Al-Qaïda est une organisation d’idéologie salafiste et jihadiste, considérée comme terroriste par une majorité des États dans le monde. Le groupe a notamment perpétré les attentats du 11 septembre 2001 à New York, ceux du 16 mai 2003 à Casablanca ou ceux du 7 juillet 2005 à Londres.
Le ministre de la Défense français a reçu lundi 13 juin à l’hôtel de Brienne les représentants de plusieurs gouvernements venus passer commande d’armements à l’occasion de la deuxième édition du salon Eurosatory (13-17 juin), premier au monde dans les domaines terrestre et aéro-terrestre. Parmi les États africains les plus en vue se trouvaient l’Égypte et la Côte d’Ivoire.
Trois journalistes espagnols, détenus pendant près de dix mois par Al-Qaïda en Syrie, ont regagné leur pays dimanche après avoir été libérés au terme de discrètes tractations.
Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a de nouveau menacé la France et ses alliés lundi soir dans un communiqué. L’organisation, qui a revendiqué l’attaque de Grand-Bassam dimanche, a déclaré vouloir continuer à attaquer tous les États impliqués dans les opérations anti-terroristes au Sahel.
Il y reste 91 détenus, dont 11 Africains. Barack Obama va-t-il enfin convaincre le Congrès, à majorité républicaine, d’en finir avec ce bagne pour jihadistes présumés ?
Selon un document déclassifié publié mardi par l’administration américaine, Oussama Ben Laden disposait d’au moins 29 millions de dollars dissimulés au Soudan, qu’il destinait au financement du jihad.
Depuis que l’Iran, naguère segment majeur d’un supposé « Axe du Mal » s’est vu réhabilité au rang de nation fréquentable par les Occidentaux, un vent de panique souffle à Riyad, qui fait feu de tout bois. Julien Théron, conseiller en géopolitique des conflits basé au Liban, analyse la politique internationale de l’Arabie saoudite.
Le Pentagone a démenti l’information selon laquelle un groupe de rebelles syriens entraînés par les États-Unis aurait fait défection et rejoint le Front Al-Nosra (proche d’Al-Qaïda).
Étonnante coïncidence… C’est un 11 septembre qu’une gigantesque grue appartenant au Saudi BinLadin Group (SBG) s’est effondrée sur la Grande Mosquée de La Mecque, sous le coup de fortes rafales de vent, faisant 111 morts et quelque 400 blessés.
Il y a un an, le 29 juin 2014, un inconnu que nous n’avions jamais vu ni entendu a eu le culot de se présenter à nous dans un enregistrement audiovisuel de vingt minutes pour se proclamer calife de tous les musulmans. Il a pris le nom de calife Ibrahim.
Il était l’ennemi public numéro un en Tunisie. Le chef de l’organisation Ansar al-Charia, Seifallah Ben Hassine, plus connu sous son nom de guerre, Abou Iyadh, 51 ans, aurait, selon toute vraisemblance, trouvé la mort en Libye, le 14 juin, lors de l’attaque d’un drone américain qui visait le convoi du terroriste Mokhtar Belmokhtar.
Le gouvernement libyen reconnu par la communauté internationale a annoncé la mort de Mokhtar Belmokhtar, visé par une frappe américaine, dans la nuit de samedi à dimanche. Mais Washington ne confirme par l’information pour le moment.
Après la parution d’un article démentant la version livrée par la Maison-Blanche concernant la mort de Ben Laden, d’anciens responsables pakistanais ont révélé l’existence d’une taupe américaine dans les services de renseignement de leurs pays.
L’opération militaire arabe menée par l’Arabie saoudite a ralenti la progression des rebelles chiites au Yémen, mais, profitant du chaos, Al-Qaïda a pris le contrôle d’une importante base militaire dans le sud-est.
On l’a pris, à tort, pour un gros bonnet d’Al-Qaïda. Kidnappé dans sa Mauritanie natale, puis remis aux Américains, Mohamedou Ould Slahi croupit depuis 2002 dans la sinistre base cubaine. Dans un livre choc, il raconte sa terrifiante odyssée.
Comme une ONG sérieuse, Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa) a publié un rapport trimestriel de ses activités, incluant notamment l’attaque en France contre le journal « Charlie Hebdo ». Selon le centre américain de surveillance des sites islamistes, l’organisation a également mené 204 opérations au Yémen.
Ennemies au Moyen-Orient, les deux grandes mouvances de l’islamisme radical ont tendance à s’imbriquer à mesure que l’on s’éloigne du foyer syro-irakien.
Al-Qaïda a revendiqué mercredi dans une vidéo mise en ligne sur un site islamiste l’attaque ayant décimé le 7 janvier la rédaction du journal « Charlie Hebdo ». Le chef de la nébuleuse terroriste, Ayman al-Zawahiri, aurait lui même donné l’ordre d’attaquer.
Un responsable religieux d’Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa), dont se réclament les frères Kouachi, auteurs de l’attentat contre Charlie Hebdo, a menacé la France de nouvelles attaques dans une vidéo diffusée vendredi, a révélé un centre de surveillance américain des sites islamistes.
À en croire l’information diffusée lundi par plusieurs médias américains, un ancien officier du renseignement français se trouve dans les rangs des jihadistes en Syrie et a même été la cible fin septembre d’une frappe américaine. Des « rumeurs de presse », selon le Quai d’Orsay.
Une semaine avant d’assassiner James Foley le 19 août en Syrie, les jihadistes de l’État islamique rappelaient leurs exigences dans un e-mail adressé aux parents du journaliste américain : 100 millions d’euros ou… un échange avec la Pakistanaise Aafia Siddiqui, emprisonnée au Texas (États-Unis).
Les jihadistes de l’État islamique et d’Al-Qaïda sont « l’ennemi numéro un de l’islam ». Mardi, le grand mufti d’Arabie saoudite, Abdel Aziz Al-Cheikh, a pris position contre les idées d’extrémisme, de radicalisme et de terrorisme dont les musulmans sont selon lui les « principales victimes ».
Une enquête du « New York Times » dévoile les montants des rançons encaissées depuis 2008 par Aqmi en échange de la libération de ses otages occidentaux. Édifiant.
De nouveaux raids aériens ont eu lieu dimanche contre des groupes islamistes radicaux dans la ville de Benghazi (est de la Libye). Al-Qaïda a appelé à combattre les forces du général dissident Khalifa Haftar, cet « ennemi de l’islam », à l’origine de ces attaques.
Quasi démilitarisé par l’accord de paix israélo-égyptien de 1979, le Sinaï est devenu le sanctuaire d’une demi-douzaine de groupes jihadistes dont les attentats vont se multipliant.