Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) est un groupe terroriste islamiste. Il est reconnu comme tel par le Conseil de sécurité des Nations unies. La zone d’opération du mouvement, d’origine algérienne, se situe dans la région du Sahel.
Avec l’installation des premières autorités intérimaires, le processus de paix semble enfin progresser. Mais la route reste longue : tandis que les rivalités persistent entre les différents groupes armés, les principaux mouvements jihadistes, eux, unissent leurs forces.
Le 13 mars 2016, la cité balnéaire de Grand-Bassam était frappée par un attentat faisant 19 morts. Un an après, Jeune Afrique fait le point sur l’enquête.
Selon l’agence mauritanienne ANI, l’attaque ayant coûté la vie à 11 militaires maliens dimanche dernier à Boulikessi a été revendiquée par la nouvelle organisation d’Iyad Ag Ghali, Jamaât Nasr Al islam wa Al mouminin. Elle est Issue de la fusion récente de plusieurs groupes terroristes actifs dans le Sahel.
Cinq gendarmes nigériens ont été tués dans la nuit de dimanche à lundi au cours d’une attaque de nature vraisemblablement terroriste dans la région de Tillabéri. Une source sécuritaire avait fait état dans un premier temps d’un bilan de quatre morts.
Ansar Eddine, Al Mourabitoune et la katiba Macina se regroupent sous la bannière d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), selon un communiqué diffusé ce 2 mars par les organisations jihadistes. Leur chef désigné ? Un certain Iyad Ag Ghali…
« En première ligne contre le terrorisme », les pays du G5 Sahel ont annoncé lundi vouloir réaliser leur projet de force commune destinée à combattre les groupes jihadistes, qui utilisent notamment le Mali comme « base de repli ».
La plus grande région administrative, au nord du pays, échappe totalement au contrôle des autorités et des Casques bleus, au bénéfice de la CMA et d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Quel lien y a-t-il entre l’assassinat des deux journalistes de RFI et la libération des otages d’Arlit au Niger ? La chaîne de télévision France 2 révèle de nouveaux éléments, témoignages-clés et documents confidentiels qui répondent à la question, via un reportage diffusé ce jeudi soir.
Aussi violent que meurtrier, l’attentat-suicide perpétré contre un camp militaire mercredi a causé la mort de 77 personnes, a déclaré le porte-parole de l’état-major des armées françaises jeudi.
Le bilan de l’attentat-suicide qui a visé ce mercredi un camp militaire de Gao est à présent d’une soixantaine de morts. Il a été revendiqué par le groupe terroriste Al Mourabitoune, lié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (aqmi) et mené par l’Algérien Mokhtar Belmokhtar.
Selon le ministre algérien de la Justice, Tayeb Louh, au moins 54 000 personnes seraient poursuivies pour terrorisme. Un bilan qui englobe les combattants ayant bénéficié de l’amnistie présidentielle de 2000.
Dans un entretien à l’agence de presse marocaine MAP, le patron de la police d’élite marocaine, Abdelhak Khiame, a dressé le bilan de ses troupes concernant la lutte contre le terrorisme. Il a également appelé l’Algérie à collaborer avec le Maroc.
En 2016, c’est tout un continent qui a définitivement pris conscience du danger que fait peser sur lui la radicalisation de sa jeunesse. De quelle manière l’Afrique a-t-elle entrepris de protéger ses enfants de l’extrémisme ? Enquête.
Les États-Unis ont ajouté mercredi Cheikh Ould Saleck, un Mauritanien membre d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) sur leur liste noire des « terroristes internationaux ».
Les drones ne suffisent pas. Dans le Nord, les militaires français et les Casques bleus de la Minusma ont besoin d’informateurs locaux. Qui le paient souvent de leur vie.
D’après le Wall Street Journal, citant des sources issues du renseignement américain, un avion français aurait frappé et « probablement tué » Mokhtar Belmokhtar, l’un des leaders du groupe terroriste Al Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi).
Pour Bakary Sambe, directeur de l’Observatoire des radicalismes et des conflits religieux en Afrique, une chose est sûre : « On n’a jamais vaincu une idéologie avec un code pénal ou une kalachnikov. » Jeune Afrique s’est entretenue avec lui en marge d’une conférence sur la lutte contre la radicalisation des jeunes sur internet, qui se tenait à Québec (Canada) en début de semaine.
Djamel Hanneb, un proche du chef d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, Abdelmalek Droukdel, a été tué jeudi par l’armée algérienne. Depuis un an, cette dernière multiplie les assauts contre les terroristes aux quatre coins du pays.
En coopérant avec le bureau du procureur de la CPI – autrement dit, en plaidant coupable et en livrant des informations sur les crimes commis en 2012 au Nord-Mali –, Ahmad al-Faqi al-Mahdi a obtenu une sentence clémente.
Pour Akram Kharief, journaliste spécialisé dans les questions de défense, le pays peut être la cible de terroristes infiltrés, mais la vigilance de l’armée rendra difficile toute attaque d’envergure.
À l’issue d’une rencontre avec le président Ibrahim Boubacar Keïta, le chef de file de l’opposition malienne, Soumaïla Cissé, s’est dit favorable à un report des élections municipales du 20 novembre, en raison de l’instabilité dans le centre et le nord du pays.
Un groupe lié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué mardi l’attaque ayant provoqué la mort de trois soldats tunisiens la veille sur le mont Sammama (centre-ouest).
À Diffa, dans le sud-est du Niger, les habitants vivent dans la peur permanente. La libération de Damasak, de l’autre côté de la frontière, n’y change pas grand-chose. Reportage.
Le procès d’Ahmad Al-Mahdi, accusé de destruction de mausolées à Tombouctou pendant l’occupation jihadiste de 2012, reprend devant la CPI le 22 août. Mais en ce qui concerne les crimes les plus graves commis dans le nord du Mali – meurtres, viols, amputations, mariages forcés – l’impunité reste générale.
Ils seraient aujourd’hui moins de 800, décimés par des années de lutte et de politique de réconciliation nationale. En face, l’armée crie presque victoire. Enquête.
Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a diffusé jeudi une vidéo datant du mois de mai, apportant une preuve que l’otage suisse Béatrice Stockly est en vie, a rapporté le centre américain de surveillance de sites jihadistes SITE. Elle se trouve aux mains du groupe terroriste depuis janvier au Mali.
Accusés d’avoir aidé et hébergé les auteurs de l’attentat du 15 janvier contre le restaurant Le Cappuccino et l’hôtel Splendid, à Ouagadougou, les six étrangers arrêtés le 30 mai en début de soirée dans la capitale burkinabè sont tous, à en croire des sources sécuritaires convergentes, de nationalité malienne – même si l’un est d’origine mauritanienne et un autre d’origine algérienne.
Un Casque bleu a trouvé la mort mardi soir dans une attaque à la voiture piégée contre le camp de la Minusma à Gao, tandis que dans un autre quartier de la ville, trois prestataires de service de la mission onusienne ont été tués par des hommes armés.
Le ministère de l’Intérieur tunisien a annoncé jeudi le démantèlement de deux cellules terroristes liées à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dans le nord-ouest de la Tunisie. L’une d’elle préparait des attaques contre des centres commerciaux ou encore des locaux de partis politiques.