La justice malienne a condamné lundi 20 mai à deux ans de prison, dont un ferme, cet universitaire et militant politique reconnu, auteur d’un livre critiquant la communication de la junte au pouvoir.
William Ruto sera reçu le 23 mai à Washington pour une visite d’État. Partenaire privilégié de Washington en Afrique, Nairobi s’apprête à envoyer des policiers en Haïti pour y diriger une mission multinationale sensible.
L’ayatollah Khamenei doit diriger les prières lors d’une cérémonie d’adieu prévue à Téhéran ce 21 mai. Le président sera enterré dans sa ville natale de Mashad le 23 mai.
Joe Biden a a jugé « scandaleux » le mandat d’arrêt réclamé contre le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. De son côté, le Quai d’Orsay a dit « soutenir » la CPI et son « indépendance », en condamnant les « massacres antisémites perpétrés par le Hamas » et en dénonçant « le caractère inacceptable des pertes civiles dans la bande de Gaza ».
Les obsèques de l’ancien président ivoirien ont débuté dimanche 19 mai par la présentation des condoléances à sa famille, donnant le coup d’envoi de deux semaines d’hommages et de cérémonies qui s’achèveront par son inhumation le 1er juin.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a demandé lundi 20 mai que des mandats d’arrêt soient émis contre Benyamin Netanyahou et son ministre de la Défense, Yoav Gallant, ainsi qu’à l’encontre de trois dirigeants du Hamas.
Le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a « fermement » condamné la « tentative de coup d’État » déjouée dimanche 19 mai à Kinshasa.
Le guide suprême devait nommer le premier vice-président, Mohammad Mokhber, en remplacement temporaire de Raïssi, en attendant la tenue d’une élection présidentielle dans les 50 jours.
L’agence iranienne Irna et plusieurs sources officielles confirment qu’un hélicoptère transportant le président de la République et le ministre des Affaires étrangères s’est écrasé dans le nord-ouest du pays. L’appareil et ses passagers demeurent à cette heure introuvables.
Après les nombreuses actions de protestation qui ont marqué la semaine, ce sont les soutiens du président tunisien qui ont défilé ce 19 mai. Ils critiquent, comme Kaïs Saïed, les « ingérences » des capitales étrangères.
La cheffe du Parti des travailleurs, emprisonnée durant neuf mois dans la foulée du mouvement de contestation du Hirak en 2019, a annoncé samedi 18 mai sa candidature à l’élection présidentielle du 7 septembre en Algérie.
Vingt-trois personnes sont portées disparues après avoir voulu se rendre par la mer en Europe depuis la ville de Nabeul, en Tunisie, a déclaré samedi 18 mai la Garde nationale du pays.
Une coalition de l’opposition a demandé samedi 18 mai à la junte au pouvoir en Guinée d’organiser des élections pour rendre le pouvoir aux civils d’ici la fin de 2024, en appelant à des manifestations pour faire pression sur les militaires.
Le Burkina Faso, le Mali et le Niger ont « finalisé » à Niamey un projet de texte créant la Confédération de l’Alliance des États du Sahel (AES), que les dirigeants de ces trois régimes militaires devraient adopter ces « prochaines semaines ».
Le président du Sénégal poursuit sa tournée régionale : il s’est rendu vendredi 17 mai à Accra, où son homologue ghanéen lui a demandé de jouer un rôle dans la résolution de la crise régionale avec le Mali, le Niger et le Burkina Faso.
Le procès en appel de quatre accusés condamnés à perpétuité pour l’attentat jihadiste de la ville balnéaire, qui avait fait 19 morts en 2016, a été renvoyé vendredi 17 mai en raison de l’absence d’avocats pour leur défense.
Le Nigeria et le Sénégal se sont engagés à promouvoir la démocratie en Afrique de l’Ouest, lors de la première visite officielle du nouveau président sénégalais au Nigeria.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a qualifié de « décisive » la bataille de Rafah, après l’annonce d’une « intensification » des opérations militaires au sol dans cette ville du sud de la bande de Gaza.
Le Hezbollah a annoncé jeudi 16 mai la mort de deux de ses combattants dans des frappes israéliennes sur le sud du Liban, alors que le mouvement libanais a intensifié ses attaques contre des positions militaires israéliennes de l’autre côté de la frontière.
Le gouvernement gabonais a répondu à la plainte déposée par les avocats de la famille, qui dénoncent « l’arrestation illégale », la « séquestration aggravée par des actes de tortures » et des « actes de barbarie » à l’encontre de Sylvia Bongo et de son fils Noureddin Bongo-Valentin.
Le Premier ministre Ousmane Sonko s’en est durement pris jeudi 16 mai à la présidence d’Emmanuel Macron, remettant par ailleurs en question la présence militaire française au Sénégal.
Alors que les arrestations se poursuivent et qu’une manifestation a eu lieu le 16 mai au matin à Tunis, le chef de l’État a ordonné à son secrétaire d’État aux Affaires étrangères de convoquer les ambassadeurs de pays ayant émis des protestations contre sa politique et qu’il accuse d’« ingérence ».
Le Bénin autorise le « chargement du premier navire » pétrolier via le port de Sèmè. Une « autorisation ponctuelle et provisoire » a néanmoins prévenu le ministre béninois des Mines, Samou Seidou Adamb.
Des funérailles officielles ont été organisées à Goma pour les 35 victimes du bombardement, survenu le 3 mai, d’un camp de déplacés. Kinshasa, qui accuse le M23 d’en être à l’origine, réclame des sanctions contre le Rwanda.
Venue discuter du départ des soldats américains du sol nigérien, cette délégation envoyée par Washington a été reçue le 15 mai par le ministre nigérien de la Défense, le général Salifou Modi.
Plus de 600 000 Palestiniens ont déjà quitté la ville du sud de la bande de Gaza, selon l’ONU, alors que Tsahal poursuit ses bombardements, déterminé à en finir avec le Hamas.
Ouvert ce jeudi 16 mai à Manama, le 33e sommet de la Ligue arabe sera l’occasion pour les représentants de ses 22 pays membres d’évoquer les sujets « brûlants » de la région, notamment le conflit entre Israël et le Hamas et les attaques des Houthis en mer Rouge.
L’ancien chef d’État mauritanien n’a pas obtenu le nombre de parrainages nécessaires pour pouvoir déposer sa candidature et se présenter face au président sortant, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani.
Les deux derniers fugitifs recherchés par la justice internationale pour leur rôle présumé dans le génocide des Tutsi sont décédés. Mais les autorités rwandaises en traquent encore plus d’un millier.