Une enquête préliminaire de l’ONU accuse aussi la rébellion d’avoir commis viols et pillages, les 29 et 30 novembre, dans deux villages de l’est de la RDC, en représailles à des affrontements avec des groupes armés.
Les forces armées nigérianes sont accusées d’avoir mené depuis près de dix ans un programme d’avortements de masse sur des femmes rescapées des groupes jihadistes dans le nord-est du pays, selon une enquête de l’agence de presse Reuters publiée le 7 décembre, et démentie en bloc par l’armée.
Alors que de violents affrontements ont encore opposé plusieurs groupes armés à la rébellion dans l’est du pays, le M23 a fait cette annonce le 6 décembre.
L’opposant a pour la première fois été confronté à celle qui l’accuse de viols, chaque camp accusant l’autre d’avoir refusé de répondre aux questions du magistrat.
À l’issue d’un procès de masse à huis clos, la justice a prononcé des peines de deux à trois ans de prison ferme pour 262 des manifestants arrêtés lors des rassemblements meurtriers d’octobre dernier.
Par la signature d’un accord portant sur des accusations de corruption en RDC, le géant du trading s’est engagé à verser 180 millions de dollars à Kinshasa.
Les dirigeants de la Cedeao, réunis en sommet, ont également demandé à la junte malienne de libérer avant le 1er janvier les 46 soldats ivoiriens prisonniers depuis juillet.
Un séisme de magnitude 5,5 a secoué l’ouest du Gabon dimanche 4 décembre, selon l’institut de géophysique américain USGS. Il n’a pas fait de victime et n’a provoqué que des dégâts légers, selon un premier constat du gouvernement.
Des marches ont été organisées dimanche 4 décembre par l’Église catholique pour protester contre les violences dans l’est de la RDC, où la rébellion du M23 campe sur ses positions, cinq jours après un massacre de civils dont l’accuse Kinshasa.
Un deuil national de trois jours a débuté samedi 3 décembre en RDC après le massacre présumé de civils dans l’est du pays. Le gouvernement évoque désormais un bilan de plus d’une centaine de morts.
Au moins 50 personnes auraient été tuées à Kisheshe, à 70 km au nord de Goma, dans l’est du pays. Le mouvement rebelle a rejeté les accusations de l’armée congolaise.
La trêve obtenue au sommet de Luanda, le 23 novembre, n’aura duré que cinq jours. Les combats ont repris ce 1er décembre, à 70 kilomètres au nord de Goma.
Six ans après l’attaque qui a coûté la vie à 22 personnes dont trois militaires dans la station balnéaire ivoirienne, les audiences ont débuté ce mercredi 30 novembre. Les parties civiles craignent que seules des « petites » mains soient jugées.
Remis en liberté provisoire, Delfim Nevès continue de dénoncer « un montage pour le faire éliminer ». Des enquêtes sont ouvertes sur le coup d’État déjoué du 25 novembre et le décès de quatre personnes.
Abou al-Hussein al-Husseini al-Qourachi succède à Abou Hassan al-Hachimi al-Qourachi, d’après un message audio du porte-parole du groupe État islamique.
Dans un état « stable », Janusz Walus est détenu depuis 1993 à Pretoria, mais doit bénéficier avant le 1er décembre d’une remise en liberté conditionnelle. Une décision de justice qui a provoqué un tollé.
En visite à Bamako, le médiateur de la Cedeao a rencontré le président de la transition. Il estime que les autorités se consacrent « totalement » au processus engagé pour un retour des civils au pouvoir.
La commune du Val d’Oise a baptisé l’une de ses rues du nom de l’avocat algérien nationaliste, assassiné par l’armée française pendant la guerre d’Algérie. Un pas de plus vers l’apaisement voulu par les présidents Macron et Tebboune.
La justice sénégalaise a condamné ce mardi trois membres de la garde rapprochée de l’opposant politique pour « coups et blessures volontaires », après des heurts avec des partisans du pouvoir.
Présidé par le Maroc, le Comité du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco se penchera sur 56 demandes d’inscription au cours de la semaine, dont les dossiers algérien et tunisien.
D’après Bangui, l’aéronef aurait franchi les frontières du pays, au Nord, et aurait bombardé la ville de Bossangoa. L’appareil aurait pris pour cible les bases militaires centrafricaine et russe, ainsi qu’une usine de coton.
Un éboulement est survenu le 27 novembre lors d’une cérémonie de commémoration à des personnes décédées durant l’année. Les recherches ont repris ce lundi matin.
Quatre personnes sont mortes à São Tomé-et-Principe lors d’une tentative de coup d’État manquée dans la nuit du 24 au 25 novembre, a annoncé dimanche l’agence de presse gouvernementale, citant un bilan du chef d’état-major des forces armées.
Une enquête a été ouverte par la Minusca pour déterminer les « circonstances exactes » du décès, survenu dans le sud-est du pays à la suite d’une attaque d’assaillants non-identifiés.
Patrice Trovoada, le Premier ministre de l’archipel, a annoncé qu’une tentative de putsch a échoué dans la nuit de jeudi à vendredi. Quatre hommes ont été appréhendés après avoir tenté d’attaquer le quartier général de l’armée.
Le président Assimi Goïta a reçu ce vendredi le chef du gouvernement titulaire, qui lui a affirmé être apte à reprendre ses fonctions, après trois mois d’absence pour raisons de santé, ont rapporté les médias nationaux.