc, Hakan Fidan, est attendu en Russie une semaine après son déplacement en Ukraine, durant lequel il a rencontré Volodymyr Zelensky.
Le 22 août, le parquet de Constantine avait requis trois ans de prison ferme à l’encontre du chercheur algéro-canadien Raouf Farrah et du journaliste algérien Mustapha Bendjama, incarcérés depuis plus de six mois.
Les autorités de transition maliennes ont appelé le 28 août les groupes armés signataires de l’accord de paix d’Alger à renouer le dialogue, alors que la crainte d’une reprise des hostilités grandit dans le sillage du retrait de la Minusma, la mission de l’ONU dans le pays.
Des milliers de personnes se sont rassemblées les 26 et 27 août à Niamey. Les militaires arrivés au pouvoir après avoir renversé le président Mohamed Bazoum avaient donné 48 h au diplomate français Sylvain Itté pour quitter le pays, ce que Paris refuse.
Najla al-Mangoush a rencontré Eli Cohen lors d’un entretien qualifié d’ « inédit ». La ministre affirme qu’elle a rappelé la position de la Libye à l’égard de la cause palestinienne.
Le CNSP au pouvoir à Niamey a décidé vendredi d’expulser Sylvain Itté, lui donnant 48 heures pour partir, une décision aussitôt rejetée par Paris, pour qui les « putschistes n’ont pas autorité » pour ce faire. Le Niger des militaires suit les traces du Mali et du Burkina Faso, où il n’y a plus d’ambassadeur de France.
Les chefs des diplomaties burkinabé et malienne étaient à Niamey pour redire que toute intervention au Niger serait considérée comme « une déclaration de guerre ».
Alors que le Parlement français doit débattre à la rentrée d’une nouvelle loi sur le sujet, le président estime dans une interview que si le pays n’est pas « submergé par l’immigration », la situation n’est toutefois « pas tenable ».
Élargir le cercle, oui mais comment ? Les cinq économies émergentes réunies en sommet en Afrique du sud doivent encore statuer sur les modalités d’adhésion des futurs membres.
Le patron du groupe paramilitaire russe Wagner figurerait sur la liste des passagers d’un avion qui s’est écrasé entre Moscou et Saint-Pétersbourg ce 23 août.
Le patron du groupe paramilitaire russe Wagner, Evgueni Prigojine, figure sur la liste des passagers d’un avion qui s’est écrasé entre Moscou et Saint-Pétersbourg ce 23 août, sans laisser de survivants, selon le ministère russe des Situations d’urgence.
Alger, qui s’oppose fermement à toute intervention militaire au Niger, envoie le chef de sa diplomatie au Nigeria, au Bénin et au Ghana, pour travailler à une issue pacifique de la crise.
Cette coalition d’organisations de la société civile est dirigée par Abdoulaye Seydou, qui vient de sortir de prison après sa condamnation pour avoir accusé les forces de défense de massacres de populations civiles.
Les Zimbabwéens élisent leur président, leur Parlement et leurs élus locaux. La Zanu-PF, au pouvoir depuis l’indépendance en 1980, compte bien y rester.
Le vice-ministre russe de la Défense a discuté de coopération militaire avec les hommes du clan Haftar, qui a eu recours au groupe Wagner dans sa lutte pour le pouvoir en Libye.
L’ancien président ivoirien s’est néanmoins dit disponible pour la présidentielle de 2025. C’était lors d’une conférence de presse organisée ce mardi, lors de laquelle il s’est également prononcé contre une intervention de la Cedeao au Niger.
L’ONG décrit « un contexte de tensions politiques accrues » et pointe des « intimidations » récurrentes, notamment à l’encontre du parti de Moïse Katumbi, Ensemble pour la République.
Quelque 300 camions sont arrivés à Niamey le 20 août, chargés de produits alimentaires. Le blocus économique décrété après le coup d’État du 26 juillet commence à toucher les denrées vitales et les fournitures médicales.
Les autorités libyennes affirment que les migrants rapatriés après leur interpellation à la frontière avec la Tunisie, le sont sur la base du volontariat.
L’organisation sous-régionale se dit opposée à l’idée d’une transition de trois ans maximum lancée ce week-end par les militaires qui ont pris le pouvoir à Niamey, signe qu’une sortie de crise par la voie diplomatique semble encore lointaine.