Al-Qaïda est une organisation d’idéologie salafiste et jihadiste, considérée comme terroriste par une majorité des États dans le monde. Le groupe a notamment perpétré les attentats du 11 septembre 2001 à New York, ceux du 16 mai 2003 à Casablanca ou ceux du 7 juillet 2005 à Londres.
Si pour l’ancien ambassadeur, il est difficile de tirer des conclusions générales des Printemps arabes, tant les situations sont diverses, les ressorts des révolutions n’ont pas disparu et déboucheront, à terme, sur plus de démocratie et d’État de droit.
Pour mieux combattre les jihadistes, les États-Unis et la France vont déployer au Niger des appareils armés, des drones, qui pourront frapper du lac Tchad au Sud libyen. Mais ces engins suscitent des critiques…
Ahmad Al Faqi Al Mahdi a été reconnu coupable par la Cour pénale internationale (CPI) de crime de guerre pour avoir dirigé, en juin et juillet 2012, la destruction de dix monuments à Tombouctou. Le Courrier de l’Unesco l’a interviewé, dans sa prison à La Haye. Jeune Afrique retranscrit cet entretien exceptionnel.
Dans « Mali : au-delà du jihad », le journaliste français raconte comment ce pays traditionnellement tolérant a plongé dans le radicalisme religieux en dix ans, imposant une intervention militaire française pour sécuriser les populations. Interview.
Des éléments de l’embuscade ayant causé la mort de quatre militaires américains au Niger contredisent la version officielle, selon un récit publié jeudi par la chaîne américaine ABC. Le média cite des sources nigériennes et des services de renseignement américain.
Le combattant Abdelhakim Belhadj traqué par les services secrets du monde entier est devenu un acteur clé de la révolution libyenne, doublé d’un homme d’affaires fortuné.
Afghanistan, Al-Qaïda, prisons secrètes de la CIA, chute de Kadhafi, fortune, ambitions… L’ancien chef jihadiste libyen, Abdelhakim Belhadj, devenu leader politique et businessman prospère lève un coin de voile sur son itinéraire tourmenté.
Selon l’ONU, des enfants soldats sont présents dans les rangs de groupes armés s’affrontant dans le nord du Mali et des mineurs sont actuellement détenus par l’ex-rébellion à dominante touareg CMA dans son fief de Kidal.
L’ex-otage sud-africain Stephen McGown a confié jeudi lors d’une conférence de presse à Johannesburg avoir « été très bien traité » par ses ravisseurs en particulier après s’être converti à l’islam de son « propre chef ». Libéré fin juillet après six ans de détention aux mains d’Al-Qaïda au Mali, il avoue cependant « avoir eu peur à trois reprises pour sa vie ».
L’ancien prisonnier de Guantanamo, où il a passé deux années après avoir été capturé en Afghanistan, revient pour Jeune Afrique sur les dernières évolutions de son action judiciaire contre l’administration américaine et donne son point de vue sur la « déradicalisation ».
La branche d’Al-Qaïda au Mali a publié une vidéo de six otages étrangers, dont l’Australien Arthur Kenneth Elliott, âgé de 82 ans, et la Française Sophie Pétronin, a annoncé SITE, un centre américain spécialisé dans la surveillance en ligne de la mouvance jihadiste.
Le 22 juin dernier, la Cour suprême du Ghana a jugé la présence d’anciens détenus de Guantanamo « inconstitutionnelle ». Dans la foulée, l’ambassade des États-Unis à Accra a suspendu les avantages de délivrance des visas accordés aux hautes personnalités politiques du pays.
Le secrétaire américain à la Défense Jim Mattis est arrivé dimanche à Djibouti pour une courte visite dans ce petit État stratégiquement situé, qui accueille la seule base militaire américaine permanente sur le continent africain et où la Chine construit actuellement ses propres installations militaires.
Malgré la traque acharnée des services de renseignements français, américains et ouest-africains, les groupes islamistes sont toujours actifs dans la sous-région du Sahel. Et se paient même le luxe de narguer les autorités.
Grandeur et décadence. Un royaume a naguère personnifié la première et donne, depuis quelques années, des signes probants qu’il est entré dans la seconde.
Avec l’installation des premières autorités intérimaires, le processus de paix semble enfin progresser. Mais la route reste longue : tandis que les rivalités persistent entre les différents groupes armés, les principaux mouvements jihadistes, eux, unissent leurs forces.
Une cellule terroriste de 13 membres qui tenait des « réunions secrètes dans une mosquée » et enrôlait des jeunes au profit de groupes jihadistes a été démantelée mardi près de Sousse, a indiqué mercredi le ministère tunisien de l’Intérieur.
Une cellule terroriste à Sousse et une autre à la Manouba ont été démantelées cette semaine par des membres de la Garde nationale, a annoncé le ministère de l’Intérieur.
En 2016, c’est tout un continent qui a définitivement pris conscience du danger que fait peser sur lui la radicalisation de sa jeunesse. De quelle manière l’Afrique a-t-elle entrepris de protéger ses enfants de l’extrémisme ? Enquête.
Les États-Unis ont ajouté mercredi Cheikh Ould Saleck, un Mauritanien membre d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) sur leur liste noire des « terroristes internationaux ».
Le Yaaral n’a pas eu lieu cette année. Initialement prévue pour le 26 novembre, cette fête ancestrale qui célèbre la traversée du Niger par les troupeaux et leurs bergers et leur retour sur la rive droite du fleuve, une fois que la saison des pluies est passée, a été annulée au dernier moment. Trop risqué.
Des jihadistes qui se revendiquent du groupe État Islamique ont été chassés du port de Qandala, dans la région semi-autonome du Puntland, au nord de la Somalie, par les forces gouvernementales locales, ont indiqué ces dernières mercredi.
Une « cellule terroriste » composée d’une soixantaine de membres a été démantelée en Tunisie alors qu’elle préparait des actions contre des « cadres sécuritaires », un « haut responsable de l’État » et une institution « de souveraineté », a indiqué lundi le porte-parole du pôle antiterroriste.
Djamel Hanneb, un proche du chef d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, Abdelmalek Droukdel, a été tué jeudi par l’armée algérienne. Depuis un an, cette dernière multiplie les assauts contre les terroristes aux quatre coins du pays.
Il y a quinze ans, le 11 septembre 2001, Al-Qaïda frappait le monde occidental en même temps que les tours du World Trade Center. Un épisode sanglant resté dans les mémoires comme l’acte terroriste le plus marquant de l’Histoire. Mais a-t-il eu autant d’impact ? Éléments de réponse en infographie.
Le fils du fondateur d’Al-Qaïda revient sur le devant de la scène en appelant les Saoudiens à renverser la monarchie. Mais le « prince héritier de la terreur » saura-t‑il prendre la tête de l’organisation terroriste ?
L’un des groupes les plus puissants de l’insurrection syrienne annonce sa rupture avec le commandement central de l’internationale terroriste. Nouveau départ ou coup de com ?